« Station de biologie des Laurentides » : différence entre les versions

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Contenu supprimé Contenu ajouté
Aucun résumé des modifications
Ajouté la section "Directeurs"
Ligne 11 : Ligne 11 :
}}
}}
La '''Station de biologie des Laurentides''', abrégée '''SBL'''<ref>{{Lien web |langue=fr |titre=La recherche à la SBL |url=https://sbl.umontreal.ca/nos-activites/la-recherche-a-la-sbl/ |site=Station de biologie des Laurentides - Université de Montréal |consulté le=2023-06-05}}</ref> est un milieu protégé depuis 1963 contribuant à la formation de scientifiques qualifiés et de citoyens responsables, tout en permettant la tenue de recherches dans un environnement protégé<ref name=":2" />. Il s'agit d'une infrastructure universitaire de recherche et d'enseignement relevant du département de Sciences biologiques, et de la [[Faculté des arts et des sciences de l'Université de Montréal|Faculté des arts et des sciences]] de l'[[Université de Montréal]]. Elle accueille depuis plus de 60 ans des chercheurs et étudiants du Québec pour y faire des recherches<ref name=":1">{{Lien web |langue=fr-CA |prénom=Marie-Catherine |nom=Goudreau |titre=Des recherches au cœur des Laurentides |url=https://www.journalacces.ca/cahier-de-la-semaine/cahier-emplois-et-formations/des-recherches-au-coeur-des-laurentides/ |site=Journal Accès |date=2021-09-28 |consulté le=2023-06-05}}</ref>. De plus, la station n'est pas qu'utilisée par des biologistes, elle sert de lieu de retraite d'écriture aux étudiants de plus de 27 départements différents<ref name=":1" />.
La '''Station de biologie des Laurentides''', abrégée '''SBL'''<ref>{{Lien web |langue=fr |titre=La recherche à la SBL |url=https://sbl.umontreal.ca/nos-activites/la-recherche-a-la-sbl/ |site=Station de biologie des Laurentides - Université de Montréal |consulté le=2023-06-05}}</ref> est un milieu protégé depuis 1963 contribuant à la formation de scientifiques qualifiés et de citoyens responsables, tout en permettant la tenue de recherches dans un environnement protégé<ref name=":2" />. Il s'agit d'une infrastructure universitaire de recherche et d'enseignement relevant du département de Sciences biologiques, et de la [[Faculté des arts et des sciences de l'Université de Montréal|Faculté des arts et des sciences]] de l'[[Université de Montréal]]. Elle accueille depuis plus de 60 ans des chercheurs et étudiants du Québec pour y faire des recherches<ref name=":1">{{Lien web |langue=fr-CA |prénom=Marie-Catherine |nom=Goudreau |titre=Des recherches au cœur des Laurentides |url=https://www.journalacces.ca/cahier-de-la-semaine/cahier-emplois-et-formations/des-recherches-au-coeur-des-laurentides/ |site=Journal Accès |date=2021-09-28 |consulté le=2023-06-05}}</ref>. De plus, la station n'est pas qu'utilisée par des biologistes, elle sert de lieu de retraite d'écriture aux étudiants de plus de 27 départements différents<ref name=":1" />.

== Description du territoire ==
D'une superficie de 16 kilomètres carrés<ref name=":1" />, le territoire de la station inclus plusieurs lacs utilisés pour la recherche<ref>{{Article|langue=en|prénom1=Matthew J|nom1=Bogard|prénom2=Paul A|nom2=del Giorgio|prénom3=Lennie|nom3=Boutet|prénom4=Maria Carolina Garcia|nom4=Chaves|titre=Oxic water column methanogenesis as a major component of aquatic CH4 fluxes|périodique=Nature Communications|volume=5|numéro=1|date=2014-10-30|issn=2041-1723|doi=10.1038/ncomms6350|lire en ligne=https://www.nature.com/articles/ncomms6350|consulté le=2023-06-05}}</ref> tels que : lac Croche, [[lac Geai]], [[lac Cromwell]] et le lac Triton<ref>{{Lien web |langue=fr |titre=Cartes |url=https://sbl.umontreal.ca/territoire-et-biodiversite/cartes/ |site=Station de biologie des Laurentides - Université de Montréal |consulté le=2023-06-05}}</ref>. Ces lacs sont étudiés par le Groupe de recherche inter universitaire en limnologie et en environnement aquatique (GRIL)<ref>{{Lien web |langue=fr-CA |prénom=France |nom=Poirier |titre=La santé des lacs à Saint-Hippolyte s’améliore |url=https://www.journallenord.com/actualite/la-sante-des-lacs-a-saint-hippolyte-sameliore/ |site=Journal le nord |date=2019-03-19 |consulté le=2023-06-05}}</ref>.


