Chronologie des alternatives (1941 à 1960)

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

On trouvera ci-après la chronologie des alternatives, entre 1941 et 1960, des matadors ayant laissé quelque trace dans l’histoire de la corrida, avec, dans la mesure du possible, les noms du parrain et du témoin de la cérémonie ainsi que celui de la ganadería (élevage)[1].

1941[modifier | modifier le code]

1942[modifier | modifier le code]

  •  : Luis Briones (Mexicain). Monterrey (Mexique, État de Nuevo León). Parrain, « Armillita Chico » (pas de témoin, la corrida ayant été un mano a mano) ; taureaux de la ganadería de Pastejé. Alternative non valide en Espagne ; il en prendra une valide le à Mexico, plaza « El Toreo ».

1943[modifier | modifier le code]

  • 26 octobre : Luis Procuna (Mexicain). Mexico, plaza « El Toreo ». Parrain, « El Soldado » ; témoin, Luis Briones ; taureaux de la ganadería de San Mateo.
  • 5 décembre : Gregorio García (Mexicain). Mexico, plaza « El Toreo ». Parrain, Jesús Solórzano ; témoin, « El Soldado » ; taureaux de la ganadería de Santín.

1944[modifier | modifier le code]

  • 8 octobre : Amador Ruiz (Espagnol). Cuenca (Espagne). Parrain, Pepe Bienvenida (pas de témoin, la corrida ayant été un mano a mano) ; taureaux des ganaderías de Garrudo et de Tassara. Il avait pris une première alternative le à Valence (Espagne), à laquelle il avait par la suite renoncé.

1945[modifier | modifier le code]

1946[modifier | modifier le code]

  • 19 mai : Miguel López (Colombien). Mexico, « plaza Monumental ». Parrain, Edmundo Zepeda ; témoin, Andrés Blando ; taureaux de la ganadería de San Diego de los Padres.
  • 20 juin : Paco Lara (Espagnol). Cadix (Espagne). Parrain, Fermín Rivera ; témoin, Juan Belmonte Campoy ; taureaux de la ganadería de Julia Cossío.
  •  : Félix Briones (Mexicain). Monterrey (Mexique, État de Nuevo León. Parrain, Lorenzo Garza (pas de témoin, la corrida ayant été un mano a mano) ; taureaux de la ganadería de La Punta. Alternative non valide en Espagne ; il en prendra une valide le 28 décembre suivant à Mexico, plaza « México ».
  •  : Félix Briones (Mexicain). Mexico, plaza « México ». Parrain, Lorenzo Garza ; témoin, « El Choni » ; taureaux de la ganadería de Zotoluca. Il avait auparavant pris une alternative, non valide en Espagne, le 24 novembre précédent à Monterrey (Mexique, État de Nuevo León).

1947[modifier | modifier le code]

  • 23 mars : Diamantino Vizeu (Portugais). Barcelone (Espagne). Parrain, « Gitanillo de Triana » ; témoins, Pepe Bienvenida et « Parrita » ; six taureaux de la ganadería de Antonio Escudero et deux de celle de Benítez Cubero.
  • 28 novembre : Jorge Medina (Mexicain). Mexico, plaza « El Toreo ». Parrain, Lorenzo Garza ; témoin, « El Soldado » ; taureaux de la ganadería de San Mateo.

1948[modifier | modifier le code]

1949[modifier | modifier le code]

  • 20 février : Alí Gómez (Vénézuélien). Mexico, « Plaza Monumental ». Parrain, Lorenzo Garza ; témoin, Antonio Velázquez ; taureaux de la ganadería de Tlaxcala.

1950[modifier | modifier le code]

1951[modifier | modifier le code]

1952[modifier | modifier le code]

  • 27 avril : Mario Sevilla (Mexicain). Mexico. Parrain, Francisco Ortiz ; témoin, « Morenito de Talavera Chico » ; taureaux de la ganadería de Piedras Negras. Il avait auparavant pris une alternative, non valide en Espagne, le à Arles (France, département des Bouches-du-Rhône).

1953[modifier | modifier le code]

1954[modifier | modifier le code]

  • 18 avril :
    • Alfredo Leal (Mexicain). Séville (Espagne). Parrain, « El Niño de la Palma » (Cayetano Ordóñez Araujo) ; témoin, Manuel Carmona ; taureaux de la ganadería de Prieto de la Cal. Il avait pris une première alternative le à Mexico, à laquelle il avait par la suite renoncé.
    • Carlos Corpas (Espagnol). Murcie (Espagne). Parrain, « Pedrés » ; témoin, Juan Montero ; taureaux de la ganadería de Francisco Chica.
  • 11 juillet : Raúl Iglesias (Espagnol). Madrid, plaza de Vista Alegre. Parrain, Jaime Malaver ; témoin, Enrique Vera ; taureaux de la ganadería de José Carvajal.

1955[modifier | modifier le code]

  • 6 février : Amado Ramírez (Mexicain). Mexico, plaza « México ». Parrain, Rafael Rodríguez ; témoin, José María Martorell ; taureaux de la ganadería de La Laguna.
  • 21 avril : César García (Équateurien). Riobamba (Équateur, province du Chimborazo). Parrain, « Valencia III » (pas de témoin, la corrida ayant été un mano a mano ; le parrain ayant été blessé par son premier taureau, César García dut combattre seul les six taureaux) ; taureaux de la ganadería de Santa Mónica.

1956[modifier | modifier le code]

1957[modifier | modifier le code]

1958[modifier | modifier le code]

1959[modifier | modifier le code]

  • 18 avril : Raúl Dávalos (Équateurien). Riobamba (Équateur, province du Chimborazo). Parrain, Paco Corpas ; témoin, Alonso Dávila (la corrida ayant été un mano a mano, celui-ci, encore novillero intervenait comme sobresaliente) ; taureaux de la ganadería de Santa Marta. Alternative non valide en Espagne.
  • 26 septembre : Manolo Martín (Espagnol). Barcelone (Espagne). Parrain, Mario Cabré ; témoins, Joaquín Bernadó et Victoriano Valencia ; six taureaux de la ganadería de Isabel Rosa y González et deux de celle de Clairac.

1960[modifier | modifier le code]

Sources[modifier | modifier le code]

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Aucune liste exhaustive ne semble possible : nombre de matadors ont pris l’alternative, sans que leur notoriété ait jamais dépassé les frontières de leur province, voire celles de leur village, et n’ont pas laissé la moindre trace dans l’histoire.
  2. En cas de double alternative, en principe, l’ordre dans lequel sera prise chacune des deux, donc l’ancienneté comme matador, est déterminé par l’ancienneté à Madrid en qualité de novillero. Aparicio et « Litri » ayant fait leur présentation à Madrid le même jour, leur ancienneté était identique. L’ordre des alternatives fut donc déterminé par tirage au sort.
  3. Voir Bérard .364 et : biographie dut torerosmexicanos