Marilyse Hamelin

Ajouter des liens
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Marilyse Hamelin
Biographie
Naissance
Nationalité
Formation
Activités
Autres informations
A travaillé pour
Membre de
Genres artistiques
Œuvres principales
  • Maternité, la face cachée du sexisme (2017)
  • Quelques jours avec moi (2021)
  • Une détresse contrôlée (2023)

modifier - modifier le code - modifier WikidataDocumentation du modèle

Marilyse Hamelin est une écrivaine, journaliste, essayiste, animatrice, chroniqueuse et conférencière québécoise née en 1980, à Amos, en Abitibi-Témiscamingue[1],[2],[3],[4],[5],[6].

Biographie[modifier | modifier le code]

Débuts comme journaliste[modifier | modifier le code]

Elle étudie le journalisme à l'UQAM[7] de 2000 à 2006 avant de travailler dans différents quotidiens québécois. Elle est d'abord commis à la rédaction, journaliste pigiste puis secrétaire de rédaction au journal Le Devoir de 2004 à 2006, puis reporter au Journal de Montréal en 2006, puis au journal Le Droit en 2007.

Elle devient ensuite, entre 2006 et 2012, rédactrice en chef, chef de pupitre, puis directrice de l'information chez Transcontinental média[8]. Elle est ensuite pupitreuse à l'Agence QMI jusqu'en 2013[9].

Militance féministe et journalisme engagé[modifier | modifier le code]

De 2013 à 2017, elle publie le blogue féministe La semaine rose[10]. Parallèlement, elle est embauchée aux communications publiques et numériques[11] par l'Association féminine d'éducation et d'action sociale du Québec (Afeas)[12].

À partir de 2015, on peut régulièrement l'entendre sur les ondes d'ICI Radio-Canada Première[13]. Au fil des ans, elle a prononcé plusieurs conférences dans les milieux scolaires[14], syndicaux[15] et communautaires[16], principalement à propos d'enjeux liés au féminisme et à la condition féminine. Elle s’est aussi impliquée bénévolement pour plusieurs causes dont la liberté de la presse[17] et la santé mentale des journalistes.

En 2015, elle cofonde avec la chercheuse Marie-Ève Maillé l'observatoire Décider entre hommes[18], qui porte sur la surreprésentation masculine dans les lieux de pouvoir[19], L'observatoire changera de main au printemps 2018, tombant sous la responsabilité du blogue Je suis féministe[20].

En 2016, elle effectue une tournée pan québécoise des établissements collégiaux pour parler de consentement sexuel[réf. souhaitée] en compagnie du rappeur Koriass et de la présidente du Conseil du statut de la femme de l’époque, l’actuelle sénatrice canadienne Julie Miville-Dechêne[21].

En mars 2017, elle est au cœur de ce qui a été appelé «la crise des blogueuses»[22], soit le cri du cœur contre le harcèlement en ligne des femmes[23],[24] qui défendent des positions féministes. Plusieurs chroniqueurs[25] et figures publiques[26] au Québec dénonceront ensuite le harcèlement en ligne dont sont victimes les femmes journalistes.

En juillet 2018, la journaliste dénonce par ailleurs le fait que l'aspirant premier ministre et chef de la Coalition avenir Québec (CAQ), François Legault, l'ait bloquée sans motif apparent sur Twitter[27]. Le politicien et actuel premier ministre du Québec finira par présenter ses excuses sur la plateforme et débloquera la journaliste ainsi que d'autres collègues québécois. Il récidivera néanmoins en 2020 à l'encontre du journaliste montréalais Aaron Derfel, ce qui suscitera un tollé[28].

De 2017 à 2019, elle est chroniqueuse au magazine Châtelaine, où elle tient la rubrique Féminin universel. Elle signe ensuite une chronique culturelle au magazine L’actualité durant l’année 2019.

Elle est récipiendaire du prix Reconnaissance 2018 de l’Association canadienne pour les Nations unies pour l’ensemble de son travail[29].

