Village des tortues

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Village des tortues

Image illustrative de l’article Village des tortues
Explication de la physiologie des tortues.

Date d'ouverture 1988
Situation Carnoules (Var)
Superficie 2 ha
Latitude
Longitude
43° 18′ 10″ nord, 6° 11′ 21″ est
Nombre d'animaux 1 600
Nombre d'espèces 50
Site web www.tortupole.comVoir et modifier les données sur Wikidata
Géolocalisation sur la carte : Var
(Voir situation sur carte : Var)
Village des tortues
Géolocalisation sur la carte : France
(Voir situation sur carte : France)
Village des tortues

Le Village des tortues est un parc animalier de dix hectares situé à Carnoules (Var), au pied du massif des Maures. Il s'est donné pour mission la sauvegarde des tortues en les recueillant, les soignant, et en favorisant leur reproduction que les tortues soient d'espèces locales ou exotiques dans le but de les réintroduire dans leurs milieux naturels.

Histoire[modifier | modifier le code]

Le lieu a été créé en par l'association SOPTOM (Station d'observation et de protection des tortues et de leurs milieux) afin d'œuvrer à la protection de la tortue d'Hermann à Gonfaron dans le département du Var[1],[2],[3].

En 2017, le village des tortues quitte Gonfaron pour le village voisin de Carnoules[4]. Le site accueille maintenant divers équipements tel que la clinique des tortues, les écloseries, les nurseries ou divers enclos[5].

Activité[modifier | modifier le code]

Dans le cadre d'un programme scientifique rigoureux, l'association élève des tortues d'Hermann, en vue de la réintroduction en milieu naturel[1]. Outre cette tortue terrestre autochtone, l'association protège aussi une tortue aquatique autochtone, la cistude.

Elle a recueilli aussi au fil des ans un grand nombre de tortues exotiques, souvent issues des saisies des douanes[6], qui constituent une attraction touriste majeure du lieu. Ces animaux constituent un élément important de la politique d'information et de sensibilisation menée par la SOPTOM.

Le lieu accueille plus de 2 500 tortues qui y sont soignées, élevées, puis remises dans la nature afin de sauver certaines espèces menacées par l'urbanisation et les incendies qui réduisent son habitat.

Notes et références[modifier | modifier le code]

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Liens internes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]