Discussion:Trouble de la personnalité schizoïde

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Il n y avait qu'une partie de l'introduction lorsque je suis arrivé sur cette page :/ un peu court à mon sens pour permettre de remplir la bibliographie d'information qui ne parait pas réellement pertinente : Nous côtoyons l'autre mais ne le rencontrons jamais. Nous vivons socialement dans une sorte de coït interrompu généralisé. Page 105. Selon Norbert Elias, la civilisation des mœurs a constitué à accroître le contrôle sur tout ce qui tient à la nature animale de l'homme, refoulé soit vers les coulisses de la scène sociale soit vers la vie privée du couple. Page 67.

Ce livre s'appuie notamment sur la pensée de Georges Devereux qui par ses études sur la schizophrénie en est venu à considèrer nos psychoses comme étant éthniques, nourries et entretenues par la civilisation moderne. Ce livre aurait marqué une génération de lecteur. (cité sur Amazon par exemple)

Par politesse et parce que je ne suis pas un "ancien", je laisse, mais je me demande si cette partie est nécessaire...--Stéphane Desbrosses 29 mars 2007 à 11:26 (CEST)[répondre]

C'est moi qui avait ajouté ces extraits que je vais changer de place. Merci pour tes réflexions. Gourgandin 29 mars 2007 à 16:56 (CEST)[répondre]

Merci. une page spécifique pour le livre est surement mieux --Stéphane Desbrosses 29 mars 2007 à 22:59 (CEST)[répondre]

schizoïdie civilisationnelle Insister sur la différence entre "solitude" et schizoïdie", car elle n'est pas claire.[modifier le code]

schizoïdie : la confusion de celle-ci avec la schizophrénie. Le solitaire deviendrait schizophrêne, peut-être, mais les deux troubles ne sauraient se confondre. Trouble grave, bien qu'étant une affirmation qui me paraisse juste, apporte un biais réducteur. Ce serait peut-être sympa de faire une section schizoïdie civilisationnelle ou schizoïdie collective car l'article ne saurait faire état de la seule schizoïdie individuelle sans passer à côté de la définition. La solitude ne peut pas être colective, la schizoïdie si. Enfin c'est le propos (digéré par mes soins) de Roland Jaccard pour ceux que ça intéresse. (qui fut très influent dixit Christophe Dejours). Au prochain contributeur : on pourrait avoir des références s'il vous plait ? Bien cordialement, Gourgandin 21 avril 2007 à 08:58 (CEST)[répondre]

Quelques modifications[modifier le code]

Bonjour. Je viens de faire deux petites modifications : tout d'abord, j'ai remplacé le point d'exclamation par un point, les points d'exclamation étant AMHA à exclure des articles. Ensuite, j'ai retiré le bandeau ébauche médecine, vu que l'article n'est AMHA plus une ébauche à l'heure actuelle, bien que perfectible. Pour finir, il me semble que l'introduction pourrait être améliorée dans sa forme. "Cette personne" pourrait être remplacé par "Une personne schizoïde". Je vais faire cette modification en l'absence de remarques d'ici quelques jours. Cordialement, HackChirHack (d) 3 octobre 2009 à 12:35 (CEST)[répondre]

Schizo-affectif ?[modifier le code]

Je crois que la personne ayant comparé le trouble de la personnalité à la schizo-affectivité a commis une erreur. La schizo-affectivité est une relation "amour-haine" assez forte, souvent considéré comme pathologie, et n'a donc, à ma connaissance, aucun rapport avec ce trouble de la personnalité.

J'ai supprimé la phrase. -- Lydio (d) 2 août 2011 à 21:32 (CEST)[répondre]

Un peu d'esprit critique[modifier le code]

Bonjour, ce serait bien d'avoir un peu d'esprit critique vis à vis de vos sources. "plongé dans son imagination, [stoïque, très vulnérable à la frustration], [conciliant, grandiloquence], parfois célibataire, capable de fusion avec des personnes familières sélectionnées avec soin, tendances à avoir des intérêts pour ce qui relève du spirituel, mystique et la parapsychologie"

Tout cela quand ça ne se contredit pas ne relève en rien de la pathologie. N'importe qui refusant des relations superficielles et d'intellectuellement curieux rentre dans ces descriptions. Les schizo ce sont des gens en rupture avec la réalité, dont l'interprétation de leur histoire et de leurs relations sont toujours en rupture avec ce qui se passe vraiment. Ce sont des gens qui vont croire que les pâquerettes chuchotent à leur oreille.

