Le Rossignol et l'Empereur de Chine (film, 1948)

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Le Rossignol et l'Empereur de Chine

Titre original Císařův slavík
Réalisation Jiří Trnka
Scénario Jiří Brdecka
Jiří Trnka
Acteurs principaux
Sociétés de production Loutkovy Film Praha
Ceskoslovenský Státní Film
Pays de production Drapeau de la Tchécoslovaquie Tchécoslovaquie
Genre Animation, fantastique
Durée 72 minutes
Sortie 1949

Pour plus de détails, voir Fiche technique et Distribution.

Le Rossignol et l'Empereur de Chine (Císařův slavík) est un long métrage d'animation tchèque réalisé par Jiří Trnka, sorti en 1948.

Synopsis[modifier | modifier le code]

Dans le royaume chinois, tout le peuple se régale du chant merveilleux d'un rossignol du jardin de l'empereur. Celui-ci l'envoie chercher pour assister à un repas. Charmé lui aussi par sa musique, il décide de le garder avec lui, dans une cage. Jusqu'au jour ou son voisin, l'empereur du Japon, lui offre un oiseau de pierres précieuses, pouvant chanter une valse (la même, toujours) autant magique que si ce fut le vrai rossignol. Cependant, au bout d'un an, le faux rossignol se détraque, et l'empereur tombe malade. La Mort lui apparait. Le véritable oiseau revient, chante et sauve l'empereur. Celui-ci lui est entièrement reconnaissant et lui promet de ne rien dire.

Commentaire[modifier | modifier le code]

Une interprétation lyrique du conte traditionnel et des thèmes chers au réalisateur.

Fiche technique[modifier | modifier le code]

Distribution (pour la partie en images réelles)[modifier | modifier le code]

Autour du film[modifier | modifier le code]

Břetislav Pojar, lui-même futur réalisateur de films d'animation, est ici l'un des animateurs de marionnettes.

Dans la version américaine, la voix off est celle de Boris Karloff. Dans la version française, la voix off est celle de Jean Cocteau.

Distinctions[modifier | modifier le code]

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • (fr) Critiques dans Avant-Scène Cinéma n° 3, 1961 ; L'Écran français, n° 228, p. 5 (Virelles) ; n° 314, p. 7 (Jean Thévenot).

Liens externes[modifier | modifier le code]