Entre 2018 et 2020, elle anime trois saisons du magazine culturel Nous sommes la ville[30] ainsi que la série Vue sur la relève[31] à l'antenne de MAtv Montréal. Ces deux projets ont pour buts de faire rayonner les femmes, les diversités sexuelles et culturelles ainsi que de célébrer l'art émergent. Parmi les collaboratrices régulières de l'émission, on compte Vanessa Destiné, Toula Drimonis, Estelle Grignon, Takwa Souissi et Marie-Lune Brisebois.

Épuisement militant[modifier | modifier le code]

En janvier 2020, elle quitte son blogue bimensuel pour le magazine L’actualité et se retire ensuite progressivement de la prise de parole publique et dans les médias à propos des enjeux égalitaires et de condition féminine en raison d’un épuisement causé par ce qu’on appelle désormais le « burnout ou fatigue militante »[32],[33].

Elle en témoigne dans le livre 11 bref essais sur la beauté, pour échapper à la tyrannie des idées reçues dans son essai intitulé «Au commencement, la laideur». D'ailleurs, durant une entrevue pour le quotidien La Presse au sujet du livre, elle se confie à la journaliste: «Après 10 ans de blogue et de chronique féministe, je trouvais que je n’avais plus rien à dire, j’étais fatiguée, j’étais à plat»[34].

Autrice et direction éditoriale[modifier | modifier le code]

En août 2017, elle publie l'essai Maternité, la face cachée du sexisme[35] chez Leméac éditeur. À sa sortie, le livre se classe 2e meilleur vendeur dans la catégorie essais au palmarès Gaspard-Le Devoir[36]; derrière le best-seller En as-tu vraiment besoin?[37] du chroniqueur et animateur Pierre-Yves McSween[38]. Le livre est traduit en 2018 par la maison Baraka Books et est publié sous le titre Motherhood, The Mother of all Sexism: A Plea for Parental Equality.[39]

Entre 2017 et 2021, elle contribue à plusieurs ouvrages collectifs publiés aux éditions du Remue-Ménage, chez Québec Amérique, chez Guy-Saint-Jean éditeur et aux éditions Somme toute, dont: Libérez la colère (2018)[40], 11 Brefs essais pour l’égalité des sexes (2019)[41], Dictionnaire du sexisme dans la langue(2017)[42] et D'amour et d'oubli (2021)[43],[44], un collectif pour amasser des fonds pour la lutte contre l'Alzheimer réunissant 32 personnalités publiques et littéraires québécoises, dont Kim Thuy, Gilles Archambault, Raôul Duguay, Marie Laberge, Ariane Moffat, Stanley Péan, Larry Tremblay et Kim Yaroshevskaya.

En septembre 2021, elle publie son premier récit autobiographique intitulé Quelques jours avec moi,[45],[46]. Illustré par l'artiste Agathe Bray-Bourret[47] et édité par la poète Anne Peyrouse[48], il est le 2e ouvrage à paraître dans la collection Hamac illustré[49] des Productions Somme toute[50] après Bagels de la romancière Fanie Demeule[51].

Toujours en 2021, elle dirige le collectif 11 brefs essais sur la beauté, pour échapper à la tyrannie des idées reçues,[52],[53] publié chez Somme toute éditeur et réunissant plusieurs écrivaines de renom telles que Heather O'Neill[54], Perrine Leblanc[55],[56] et Lynda Dion.

Elle dirige ensuite le collectif 15 brefs essais sur l'amour: petits et grands chantiers de reconstruction[57],[58], qui paraît en février 2023 et réunit notamment les plumes de Maude-Nepveu Villeneuve, Laura Doyle Péan, Fabiola Nyrva Aladin et Ouanessa Younsi.

À l'automne 2023 paraît son récit Une détresse contrôlée[59], une oeuvre très personnelle, qui lui vaut une invitation à une table ronde au Salon du livre de Montréal[60] en compagnie des autrices Neige Sinno, Léa Clairmont-Dion et Lynda Dion.