== Historique ==
== Historique ==
Ligne 19 : Ligne 22 :
En Juillet 2023, la station accueillait des artistes venus s'inspirer du travail de chercheurs en écologie aquatique, ce qui culmina par une exposition au [[Musée d'art contemporain des Laurentides|Musée d’art contemporain des Laurentides]]<ref>{{Lien web |langue=fr-CA |prénom=Simon |nom=Cordeau |titre=Station de biologie des Laurentides |url=https://www.journalacces.ca/communaute/inspirer-lart-par-la-science/ |site=Journal Accès |date=2022-07-31 |consulté le=2023-06-05}}</ref>.
En Juillet 2023, la station accueillait des artistes venus s'inspirer du travail de chercheurs en écologie aquatique, ce qui culmina par une exposition au [[Musée d'art contemporain des Laurentides|Musée d’art contemporain des Laurentides]]<ref>{{Lien web |langue=fr-CA |prénom=Simon |nom=Cordeau |titre=Station de biologie des Laurentides |url=https://www.journalacces.ca/communaute/inspirer-lart-par-la-science/ |site=Journal Accès |date=2022-07-31 |consulté le=2023-06-05}}</ref>.


== Directeurs ==
En 2023, l'entomologiste Colin Favret <ref>{{Lien web |langue=en |titre=Colin Favret |url=https://www.wikidata.org/wiki/Q21502936 |site=www.wikidata.org |consulté le=2023-06-05}}</ref>est nommé directeur de la SBL<ref>{{Lien web |langue=fr |titre=Professeur |url=https://bio.umontreal.ca/repertoire-departement/professeurs/professeur/in/in18974/sg/Etienne%20Lalibert%C3%A9/ |site=Département de sciences biologiques - Université de Montréal |date=2022-10-21 |consulté le=2023-06-05}}</ref>{{,}}<ref>{{Lien web |langue=fr |titre=Répertoire du personnel |url=https://sbl.umontreal.ca/nous-joindre/repertoire-du-personnel/ |site=Station de biologie des Laurentides - Université de Montréal |consulté le=2023-06-05}}</ref>.


Plusieurs directeurs se sont succédé au fil du temps. Grâce à leur gestion et leur vision, la Station de Biologie des Laurentides a su évoluer jusqu'à sa forme actuelle.
== Description du territoire ==
D'une superficie de 16 kilomètres carrés<ref name=":1" />, le territoire de la station inclus plusieurs lacs utilisés pour la recherche<ref>{{Article|langue=en|prénom1=Matthew J|nom1=Bogard|prénom2=Paul A|nom2=del Giorgio|prénom3=Lennie|nom3=Boutet|prénom4=Maria Carolina Garcia|nom4=Chaves|titre=Oxic water column methanogenesis as a major component of aquatic CH4 fluxes|périodique=Nature Communications|volume=5|numéro=1|date=2014-10-30|issn=2041-1723|doi=10.1038/ncomms6350|lire en ligne=https://www.nature.com/articles/ncomms6350|consulté le=2023-06-05}}</ref> tels que : lac Croche, [[lac Geai]], [[lac Cromwell]] et le lac Triton<ref>{{Lien web |langue=fr |titre=Cartes |url=https://sbl.umontreal.ca/territoire-et-biodiversite/cartes/ |site=Station de biologie des Laurentides - Université de Montréal |consulté le=2023-06-05}}</ref>. Ces lacs sont étudiés par le Groupe de recherche inter universitaire en limnologie et en environnement aquatique (GRIL)<ref>{{Lien web |langue=fr-CA |prénom=France |nom=Poirier |titre=La santé des lacs à Saint-Hippolyte s’améliore |url=https://www.journallenord.com/actualite/la-sante-des-lacs-a-saint-hippolyte-sameliore/ |site=Journal le nord |date=2019-03-19 |consulté le=2023-06-05}}</ref>.


