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Le [[Cladistique|cladogramme]] est un outil pour visualiser et comparer les relations évolutives entre les taxons. Le point où un nœud se ramifie est analogue à une ramification évolutive – le diagramme peut être lu de gauche à droite, un peu comme une chronologie. Le cladogramme suivant de la famille des Balaenidae sert à illustrer le consensus scientifique actuel sur les relations entre la baleine franche du Pacifique Nord et les autres membres de sa famille.
Le [[Cladistique|cladogramme]] est un outil pour visualiser et comparer les relations évolutives entre les taxons. Le point où un nœud se ramifie est analogue à une ramification évolutive – le diagramme peut être lu de gauche à droite, un peu comme une chronologie. Le cladogramme suivant de la famille des Balaenidae sert à illustrer le consensus scientifique actuel sur les relations entre la baleine franche du Pacifique Nord et les autres membres de sa famille.

== Description ==
[[Fichier:North Pacific right whale (Eubalaena japonica) - John Durban (NOAA).jpg|vignette|Baleine franche du Pacifique Nord, photo de John Durban, NOAA]]
''E. japonica'' est une baleine à fanons très grande et robuste. Elle ressemble très étroitement à la baleine franche de l'Atlantique Nord (''E. glacialis'') et à la baleine franche de l'hémisphère Sud (''E. australis''), à tel point qu'elles étaient longtemps considérées comme une seule espèce. En effet, sans savoir de quel océan provient un individu, les similitudes physiques sont tellement importantes que les individus ne peuvent être identifiés à l'espèce que par analyse génétique. Par rapport aux autres espèces de baleines franches, ''E. japonica'' peut être légèrement plus grande. Comme d'autres baleines à fanons, les femelles baleines franches du Pacifique Nord sont plus grandes que les mâles. De plus, les individus de couleur bringée du Pacifique Nord sont moins courants que chez les baleines franches de l'hémisphère Sud.

