Spareka

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Spareka
logo de Spareka
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Création 2012
Fondateurs Geoffroy Malaterre
Forme juridique SASU
Slogan "Fiers de réparer !"
Siège social 233, rue Etienne Marcel, 93100 Montreuil
Drapeau de la France France
Direction Geoffroy Malaterre
Produits Pièces détachées et pédagogie pour réparer les produits de la maison
Site web spareka.fr

Spareka est une plateforme internet de vente de pièces détachées pour l'électroménager, le jardin, la piscine, la motorisation de portail, l'outillage, le chauffage et propose des outils d'aide à la réparation gratuits à ses visiteurs[1],[2],[3].

L'entreprise fait partie des lauréats de la première édition du programme French Tech 2030[4].

Activités[modifier | modifier le code]

L'entreprise a été fondée en 2012 afin de commercialiser des pièces détachées permettant aux clients de réparer eux-mêmes leurs appareils électroménagers[1].

Le nom de la société est une combinaison du verbe to spare (« économiser » et de l'adjectif du même nom « de rechange ») et de la dernière syllabe ka du mot grec « Euréka ! » (« j'ai trouvé »), célèbre cri de victoire du savant grec Archimède[2].

En 2024, le catalogue en ligne compte 8 millions de références[3].

Depuis 2018, Spareka propose un service d'aide à la réparation à distance en visioconférence[5]. Plusieurs centaines de tutoriels vidéos d'aide à la réparation sont réalisés par l'entreprise et diffusés sur leur chaîne YouTube, pour accompagner les personnes qui souhaitent réparer eux-mêmes leurs appareils. Outre ces vidéos, Spareka a développé un outil de diagnostic de panne en ligne[6],[7],[8]pour aider à la réparation de plus d'une cinquantaine d'appareils (gros et petit électroménager, appareils de jardin, appareils électroniques, portails, piscines...)[9].

Durant l'épidémie de coronavirus de 2020, l'entreprise connaît une hausse de son chiffre d'affaires. En avril 2020, Spareka annonce avoir levé 5 millions d'euros auprès du fonds Paris Fonds Vert[6]. En mars 2023, Spareka lève 11 millions d'euros auprès d’investisseurs comme Demeter ou la Banque Des Territoires[10].

Notes et références[modifier | modifier le code]

  1. a et b « Geoffroy Malaterre, en guerre contre l'obsolescence programmée », sur La Tribune, (consulté le )
  2. a et b « Spareka, le site des pièces détachées contre l'obsolescence programmée », sur La Tribune, (consulté le )
  3. a et b « Spareka, la plateforme qui vous apprend à réparer », sur www.20minutes.fr, (consulté le )
  4. « Annonce des lauréats de la 1ère édition du programme French Tech 2030 », sur economie.gouv.fr,
  5. « Spareka : le business model des start-up de « réparation » », Les Echos Business,‎ (lire en ligne)
  6. a et b Déborah Loye, « Spareka lève 5 millions pour son outil d'autoréparation malgré la crise », sur Les Echos, (consulté le )
  7. « Où trouver des tutoriels en ligne pour réparer vos objets vous-mêmes ? », sur www.linfodurable.fr (consulté le )
  8. « Votre grille-pain est en panne réparez-le donc vous-même ! », sur LaProvence.com, (consulté le )
  9. « Tutos et diagnostics de réparation pour réparer soi-même », sur www.spareka.fr (consulté le )
  10. « Spareka : levée de fonds de 11 millions d'euros | Societe.Tech », (consulté le )