* [[wikidata:Q113805614|Adrien Robert]] ; 1962-1964 ; Entomologie
* Pierre Jolicoeur (intérim) ; 1964-1966 ; Biomathématiques, régressions linéaires et relations allométriques chez les mammifères, biométrie.
* [[wikidata:Q119174091|Jean-Guy Pilon]] ; 1966-1976 ; Entomologie économique et appliquée, Biologie des odonates (demoiselles)
* [[wikidata:Q51997703|Pierre-Paul Harper]] ; 1976-1980 ; Entomologie et biologie des insectes
* Gérard Pageau (intérim) ; janvier - août 1980 ; Ichtyologie, écologie des poissons et du fleuve St-Laurent. Spécialiste des plantes aquatiques.
* [[wikidata:Q51997703|Pierre-Paul Harper]] ; 1980-1986 ; Entomologie et biologie des insectes
* Roch Carbonneau (intérim) ; été 1986 ; Endocrinologie des vertèbres
* [[wikidata:Q119174091|Jean-Guy Pilon]] ; 1986-1990 ; Entomologie économique et appliquée Biologie des odonates (demoiselles)
* John Downing ; 1990-1995 ; Limnologie, écologie aquatique, modèles de distribution spatiale et de prédiction de la biomasse, populations et communautés de moules d'eau douce
* [[wikidata:Q110888041|Asit Mazumder]] ; 1995-1999 ; Limnologie, qualité de l'eau, communautés planctoniques
* [[wikidata:Q28873872|Richard Carignan]] ; 1999-2011 ; Qualité des eaux de surfaces
* [[wikidata:Q60021853|Roxane Maranger]] ; 2011-2021 ; Bio-géochimie de l'azote et écologie écosystémique
* Houari Sahraoui (intérim) ; 2021 - 2023
* [[wikidata:Q21502936|Colin Favret]] ; 2023 - maintenant ; Entomologie<br />
== Activités de recherche ==
== Activités de recherche ==
La Station de Biologie des Laurentides est particulièrement utilisée pour la recherche en [[entomologie]] aquatique<ref name=":0" /> car Adrien Robert, un de ses fondateurs<ref name=":3" />, était un pionnier de la recherche sur les [[Insecte aquatique|insectes aquatiques]] du Québec<ref>{{Lien web |langue=en |titre=Les libellules du Québec |url=https://www.wikidata.org/wiki/Q119020792 |site=www.wikidata.org |consulté le=2023-06-05}}</ref>{{,}}<ref>Robert, A. (1963). ''Les libellules du Québec'' (Vol. 1). Station biologique du Mont Tremblant, Service de la recherche, Ministère de la chasse et des pêcheries, 1963, 1966 printing..</ref>{{,}}<ref>Bonneau, Gilles (2000). Bulletin de la société d'entomologie du Québec, Antenna. ''visage d'autrefois: Adrien Robert, Un maitre remarquable de l'enseignement de l'entomologie à l'Université de Montréal.''</ref>.
La Station de Biologie des Laurentides est particulièrement utilisée pour la recherche en [[entomologie]] aquatique<ref name=":0" /> car Adrien Robert, un de ses fondateurs<ref name=":3" />, était un pionnier de la recherche sur les [[Insecte aquatique|insectes aquatiques]] du Québec<ref>{{Lien web |langue=en |titre=Les libellules du Québec |url=https://www.wikidata.org/wiki/Q119020792 |site=www.wikidata.org |consulté le=2023-06-05}}</ref>{{,}}<ref>Robert, A. (1963). ''Les libellules du Québec'' (Vol. 1). Station biologique du Mont Tremblant, Service de la recherche, Ministère de la chasse et des pêcheries, 1963, 1966 printing..</ref>{{,}}<ref>Bonneau, Gilles (2000). Bulletin de la société d'entomologie du Québec, Antenna. ''visage d'autrefois: Adrien Robert, Un maitre remarquable de l'enseignement de l'entomologie à l'Université de Montréal.''</ref>.

Version du 27 avril 2024 à 02:24

Station de Biologie des Laurentides
Présentation
Type
Field station (d), objet géographique (en), station de rechercheVoir et modifier les données sur Wikidata
Site web
Localisation
Adresse
592 Chem. du Lac Croche, Saint-Hippolyte, QC J8A 3K9Voir et modifier les données sur Wikidata
Québec
 Canada
Coordonnées
Carte

La Station de biologie des Laurentides, abrégée SBL[1] est un milieu protégé depuis 1963 contribuant à la formation de scientifiques qualifiés et de citoyens responsables, tout en permettant la tenue de recherches dans un environnement protégé[2]. Il s'agit d'une infrastructure universitaire de recherche et d'enseignement relevant du département de Sciences biologiques, et de la Faculté des arts et des sciences de l'Université de Montréal. Elle accueille depuis plus de 60 ans des chercheurs et étudiants du Québec pour y faire des recherches[3]. De plus, la station n'est pas qu'utilisée par des biologistes, elle sert de lieu de retraite d'écriture aux étudiants de plus de 27 départements différents[3].