''E. japonica'' se distingue facilement des autres espèces de baleines du Pacifique Nord par plusieurs caractéristiques morphologiques : absence de nageoire dorsale ou de bosse, dos très large et noir, callosités couvertes de cyamides sur la tête et les lèvres, mâchoire très arquée, rostre très étroit, et souvent un jet en forme de V. Les baleines franches du Pacifique Nord peuvent atteindre 15 à 18,3 m (49 à 60 pieds) de long à l'âge adulte, plus grandes que la [[Baleine franche de l'Atlantique nord|baleine franche de l'Atlantique Nord]].<ref name=":0">{{Article|prénom1=J.J.|nom1=Brueggeman|prénom2=T.|nom2=Newby|prénom3=R.A.|nom3=Grotefendt|titre=Catch Records of the Twenty North Pacific Right Whales from Two Alaska Whaling Stations, 1917-39|périodique=ARCTIC|volume=39|numéro=1|date=1986-01-01|issn=1923-1245|issn2=0004-0843|doi=10.14430/arctic2044|lire en ligne=https://journalhosting.ucalgary.ca/index.php/arctic/article/view/65096|consulté le=2024-05-13}}</ref> La masse corporelle typique est de 50 000 à 80 000 kg (110 000 à 180 000 livres)<ref>{{Ouvrage|titre=Animal|éditeur=DK ; Smithsonian Institution|date=2001|isbn=978-0-7894-7764-4|consulté le=2024-05-13}}</ref>, ou jusqu'à 100 000 kg (220 000 livres), ce qui est le double de celle des baleines à bosse typiques.<ref>{{Chapitre|titre chapitre=WHAT DID MALCOLM FRASER KNOW?|titre ouvrage=The Dismissal Dossier|éditeur=MUP|date=2017-10-18|pages totales=44–56|isbn=978-0-522-87301-6|lire en ligne=http://dx.doi.org/10.2307/jj.5993269.7|consulté le=2024-05-13}}</ref> Il y a un enregistrement d'une baleine de 19,8 m (65 pieds) capturée lors d'opérations soviétiques illégales,<ref>{{Article|prénom1=YV|nom1=Ivashchenko|prénom2=PJ|nom2=Clapham|titre=Soviet catches of right whales Eubalaena japonica and bowhead whales Balaena mysticetus in the North Pacific Ocean and the Okhotsk Sea|périodique=Endangered Species Research|volume=18|numéro=3|pages=201–217|date=2012-09-12|issn=1863-5407|issn2=1613-4796|doi=10.3354/esr00443|lire en ligne=http://dx.doi.org/10.3354/esr00443|consulté le=2024-05-13}}</ref> tandis que la fiabilité de mesures plus importantes de 20,7 m (68 pieds) avec 135 000 kg (298 000 livres)<ref>{{Chapitre|prénom1=Hideo|nom1=Omura|titre chapitre=Bryde’s Whale in the Northwest Pacific|titre ouvrage=Whales, Dolphins, and Porpoises|éditeur=University of California Press|date=2023-11-10|pages totales=70–78|isbn=978-0-520-32137-3|lire en ligne=http://dx.doi.org/10.2307/jj.8306021.8|consulté le=2024-05-13}}</ref> et 2 cas de 21,3 m (70 pieds)<ref>{{Ouvrage|prénom1=Susan Elizabeth|nom1=Parks|titre=Acoustic communication in the North Atlantic right whale (Eubalaena glacialis)|éditeur=Massachusetts Institute of Technology and Woods Hole Oceanographic Institution|date=2003|lire en ligne=http://dx.doi.org/10.1575/1912/2453|consulté le=2024-05-13}}</ref><ref name=":1">{{Article|prénom1=A. E.|nom1=Halaris|prénom2=K. T.|nom2=Belendiuk|prénom3=D. X.|nom3=Freedman|titre=Antidepressant drugs affect dopamine uptake|périodique=Biochemical Pharmacology|volume=24|numéro=20|pages=1896–1897|date=1975-10-15|issn=0006-2952|pmid=19|doi=10.1016/0006-2952(75)90412-8|lire en ligne=https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/19|consulté le=2024-05-13}}</ref>, un chacun du côté est et ouest du Pacifique, est incertaine. Elles sont beaucoup plus grandes que les [[Baleine grise|baleines grises]] ou à [[Baleine à bosse|bosse]] et également très robustes, notamment en comparaison avec les autres grandes baleines à fanons telles que les [[Baleine bleue|baleines bleues]] et les [[Rorquals|rorquals communs]]. Pour 10 baleines franches du Pacifique Nord prises dans les années 1960, leur circonférence devant les nageoires était de 0,73 de la longueur totale de la baleine.<ref name=":2">{{Ouvrage|titre=Wild mammals of North America: biology, management, and economics|éditeur=Johns Hopkins University Press|date=1983|isbn=978-0-8018-2353-4|consulté le=2024-05-13}}</ref> Il a été affirmé que les nageoires pectorales de la baleine franche du Pacifique sont plus grandes en proportion que celles des autres baleines franches et plus pointues, et il peut exister des différences de forme de la queue selon les individus ou le sexe.<ref name=":1" /> De plus, des différences de coloration et de forme mineure des fanons entre le Pacifique et l'Atlantique ont été notées.
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Les baleines franches sont également uniques en ce sens qu'elles possèdent toutes des [[Callosité|callosités]] - des zones rugueuses de l'épiderme recouvertes de milliers de petits cyamides de couleur claire. Les callosités apparaissent en taches sur sa tête juste derrière les évents, le long du rostre jusqu'à la pointe, qui a souvent une grande callosité, appelée par les baleiniers "bonnet".<ref name=":2" /> Le but fonctionnel des callosités n'a pas été déterminé.

La baleine boréale étroitement liée diffère de la baleine franche en l'absence de callosités, ayant une mâchoire plus arquée et une baleine plus longue. Les aires de répartition saisonnières des deux espèces ne se chevauchent pas. La baleine boréale se trouve au bord de la banquise dans des eaux plus arctiques dans la [[mer des Tchouktches]] et la [[mer de Beaufort]], et se trouve dans la mer de Béring uniquement pendant l'hiver. La baleine boréale n'est pas présente dans le Pacifique Nord.

