Claude Quillateau
| Claude Quillateau | |
| Naissance | Rabat (Maroc) |
|---|---|
| Décès | (à 88 ans) Marmande (Lot-et-Garonne) |
| Origine |  France
|
| Arme | Armée de terre, Justice militaire |
| Grade | lieutenant-colonel |
| Conflits | Seconde Guerre mondiale Guerre d'Indochine Guerre d'Algérie |
| Distinctions | Prix François-Coppée (1961) |
| Autres fonctions | sculpteur et poète |
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Claude Quillateau, né le à Rabat (Maroc) et mort le à Marmande (Lot-et-Garonne)[1], est un résistant, militaire, sculpteur et poète français.
Biographie[modifier | modifier le code]
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Très engagé dans la vie associative, il participe à de nombreuses associations françaises[2] :
- association nationale des collaborateurs de ministres et parlementaires[2]
- association des officiers de carrière en retraite[2]
- association Croix de guerre et Valeur militaire[2]
- association des anciens combattants des services de renseignements (Fondation de la France libre)[2]
- association des anciens combattants franco-polonais[2]
- Association nationale des anciens combattants de la Résistance[2]
- association des écrivains combattants[2].
Il est membre à vie du Salon national de l'Armée[2].
Il est également membre de nombreuses associations étrangères[2] :
- Académie royale de jurisprudence et de législation d'Espagne[2]
- Honorary attorney general du department of justice de l'état de Louisiane aux États-Unis[2]
- Grande médaille et Citation for Meritorious Services de l'American Legion[2]
- Centro de estudios historicos militares del Perù[2].
Distinctions[modifier | modifier le code]
Chevalier de la Légion d'honneur[3]. (1985)[2]
Commandeur de l'Ordre national du Mérite[3] (2010)[2]
Médaille militaire[3] (1964)[2]
Croix de la Valeur militaire (1961)[2]
Croix du combattant volontaire avec agrafe « Indochine »[3],[2]
Ordre du Million d'Éléphants et du Parasol blanc à titre civil (1955)[2]
Chevalier du Mérite social (1961)[2]
Chevalier du Mérite agricole (1976)[2]
Croix du Mérite avec glaives d'argent[2]- Médaille de la Résistance polonaise en France[2]
- Titulaire de la Médaille d'or du Rayonnement culturel[3]
- Titulaire de la Médaille de la Renaissance française[3],[2]
- Titulaire de la Médaille d'argent de la ville de Bordeaux[2]
- Titulaire de la Médaille de vermeil de la ville de Paris[2]
- Lauréat de l'Institut et de l'Académie française[4]
- Président de la délégation de La Renaissance française en Lot-et-Garonne, jusqu'en 2013, puis Président honoraire après cette date[3],[2].
Œuvres[modifier | modifier le code]
- Claude Quillateau, Poèmes apodes, Le Borée, , 32 p.[4],[2].
- Claude Quillateau et Gil Toro (dessins), L'Amour majeur, Paris, J. Grassin, , 40 p.[4]
- - Prix François-Coppée de l’Académie française (1961)[5],[2].
- Claude Quillateau et Gil Torro (illustrations), Flaques de sel, Paris, J. Grassin, , 36 p.[4],[2].
- Claude Quillateau, Olga Papastamou et Gaston Henri Aufrère (traducteur), Le Sang des étoiles, Athènes, , 47 p.[4].
- René Galichet et Claude Quillateau (illustrations), Les voix de l'Olympe : poèmes, La Ravoire, Gap, , 83 p. (ISBN 2-7417-0000-1)[4],[2].
- René Galichet et Claude Quillateau (dessins), La journée merveilleuse, Saint-Ouen-en-Brie, La Lucarne ovale, , 80 p. (ISBN 2-909082-72-5)[4],[2].
- Claude Quillateau, Le général Antoine Zdrojewski : un Polonais au service de la France, Bergerac, Les Collectionneurs bergeracois, , 96 p. (ISBN 2-915589-01-1)[4],[2].
- Claude Quillateau et Bernard Binlin Dadié, Bernard Binlin Dadié, l'homme et l'œuvre, Présence africaine, , 173 p. (lire en ligne)[2].
Notes et références[modifier | modifier le code]
- « le fichier INSEE des personnes décédées », sur deces.matchid.io (consulté le ).
- « Claude Quillateau », sur SMLH, (consulté le ).
- « Lot-et-Garonne : disparition de Claude Quillateau », sur La Renaissance française (consulté le ).
- « Claude Quillateau », sur BnF - Bibliothèque nationale de France, (consulté le ).
- « Claude QUILLATEAU », sur Académie française (consulté le ).
Voir aussi[modifier | modifier le code]
Bibliographie[modifier | modifier le code]
- « Le lieutenant-colonel Claude Quillateau nous a quitté », Courrier français du Lot-et-Garonne, (lire en ligne).
- Albert Oriol-Maloire, Ces jeunes dans la guerre (1939-1945) : Ils ont résisté et lutté pour la liberté, Martelle, , 176 p. (ISBN 978-2-402-04193-5 et 2-402-04193-5, EAN 978-2-40204-193-5, lire en ligne).
Liens externes[modifier | modifier le code]
- « Lot-et-Garonne : disparition de Claude Quillateau », sur La Renaissance française (consulté le ).
- « Claude QUILLATEAU », sur Sud-Ouest (consulté le ).
- « Colonel Claude QUILLATEAU », sur Groupement Lot-et-Garonne de l'Association Nationale des Officiers de Carrière en Retraite (consulté le ).
Catégories :
- Naissance en avril 1929
- Naissance à Rabat
- Décès en janvier 2018
- Décès à 88 ans
- Décès à Marmande
- Résistant français
- Sculpteur français du XXe siècle
- Poète français du XXe siècle
- Chevalier de la Légion d'honneur décoré en 1985
- Commandeur de l'ordre national du Mérite
- Titulaire de la médaille militaire
- Titulaire de la croix de la Valeur militaire
- Croix du combattant volontaire de la Résistance
- Chevalier du Mérite agricole
- Lot-et-Garonne pendant la Seconde Guerre mondiale
- Récipiendaire de l'ordre de la Croix de Grunwald
- Récipiendaire de la médaille d'or de la Renaissance française
- Chevalier de l'ordre du Million d'Éléphants et du Parasol blanc
- Lauréat de la médaille de la Ville de Paris
- Lauréat du prix de poésie de l'Académie française