Description du territoire

D'une superficie de 16 kilomètres carrés[3], le territoire de la station inclus plusieurs lacs utilisés pour la recherche[4] tels que : lac Croche, lac Geai, lac Cromwell et le lac Triton[5]. Ces lacs sont étudiés par le Groupe de recherche inter universitaire en limnologie et en environnement aquatique (GRIL)[6].

Historique

Le frère Adrien Robert[7], un prêtre catholique et pionnier en entomologie au Québec est l'un des fondateurs de la SBL[8]. À cette époque, elle est connue sous le nom de Station de biologie de l'Université de Montréal[9]. Il fut le premier directeur de la station de 1962 à 1964[10].

En 2009, le territoire de la SBL acquiert le statut de réserve de biodiversité « projetée » de la part du gouvernement du Québec[2].

En Juillet 2023, la station accueillait des artistes venus s'inspirer du travail de chercheurs en écologie aquatique, ce qui culmina par une exposition au Musée d’art contemporain des Laurentides[11].

Directeurs

Plusieurs directeurs se sont succédé au fil du temps. Grâce à leur gestion et leur vision, la Station de Biologie des Laurentides a su évoluer jusqu'à sa forme actuelle.

  • Adrien Robert ; 1962-1964 ; Entomologie
  • Pierre Jolicoeur (intérim) ; 1964-1966 ; Biomathématiques, régressions linéaires et relations allométriques chez les mammifères, biométrie.
  • Jean-Guy Pilon ; 1966-1976 ; Entomologie économique et appliquée, Biologie des odonates (demoiselles)
  • Pierre-Paul Harper ; 1976-1980 ; Entomologie et biologie des insectes
  • Gérard Pageau (intérim) ; janvier - août 1980 ; Ichtyologie, écologie des poissons et du fleuve St-Laurent. Spécialiste des plantes aquatiques.
  • Pierre-Paul Harper ; 1980-1986 ; Entomologie et biologie des insectes
  • Roch Carbonneau (intérim) ; été 1986 ; Endocrinologie des vertèbres
  • Jean-Guy Pilon ; 1986-1990 ; Entomologie économique et appliquée Biologie des odonates (demoiselles)
  • John Downing ; 1990-1995 ; Limnologie, écologie aquatique, modèles de distribution spatiale et de prédiction de la biomasse, populations et communautés de moules d'eau douce
  • Asit Mazumder ; 1995-1999 ; Limnologie, qualité de l'eau, communautés planctoniques
  • Richard Carignan ; 1999-2011 ; Qualité des eaux de surfaces
  • Roxane Maranger ; 2011-2021 ; Bio-géochimie de l'azote et écologie écosystémique
  • Houari Sahraoui (intérim) ; 2021 - 2023
  • Colin Favret ; 2023 - maintenant ; Entomologie

Activités de recherche

La Station de Biologie des Laurentides est particulièrement utilisée pour la recherche en entomologie aquatique[12] car Adrien Robert, un de ses fondateurs[8], était un pionnier de la recherche sur les insectes aquatiques du Québec[13],[14],[15].

La majorité des spécimens entomologiques récoltés lors d'activités de recherche à la SBL sont préservés dans la collection Ouellet-Robert[16].

Elle est aussi utilisée par les chercheurs étudiant les effets du changement climatique sur la quantité de dioxyde de carbone émit par le sol[17].

De nombreuses études sur la biodiversité et l'écologie des plantes du Québec y sont menée[18],[19],[20]. Par exemple, l'espèce Anthoceros agrestis Paton (anthocérote des champs ) y a été observée en 2017 pour la première fois au Québec depuis 1959[21].

Publications

  • Harper, P., & Magnin, E. (1969). « Cycles vitaux de quelques Plecopteres des Laurentides (insectes). » Canadian Journal of Zoology, 47(4), 483-494.
  • Harper, F., & Magnin, E. (1971). « Emergence saisonnière de quelques éphéméroptères d'un ruisseau des Laurentides ». Canadian Journal of Zoology, 49(9), 1209-1221[12].
  • Mélançon, V., Breton, S., Bettinazzi, S., Levet, M., & Binning, S. A. (2023). « Mitochondrial enzyme activities and body condition of naturally infected sunfish (Lepomis gibbosus)». Physiological and Biochemical Zoology, 96(4), 000-000[22].