Bien que plus de 15 000 baleines franches aient été tuées par les baleiniers dans le Pacifique Nord,<ref>{{Article|prénom1=James E.|nom1=Scarff|titre=Preliminary estimates of whaling-induced mortality in the 19th century North Pacific right whale (Eubalaena japonicus) fishery, adjusting for struck-but-lost whales and non-American whaling|périodique=J. Cetacean Res. Manage.|pages=261–268|date=2020-10-22|issn=2312-2706|issn2=1561-0713|doi=10.47536/jcrm.vi.282|lire en ligne=http://dx.doi.org/10.47536/jcrm.vi.282|consulté le=2024-05-13}}</ref> il existe étonnamment peu de descriptions détaillées de ces baleines. La plupart de nos informations sur l'anatomie et la morphologie de l'Eubalaena japonica proviennent de 13 baleines tuées par les baleiniers japonais dans les années 1960<ref>{{Article|prénom1=M.|nom1=Ardenne|prénom2=P. G.|nom2=Reitnauer|titre=[Demonstration of tumor inhibiting properties of a strongly immunostimulating low-molecular weight substance. Comparative studies with ifosfamide on the immuno-labile DS carcinosarcoma. Stimulation of the autoimmune activity for approx. 20 days by BA 1, a N-(2-cyanoethylene)-urea. Novel prophylactic possibilities]|périodique=Arzneimittel-Forschung|volume=25|numéro=9|pages=1369–1379|date=1975-09|issn=0004-4172|pmid=22|lire en ligne=https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/22|consulté le=2024-05-13}}</ref> et de 10 baleines tuées par les baleiniers russes dans les années 1950.<ref>{{Article|prénom1=H.|nom1=Flohr|prénom2=W.|nom2=Breull|titre=Effect of etafenone on total and regional myocardial blood flow|périodique=Arzneimittel-Forschung|volume=25|numéro=9|pages=1400–1403|date=1975-09|issn=0004-4172|pmid=23|lire en ligne=https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/23|consulté le=2024-05-13}}</ref> Des informations de base sur les longueurs et les sexes des baleines franches sont également disponibles à partir des opérations de chasse à la baleine côtière au début du XXe siècle.<ref name=":0" />


== Annexes ==
== Annexes ==

Version du 13 mai 2024 à 22:32

Eubalaena japonica

Eubalaena japonica
Description de cette image, également commentée ci-après
Baleine franche du Pacifique Nord
Classification
Règne Animalia
Embranchement Chordata
Classe Mammalia
Ordre Cetacea
Sous-ordre Mysticeti
Famille Balaenidae
Genre Eubalaena

Espèce

Eubalaena japonica
(Lacépède, 1818)

Statut de conservation UICN

( EN )
EN D : En danger

Description de l'image Eubalaena japonica range map.png.

Statut CITES

Sur l'annexe I de la CITES Annexe I , Rév. du 01/07/1975

La Baleine franche du Pacifique Nord (Eubalaena japonica) est un mammifère marin en danger d'extinction. Le nombre exact de baleines est obscur[1], les estimations variant énormément. Bien qu'elle soit protégée depuis 1935[2], la chasse illégale pratiquée par des navires soviétiques dans les années cinquante et soixante ont drastiquement réduit le nombre d'individus. L'UICN estime que l'effectif de cette population relictuelle est désormais trop faible pour permettre une régénération de l'espèce, dont l'extinction semble inéluctable. Depuis l'annonce en août 2007 de l'extinction du dauphin de Chine (Lipotes vexillifer), la Baleine franche du Pacifique Nord est le mammifère marin le plus menacé de la planète.

En juin 2013, un individu fut observé au large de la côte occidentale du Canada pendant plusieurs jours[3]. C'était la première observation depuis 60 ans[3].

Taxonomie

Depuis 2000, les scientifiques considèrent les baleines franches dans le Pacifique Nord et les mers voisines comme une espèce distincte, Eubalaena japonica, la baleine franche du Pacifique Nord. Les différences génétiques entre E. japonica et E. australis sont beaucoup plus petites que celles des autres baleines à fanons entre différents bassins océaniques. [4]

Avant 2000, les baleines franches du Pacifique Nord étaient considérées comme conspécifiques avec les baleines franches de l'Atlantique Nord et de l'hémisphère Sud et étaient toutes décrites sous le nom Eubalaena glacialis dans la littérature scientifique. Tous ces animaux se ressemblent très étroitement en apparence extérieure. Les différences qui les séparent en espèces distinctes sont génétiques et sont discutées dans l'article sur les Balaenidae. La reconnaissance des différentes populations de baleines Eubalaena comme des espèces distinctes est soutenue par la Société pour la mammalogie marine,[5] le Service national des pêches maritimes des États-Unis et la Commission baleinière internationale.

Les baleines franches du Pacifique Nord, de l'Atlantique Nord et du Sud sont toutes membres de la famille des Balaenidae. La baleine boréale, trouvée dans l'Arctique, est également une baleine Balaenidae, mais suffisamment différente pour justifier son propre genre, Balaena.