Œuvres[modifier | modifier le code]

Roman[modifier | modifier le code]

Livre illustré[modifier | modifier le code]

Essais[modifier | modifier le code]

Collectifs[modifier | modifier le code]

  • 15 brefs essais sur l'amour : petits et grands chantiers de reconstruction (Au commencement, le labeur), collectif sous la direction de Marilyse Hamelin, Montréal, éditions Somme toute, 2023, 144p. (ISBN 9782897943738)
  • 11 brefs essais sur la beauté : pour échapper à la tyrannie des idées reçues (Au commencement, la laideur), collectif sous la direction de Marilyse Hamelin, Montréal, éditions Somme toute, 2021, 112 p. (ISBN 9782897942670 et 2897942673)
  • D’amour et d’oubli - mots tendres sur l’Alzheimer (Journal de bord des morts), collectif sous la direction de Claudie Stanké, Montréal, Guy Saint-Jean Éditeur, 2021, 168 p. (ISBN 9782898271526).
  • 11 brefs essais pour l'égalité des sexes (Les meilleurs jours), ouvrage collectif sous la direction de Noémie Désilets-Courteau, Montréal, Éditions Somme toute, 2019. (ISBN 9782897940850)
  • Libérer la colère (Cachez cette colère que je ne saurais voir), ouvrage collectif sous la direction de Natalie-Ann Roy et Geneviève Morand, Montréal, Éditions du Remue-ménage, 2018, 208 p. (ISBN 9782890916203)
  • Démantèlement tranquille : le Québec à la croisée des chemins (Enjeux féministes), ouvrage collectif, Montréal, Québec Amérique, 2018. (ISBN 9782764436509)
  • Dictionnaire du sexisme dans la langue (Prendre), ouvrage collectif sous la direction de Suzanne Zaccour et Michaël Lessard, Montréal, Éditions Somme toute, 2017. (ISBN 9782924606605)