Notes et références

  1. « La recherche à la SBL », sur Station de biologie des Laurentides - Université de Montréal (consulté le )
  2. a et b « Notice 998458 - Réserve de biodiversité projetée de la Station-de-Biologie-des-Laurentides : conservation plan », sur www.bibliotheque.assnat.qc.ca (consulté le )
  3. a b et c Marie-Catherine Goudreau, « Des recherches au cœur des Laurentides », sur Journal Accès, (consulté le )
  4. (en) Matthew J Bogard, Paul A del Giorgio, Lennie Boutet et Maria Carolina Garcia Chaves, « Oxic water column methanogenesis as a major component of aquatic CH4 fluxes », Nature Communications, vol. 5, no 1,‎ (ISSN 2041-1723, DOI 10.1038/ncomms6350, lire en ligne, consulté le )
  5. « Cartes », sur Station de biologie des Laurentides - Université de Montréal (consulté le )
  6. France Poirier, « La santé des lacs à Saint-Hippolyte s’améliore », sur Journal le nord, (consulté le )
  7. (en) « Adrien Robert », sur www.wikidata.org (consulté le )
  8. a et b « Les fondateurs de la SBL », sur Station de biologie des Laurentides - Université de Montréal (consulté le )
  9. Harper, P. (1967). Les plécoptères d'un ruisseau de la station de biologie de l'Université de Montréal à Saint-Hippolyte (Comité de Terrebonne, PQ) et quelques aspects de leur biologie (Doctoral dissertation, Université de Montréal).
  10. Bonneau, Gilles, « Adrien Robert c.s.v. (1906-1964) », Bulletin Antennae de la Société d'entomologie du Québec, vol. V7, no N2,‎ , p. 12-15 (lire en ligne [PDF])
  11. Simon Cordeau, « Station de biologie des Laurentides », sur Journal Accès, (consulté le )
  12. a et b (en) Françoise Harper et Etienne Magnin, « Émergence saisonnière de quelques éphéméroptères d'un ruisseau des Laurentides », Canadian Journal of Zoology, vol. 49, no 9,‎ , p. 1209–1221 (ISSN 0008-4301 et 1480-3283, DOI 10.1139/z71-184, lire en ligne, consulté le )
  13. (en) « Les libellules du Québec », sur www.wikidata.org (consulté le )
  14. Robert, A. (1963). Les libellules du Québec (Vol. 1). Station biologique du Mont Tremblant, Service de la recherche, Ministère de la chasse et des pêcheries, 1963, 1966 printing..
  15. Bonneau, Gilles (2000). Bulletin de la société d'entomologie du Québec, Antenna. visage d'autrefois: Adrien Robert, Un maitre remarquable de l'enseignement de l'entomologie à l'Université de Montréal.
  16. (en) Colin Favret, Étienne Normandin et Louise Cloutier, « The Ouellet-Robert Entomological Collection: new electronic resources and perspectives », The Canadian Entomologist, vol. 151, no 4,‎ , p. 423–431 (ISSN 0008-347X et 1918-3240, DOI 10.4039/tce.2019.34, lire en ligne, consulté le )
  17. ICI.Radio-Canada.ca, « À quoi ressemblera la forêt du futur? », sur Radio-Canada.ca (consulté le )
  18. (en) Pierre Legendre, Miquel De Cáceres et Daniel Borcard, « Community surveys through space and time: testing the space–time interaction in the absence of replication », Ecology, vol. 91, no 1,‎ , p. 262–272 (ISSN 0012-9658, DOI 10.1890/09-0199.1, lire en ligne, consulté le )
  19. Natel, P., & Neumann, P. (1992). Ecology of ectomycorrhizal‐basidiomycete communities on a local vegetation gradient. Ecology, 73(1), 99-117.
  20. Collin, A., Messier, C., Kembel, S. W., & Bélanger, N. (2017). Low light availability associated with American beech is the main factor for reduced sugar maple seedling survival and growth rates in a hardwood forest of Southern Quebec. Forests, 8(11), 413.
  21. Jean, M. et J. Faubert, 2018. Redécouverte de l’Anthoceros agrestis Paton au Québec, Canada – Carnets de bryologie 22 : 1-4.1
  22. (en) Vincent Mélançon, Sophie Breton, Stefano Bettinazzi et Marie Levet, « Mitochondrial Enzyme Activities and Body Condition of Naturally Infected Sunfish ( Lepomis gibbosus ) », Physiological and Biochemical Zoology,‎ , p. 000–000 (ISSN 1522-2152 et 1537-5293, DOI 10.1086/725209, lire en ligne, consulté le )

Voir aussi

Liens externes