Le cladogramme est un outil pour visualiser et comparer les relations évolutives entre les taxons. Le point où un nœud se ramifie est analogue à une ramification évolutive – le diagramme peut être lu de gauche à droite, un peu comme une chronologie. Le cladogramme suivant de la famille des Balaenidae sert à illustrer le consensus scientifique actuel sur les relations entre la baleine franche du Pacifique Nord et les autres membres de sa famille.

Description

Baleine franche du Pacifique Nord, photo de John Durban, NOAA

E. japonica est une baleine à fanons très grande et robuste. Elle ressemble très étroitement à la baleine franche de l'Atlantique Nord (E. glacialis) et à la baleine franche de l'hémisphère Sud (E. australis), à tel point qu'elles étaient longtemps considérées comme une seule espèce. En effet, sans savoir de quel océan provient un individu, les similitudes physiques sont tellement importantes que les individus ne peuvent être identifiés à l'espèce que par analyse génétique. Par rapport aux autres espèces de baleines franches, E. japonica peut être légèrement plus grande. Comme d'autres baleines à fanons, les femelles baleines franches du Pacifique Nord sont plus grandes que les mâles. De plus, les individus de couleur bringée du Pacifique Nord sont moins courants que chez les baleines franches de l'hémisphère Sud.

E. japonica se distingue facilement des autres espèces de baleines du Pacifique Nord par plusieurs caractéristiques morphologiques : absence de nageoire dorsale ou de bosse, dos très large et noir, callosités couvertes de cyamides sur la tête et les lèvres, mâchoire très arquée, rostre très étroit, et souvent un jet en forme de V. Les baleines franches du Pacifique Nord peuvent atteindre 15 à 18,3 m (49 à 60 pieds) de long à l'âge adulte, plus grandes que la baleine franche de l'Atlantique Nord.[6] La masse corporelle typique est de 50 000 à 80 000 kg (110 000 à 180 000 livres)[7], ou jusqu'à 100 000 kg (220 000 livres), ce qui est le double de celle des baleines à bosse typiques.[8] Il y a un enregistrement d'une baleine de 19,8 m (65 pieds) capturée lors d'opérations soviétiques illégales,[9] tandis que la fiabilité de mesures plus importantes de 20,7 m (68 pieds) avec 135 000 kg (298 000 livres)[10] et 2 cas de 21,3 m (70 pieds)[11][12], un chacun du côté est et ouest du Pacifique, est incertaine. Elles sont beaucoup plus grandes que les baleines grises ou à bosse et également très robustes, notamment en comparaison avec les autres grandes baleines à fanons telles que les baleines bleues et les rorquals communs. Pour 10 baleines franches du Pacifique Nord prises dans les années 1960, leur circonférence devant les nageoires était de 0,73 de la longueur totale de la baleine.[13] Il a été affirmé que les nageoires pectorales de la baleine franche du Pacifique sont plus grandes en proportion que celles des autres baleines franches et plus pointues, et il peut exister des différences de forme de la queue selon les individus ou le sexe.[12] De plus, des différences de coloration et de forme mineure des fanons entre le Pacifique et l'Atlantique ont été notées.

Baleine franche du Pacifique Nord, Baie de la demie lune, Californie, le 20 mars 1982, photo de Jim Scarff


Les baleines franches sont également uniques en ce sens qu'elles possèdent toutes des callosités - des zones rugueuses de l'épiderme recouvertes de milliers de petits cyamides de couleur claire. Les callosités apparaissent en taches sur sa tête juste derrière les évents, le long du rostre jusqu'à la pointe, qui a souvent une grande callosité, appelée par les baleiniers "bonnet".[13] Le but fonctionnel des callosités n'a pas été déterminé.

La baleine boréale étroitement liée diffère de la baleine franche en l'absence de callosités, ayant une mâchoire plus arquée et une baleine plus longue. Les aires de répartition saisonnières des deux espèces ne se chevauchent pas. La baleine boréale se trouve au bord de la banquise dans des eaux plus arctiques dans la mer des Tchouktches et la mer de Beaufort, et se trouve dans la mer de Béring uniquement pendant l'hiver. La baleine boréale n'est pas présente dans le Pacifique Nord.

