Discussion:Onoghours

Le contenu de la page n’est pas pris en charge dans d’autres langues.
Une page de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Autres discussions [liste]
  • Admissibilité
  • Neutralité
  • Droit d'auteur
  • Article de qualité
  • Bon article
  • Lumière sur
  • À faire
  • Archives
  • Commons

Communisme soviétique appelé Huns turcs. Bulgares ne sont pas turcs. tyurk et tyrkestan doit être remplacé par huns ou xiongnu.

http://www.cross.bg/istoriya-bulgarite-bulgarskiya-1382006.html#axzz31tj4itwf

Bulgarians are not turks. Bulgarian parliament passed a law anyone who uses the term turk will have problem with authorities. The term turk needs to be replaced with huns or xiongnu.

Reference --the link above.

http://www.kroraina.com/

Beaucoup plus tard est venu le Turc de terme soviétique, mais il a ensuite été à tort Tulku, compte tenu de la chronologie des événements. Vieille Grande Bulgarie apparaît beaucoup plus tôt sur ​​la carte de l'Europe de la soi-disant Tyurkestan.

Bulgarians are not turks or slavs, they are thracians[modifier le code]

A propos de ce qui précède[modifier le code]

Pour bien comprendre ce qui précède, il faut savoir qu'en Roumanie et Bulgarie, l'histoire officielle (c'est à dire enseignée dans les écoles sous l'égide du Ministère de l'Enseignement, et adoptée par une partie des historiens) est « protochroniste », c'est-à-dire qu'au mépris des sources anciennes, elle relie directement les Roumains et les Bulgares actuels (respectivement latinophones et slavophones) aux Daces et aux Thraces de l'Antiquité (dont les langues n'étaient ni latines ni slaves) qui ont été assimilés par les cultures et les populations arrivées ultérieurement. Ce sont ces apports ultérieurs (grecs, latins, slaves, turcs...) que le protochronisme nie farouchement ; spécialement en Bulgarie, c'est l'apport turcophone qui est nié pour les Proto-Bulgares, en raison de la présence actuelle en Bulgarie d'une importante minorité turque (beaucoup plus récente, d'origine ottomane) et des tensions politiques avec la Turquie à ce propos.
Les historiens qui s'en tiennent aux méthodes scientifiques de référence aux sources, à la toponymie, à l'archéologie et à la linguistique, récusent l'approche protochroniste qu'ils qualifient de « Dacomanie » (en Roumanie) ou de « Thracomanie » (en Bulgarie), mais même s'ils sont majoritaires dans les milieux universitaires, ils manquent de financements et de temps pour diffuser leur point de vue, et de plus, ils sont souvent attaqués dans les média par les protochronistes, adeptes de la « théorie du complot ».
Le protochronisme a quelques précurseurs à l'époque du nationalisme triomphant de la fin du XIXe siècle et du début du XXe, mais ce sont surtout les régimes de Nicolae Ceausescu et de Todor Jivkov qui l'ont rendu quasi-officiel (c'est ce que l'historienne française Catherine Durandin a appelé le « national-communisme »). Après 1989, l'idéologie communiste a été abandonnée, mais pas le protochronisme qui s'est même développé, prenant parfois des aspects mystiques (en Roumanie, le christianisme est présenté comme inhérent dès l'origine à l'identité des Roumains ; en Bulgarie et en Roumanie, la religion des Thraces et des Daces est présentée comme un monothéisme avant la lettre, mais en même temps lié au « chamanisme iranien » d'Asie centrale.
Concernant les Huns, s'il est reconnu par la majorité des historiens qu'ils étaient, comme la plupart des peuples cavaliers, une confédération à composantes d'origines linguistiquement multiples, la composante proto-turque est néanmoins considérée par cette même majorité comme dominante, mais là encore le protochronisme bulgare la nie, tandis que le protochronisme turc nie les autres composantes. --Spiridon Ion Cepleanu (discuter) 20 novembre 2014 à 19:12 (CET)[répondre]