Gatineau Paris
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| Gatineau Paris - EBP | |
 logo de Gatineau Paris | |
| Création | 1932
1960 (société actuelle) |
|---|---|
| Fondateurs | Jeanne Gatineau |
| Forme juridique | Société par actions simplifiée[1] |
| Slogan | Ma beauté demande des résultats |
| Siège social | Paris France
|
| Direction | Michael Sheehan + Karl Joubrel |
| Actionnaires | Revlon |
| Activité | Commerce de gros (commerce interentreprises) de parfumerie et de produits de beauté (d)[1] |
| Société mère | Beautyge France Holding |
| Sociétés sœurs | Elizabeth Arden (501-466-718)
+ Beautyge Brands + Beautyge Logistics |
| Effectif | 19 (en 2015) |
| SIREN | 602004442[1] |
| TVA européenne | FR20602004442 |
| Site web | www.gatineau-paris.com |
| Chiffre d'affaires | 10 908 400 € en 2015
comptes récents non déposés |
| Résultat net | 3 792 900 € (perte 2015) |
| modifier - modifier le code - voir Wikidata | |
Gatineau Paris est une marque de cosmétiques créée par Jeanne Gatineau en 1932.
Elle appartient à la société Européenne de Produits de Beauté (en abrégé EBP) elle-même intégrée dans le groupe Revlon.
Biographie de Jeanne Gatineau[modifier | modifier le code]
Jeanne Gatineau est née en 1885 à La Rochelle. Elle décide de se former à quarante ans aux métiers de masseuse et de pédicure médicale. Elle fait la saison en Auvergne où les cures thermales sont très prisées et retrouve ses clientes à Paris sur le boulevard Haussmann.
Elle crée son institut et y installe sa première cabine dès 1932[2]. En 1950, l’institut est agrandi.
Jeanne Gatineau élabore ses premiers produits de soins visage correspondant à chaque type de peau. Elle se consacre également à la création de maquillages, inventant ses «fards à rose». Jeanne Gatineau oriente enfin ses recherches vers l’amincissement, qui préoccupe les « garçonnes » et découvre les propriétés de l’iode. En 1947, elle crée Iodocellite, suivi en 1948, d’un traitement concentré sous forme d’ampoules pour le buste.
Jeanne Gatineau décide de partager son savoir-faire en ouvrant en 1950 une école d’esthétique. Dans le souci d'offrir des cours pertinents, elle fera appel à des médecins pour certaines interventions.
Notes et références[modifier | modifier le code]
- Sirene, (base de données)
- (fr) « Il était une fois... Jeanne Gatineau », sur www.gatineau-beauty.fr (consulté le )
Liens externes[modifier | modifier le code]