Prix et distinctions[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

  1. ↑ Étienne Paré, « C’est la fin pour «Plus on est de fous, plus on lit» », sur Le Devoir, (consulté le ).
  2. ↑ « Une conférence du Conseil du statut de la femme au Cégep », sur Le Courrier de Saint-Hyacinthe (consulté le ).
  3. ↑ Karine Castonguay, « De l’inconvénient d’être mère / Marilyse Hamelin, Maternité, la face cachée du sexisme, Montréal, Leméac Éditeur, Collection Présent, 2017, 184 pages », Les Cahiers de lecture de L'Action nationale, vol. 12, no 2,‎ , p. 13–14 (ISSN 1911-9372 et 1929-5561, lire en ligne, consulté le )
  4. ↑ MAtv, « Festival Vue sur la Relève - La chaîne MAtv® porte un regard sur les artistes », sur newswire.ca (consulté le ).
  5. ↑ « La recherche de joie pure de Marilyse Hamelin », sur ici.radio-canada.ca (consulté le ).
  6. ↑ « 8 mars, Journée internationale des femmes - Féministes tant qu'il le faudra », sur Fédération de l'industrie manufacturière (FIM–CSN), (consulté le ).
  7. ↑ « Lectures de septembre | UQAM », sur Actualités UQAM (consulté le ).
  8. ↑ « Transcontinental a lancé le Châteauguay Express | INFOSuroit.com », (consulté le ).
  9. ↑ « Stade olympique : le stationnement effondré a coûté 5M$ », sur TVA Nouvelles (consulté le ).
  10. ↑ ICI Radio-Canada télé |Émission Entrée principale, « Marilyse Hamelin, qui vient de publier «Maternité: la face cachée du sexisme» est journaliste indépendante, conférencière et blogueuse pour La semaine rose », sur Radio-Canada, (consulté le ).
  11. ↑ par Afeas, « Une gestionnaire de communauté se joint à l'Afeas », sur Afeas, (consulté le ).
  12. ↑ « L’AFEAS a 50 ans », sur Le Devoir (consulté le ).
  13. ↑ Émission Terriennes, « Maternité, la face cachée du sexisme, un manifeste pour l’égalité parentale au Québec », sur TV5MONDE, (consulté le ).
  14. ↑ MB, « La conférence « Sexe, égalité et consentement » au Cégep de Joliette », L'action de Joliette,‎ , p. 18 (lire en ligne)
  15. ↑ « Les activités entourant le 8 mars 2018 en région - Le comité de condition féminine du Conseil central de Lanaudière invite Marilyse Hamelin. Sa conférence portera sur les discriminations systémiques liées à la maternité. », sur csn.qc.ca, (consulté le ).
  16. ↑ L'Écho de Laval, « L’Afeas de Laval vous convie à une conférence de Marilyse Hamelin pour la Journée nationale du travail invisible », sur L'Écho de Laval, (consulté le ).
  17. ↑ « Une soirée cabaret pour la fragile liberté de presse », sur HuffPost Québec, (consulté le ).
  18. ↑ Revue À bâbord!, « Décider entre hommes - Revue À bâbord ! », sur ababord.org, décembre 2015 / janvier 2016 (consulté le ).
  19. ↑ Mathieu Charlebois, « Décider entre hommes, ma nouvelle page Facebook préférée », sur L’actualité (consulté le ).
  20. ↑ « «Décider entre hommes» change de main », sur Le Devoir (consulté le ).
  21. ↑ Sénat du Canada, « Sénat du Canada - Sénatrice Julie Miville-Dechêne », sur Sénat du Canada, (consulté le ).
  22. ↑ meveshaffer, « Des femmes et des trolls », sur Journal Métro, (consulté le ).
  23. ↑ Violette Cantin, « Une étude confirme que la cyberhaine vise davantage les femmes », sur Le Devoir, (consulté le ).
  24. ↑ « L’hostilité en ligne envers les femmes: étude », Conseil du statut de la femme,‎ (lire en ligne)
  25. ↑ « Bienvenue aux dames », sur La Presse, (consulté le ).
  26. ↑ « Troller les trolls : une enquête-choc avec Pénélope McQuade et réalisée par Hugo Latulippe, à Télé-Québec », sur Télé-Québec (consulté le ).
  27. ↑ Elisabeth Fleury, « François Legault, l’as du blocage sur Twitter? », sur Le Soleil, (consulté le ).
  28. ↑ Judith Desmeules, « Levée de boucliers contre Legault qui a bloqué un journaliste sur Twitter », sur Le Soleil, (consulté le ).
  29. ↑ a et b Fédération professionnelle des journalistes du Québec, « Le travail de Marilyse Hamelin reconnu », sur Infolettre FPJQ, .
  30. ↑ « - MAtv Montreal - Mes vidéos | MAtv.ca », sur - MAtv Montreal - Mes vidéos | MAtv.ca (consulté le ).
  31. ↑ « Vue sur la relève, zoom sur les artistes et leurs coulisses », sur Le Devoir, (consulté le ).
  32. ↑ Valentine Leroy, « Le burn-out des militantes féministes », sur Slate.fr, (consulté le ).