Le DSM est largement la proie à du lobbying pharmaceutique. La timidité est par exemple est considéré comme un trouble... L'homosexualité a été considérée comme un trouble... tout ce qui n'est pas lisse est argument à vendre des cachetons. Je remercie par avance les auteurs de réexaminer ce qu'ils écrivent. — Le message qui précède, non signé, a été déposé par l'IP 128.78.71.79 (discuter), le 9 décembre 2015 à 22:24 (CET)[répondre]

Critères diagnostiques[modifier le code]

Une constante dans les 3 listes est la présence d'une faible attirance pour l'accomplissement de l'acte sexuel, ce qui ressemble beaucoup trop à une case pré-cochée pour faire passer un diagnostic bidon... Pour avoir fait moi-même l'objet d'un diagnostic de "trouble de la personnalité schizoïde" où absolument toute la liste du CIM-10 a été déroulée (ce qui est déjà suspect en soi), en les reprenant chacun parmi les 3 listes, seul ce critère diagnostic précis, parfaitement explicable par ailleurs, reste plus ou moins valide, la compensation du manque de relations sociales "physiques" par les MMORPG (de nombreux "accros" avoueront que c'est aussi leur cas) étant la contradiction la plus évidente du diagnostic et pouvant aisément dans certains cas avoir causé une désociabilisation telle qu'elle aura engendré le refoulement du "désir sexuel" par le "complexe de l'inexpérience" qu'il n'est pas besoin d'être psychiatre pour comprendre. En d'autres termes, la catégorisation du trouble lui-même semble avant tout avoir pour objectif de donner un semblant d'explication à de nombreux profils psychologiques pas du tout pathologiques (donc pas un "trouble") ne correspondant pas au moule qu'attend la société contemporaine, peu importe que ce soit pour déclarer les "patients" handicapés et les "aider" via des mécanismes de solidarité détournés de leur raison d'être ou pour d'autres raisons moins honorables encore (la forme de l'aide étant bien souvent totalement à côté de la plaque puisque le diagnostic lui-même l'est).

En outre, concernant la régression citée dans les critères de Guntrip, l'article auquel renvoie le terme présente l'évidente dérive oedipienne de la psychanalyse, où tout n'est que sexe : à ce stade, il convient très clairement de s'interroger sur la santé mentale des personnes qui croient en ce genre d'analyses (Freud en premier lieu, donc), car leur libido a manifestement pris le pas sur leur intellect, ce qui fait techniquement d'eux des animaux, au mieux (au pire, leur intellect reste fonctionnel mais subordonné aux pulsions sexuelles, ce qu'on appelle communément des déviants sexuels).

Le critère introspection/rêve lucide/imagination est pour sa part un fourre-tout assez incroyable dont la seule raison d'être est de semer la confusion et orienter l'interprétation (je suis effectivement très introverti, j'ai eu l'occasion d'effectuer des "rêves lucides", conséquences de l'introversion et de l'ancrage dans la réalité, ou tout du moins quelque chose qui y ressemblait beaucoup, mais je n'ai par contre aucun "attrait pour l'imaginaire", expression vide de sens pourtant présente dans la liste parfaitement exhaustive des critères dans mon diagnostic... en réalité, étant synonyme de fuite/détachement de la réalité, c'est ce seul point qui importe puisque les 2 autres ne peuvent en aucun cas avoir de conséquences pathologiques, le second étant d'ailleurs contradictoire malgré la mention de "cas extrêmes" - extrême lucidité confirmant plutôt l'absence de pathologie pour le coup -). --2A01:CB11:13:D700:BDDC:BB5A:3FD3:D3B3 (discuter) 25 octobre 2018 à 11:59 (CEST)[répondre]