Discussion:Seconde présidence de François Mitterrand

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Article Polémique non réintégré[modifier le code]

La « dérive monarchique du pouvoir » : les moyens employés pour protéger la deuxième famille du président de la république (écoutes téléphoniques notamment). Selon Constantin Melnik, dans sa tribune publiée par Le Monde en octobre 1996, la conception sacralisée du pouvoir personnel a été instaurée par de Gaulle dès les premières années de son premier mandat et les moyens employés sous François Mitterrand sont dérisoires à côté de ceux des années 1959-1962, certes pendant la guerre d'Algérie, mais pour des motifs divers (mise sur écoutes d'Hubert Beuve-Méry, Jean-Jacques Servan-Schreiber, de dirigeants syndicaux, d'avocats, d'hommes politiques). Ce paragraphe sur la dérive monarchique me parait prendre inutilement de la place d'autant plus qu'il est succint. Salomon 11 août 2006 à 11:21 (CEST)[répondre]