  33. ↑ newsdecadree, « La fatigue militante – notre BD exclusive d’octobre ! »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), sur DecadreE, (consulté le ).
  34. ↑ « Militants à bout de souffle », sur La Presse+, (consulté le ).
  35. ↑ Castonguay, K. (2018). Compte rendu de [De l’inconvénient d’être mère / Marilyse Hamelin, Maternité, la face cachée du sexisme, Montréal, Leméac Éditeur, Collection Présent, 2017, 184 pages]. Les Cahiers de lecture de L'Action nationale, 12 (2), 13–14
  36. ↑ Le Devoir, « Pamarès Gaspard-Le Devoir du 21 au 27 août 2017 », Le Devoir,‎ publié dans l'édition du samedi et dimanche 2& 3 septembre 2017, cahier culture, F3
  37. ↑ Agathe Boussard, « Un best-seller canadien plaide pour la déconsommation », Le Parisien,‎ , p. 14
  38. ↑ Mario Pitre, « Pierre-Yves McSween en nomination pour le Gala Artis », sur Journal Saint-François, (consulté le ).
  39. ↑ (en-CA) « Motherhood, the Mother of all Sexism », sur mRb, (consulté le ).
  40. ↑ « Manifeste pour le droit à la colère », sur Le Devoir (consulté le ).
  41. ↑ Andréanne Moreau, « Égalité des sexes: 11 brefs essais pour y arriver », sur Châtelaine, (consulté le ).
  42. ↑ Catherine Lalonde, « Deux ouvrages pour (re)conjuguer le français au féminin », sur ledevoir.com, (consulté le ).
  43. ↑ Maxime Prévost-Durand, « DES CHEMINS INVERSES ET DES « HASARDS INTELLIGENTS » », Le Courrier de Saint-Hyacinthe,‎ , p. 32
  44. ↑ « Une nouvelle aux côtés de grands noms », Le Courrier de Saint-Hyacinthe,‎
  45. ↑ Marie-Lise Rousseau, « Littérature: les paroles féminines à l’avant-plan », sur Journal Métro, (consulté le ).
  46. ↑ autres, « Les choix de Métro: T’as juste à porter plainte et La probabilité du néant », sur Journal Métro, (consulté le ).
  47. ↑ « Les nombreux bébés d'Agathe Bray-Bourret », sur La Presse+, (consulté le ).
  48. ↑ « L’art de brouiller les pistes », sur Le Soleil, (consulté le ).
  49. ↑ « Des récits illustrés chez Hamac », sur La Presse, (consulté le ).
  50. ↑ « Des récits illustrés chez Hamac », sur La Presse, (consulté le ).
  51. ↑ « «Bagels»: la bouleversante odeur de la pâte cuite », sur Le Devoir (consulté le ).
  52. ↑ « 11 brefs essais sur la beauté , ou comment se défaire de la quête perpétuelle de la beauté », sur ici.radio-canada.ca (consulté le ).
  53. ↑ « On part ça d'même : Dans une thérapie près de chez vous - La tyrannie de la beauté »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), sur WKND (consulté le ).
  54. ↑ (en) CBC Daybreak, « Heather O'Neill's essays on beauty », sur cbc.ca, (consulté le ).
  55. ↑ « Littérature | La tyrannie de la beauté », sur La Presse, (consulté le ).
  56. ↑ « 11 essais pour déconstruire la beauté... et la reconstruire », sur Le Devoir (consulté le ).
  57. ↑ Annabelle Caillou, « «15 brefs essais sur l’amour»: l’amour à toutes les sauces », sur Le Devoir, (consulté le )
  58. ↑ Silvia Galipeau, « Déconstruire l’amour avec un grand A », La Presse,‎ (lire en ligne, consulté le )
  59. ↑ Valérie Simard, « Une détresse contrôlée: Les écueils d’une vie », La Presse,‎ (lire en ligne, consulté le )
  60. ↑ Laila Maalouf, « Neige Sinno: Raconter l’irracontable », La Presse,‎ (lire en ligne, consulté le )
  61. ↑ « Maison de la littérature » (consulté le )
  62. ↑ UNEQ, « Prix et reconnaissances pour les membres de l'UNEQ », sur uneq.qc.ca, (consulté le ).
  63. ↑ « GPJI », sur Association des Journalistes Indépendants du Québec (consulté le ).
  64. ↑ Winners and Finalists 2016, « Canadian Online Publishing Awards », sur canadianonlinepublishingawards.com, (consulté le ).
  65. ↑ Philippe Papineau, « Médias - Le site Planète F tente le papier », Le Devoir,‎ , B8 (lire en ligne)
  66. ↑ Forum des communicateurs gouvernementaux - Prix Zénith, « Les lauréats et les finalistes de 2016 », sur Forum des communicateurs gouvernementaux, (consulté le ).
  67. ↑ Hebdos Québec, « Lauréats 2009 – Hebdos Québec », sur Hebdos Québec, (consulté le ).
  68. ↑ Métromédia, « Éditions virtuelles – Voix Pop Sud-Ouest », sur Journal Métro, (consulté le ).

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Ce document provient de « https://fr.wikipedia.org/w/index.php?title=Marilyse_Hamelin&oldid=215291378 ».