Bien que plus de 15 000 baleines franches aient été tuées par les baleiniers dans le Pacifique Nord,[14] il existe étonnamment peu de descriptions détaillées de ces baleines. La plupart de nos informations sur l'anatomie et la morphologie de l'Eubalaena japonica proviennent de 13 baleines tuées par les baleiniers japonais dans les années 1960[15] et de 10 baleines tuées par les baleiniers russes dans les années 1950.[16] Des informations de base sur les longueurs et les sexes des baleines franches sont également disponibles à partir des opérations de chasse à la baleine côtière au début du XXe siècle.[6]

Annexes

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Liens externes

Notes et références

  1. Environnement et Changement climatique Canada, « Baleine noire du Pacifique Nord (Eubalaena japonica) : programme de rétablissement », sur www.canada.ca, (consulté le )
  2. (en) Kim E. W. Shelden, Sue E. Moore, Janice M. Waite et Paul R. Wade, « Historic and current habitat use by North Pacific right whales Eubalaena japonica in the Bering Sea and Gulf of Alaska », Mammal Review, vol. 35, no 2,‎ , p. 129–155 (ISSN 0305-1838 et 1365-2907, DOI 10.1111/j.1365-2907.2005.00065.x, lire en ligne, consulté le )
  3. a et b « Canada : une baleine noire du Pacifique Nord vue pour la première fois en 60 ans », sur lemonde.fr, (consulté le )
  4. J. Marniemi et M. G. Parkki, « Radiochemical assay of glutathione S-epoxide transferase and its enhancement by phenobarbital in rat liver in vivo », Biochemical Pharmacology, vol. 24, no 17,‎ , p. 1569–1572 (ISSN 0006-2952, PMID 9, DOI 10.1016/0006-2952(75)90080-5, lire en ligne, consulté le )
  5. A. Schmoldt, H. F. Benthe et G. Haberland, « Digitoxin metabolism by rat liver microsomes », Biochemical Pharmacology, vol. 24, no 17,‎ , p. 1639–1641 (ISSN 1873-2968, PMID 10, lire en ligne, consulté le )
  6. a et b J.J. Brueggeman, T. Newby et R.A. Grotefendt, « Catch Records of the Twenty North Pacific Right Whales from Two Alaska Whaling Stations, 1917-39 », ARCTIC, vol. 39, no 1,‎ (ISSN 1923-1245 et 0004-0843, DOI 10.14430/arctic2044, lire en ligne, consulté le )
  7. Animal, DK ; Smithsonian Institution, (ISBN 978-0-7894-7764-4)
  8. « WHAT DID MALCOLM FRASER KNOW? », dans The Dismissal Dossier, MUP, , 44–56 p. (ISBN 978-0-522-87301-6, lire en ligne)
  9. YV Ivashchenko et PJ Clapham, « Soviet catches of right whales Eubalaena japonica and bowhead whales Balaena mysticetus in the North Pacific Ocean and the Okhotsk Sea », Endangered Species Research, vol. 18, no 3,‎ , p. 201–217 (ISSN 1863-5407 et 1613-4796, DOI 10.3354/esr00443, lire en ligne, consulté le )
  10. Hideo Omura, « Bryde’s Whale in the Northwest Pacific », dans Whales, Dolphins, and Porpoises, University of California Press, , 70–78 p. (ISBN 978-0-520-32137-3, lire en ligne)
  11. Susan Elizabeth Parks, Acoustic communication in the North Atlantic right whale (Eubalaena glacialis), Massachusetts Institute of Technology and Woods Hole Oceanographic Institution, (lire en ligne)
  12. a et b A. E. Halaris, K. T. Belendiuk et D. X. Freedman, « Antidepressant drugs affect dopamine uptake », Biochemical Pharmacology, vol. 24, no 20,‎ , p. 1896–1897 (ISSN 0006-2952, PMID 19, DOI 10.1016/0006-2952(75)90412-8, lire en ligne, consulté le )
  13. a et b Wild mammals of North America: biology, management, and economics, Johns Hopkins University Press, (ISBN 978-0-8018-2353-4)
  14. James E. Scarff, « Preliminary estimates of whaling-induced mortality in the 19th century North Pacific right whale (Eubalaena japonicus) fishery, adjusting for struck-but-lost whales and non-American whaling », J. Cetacean Res. Manage.,‎ , p. 261–268 (ISSN 2312-2706 et 1561-0713, DOI 10.47536/jcrm.vi.282, lire en ligne, consulté le )
  15. M. Ardenne et P. G. Reitnauer, « [Demonstration of tumor inhibiting properties of a strongly immunostimulating low-molecular weight substance. Comparative studies with ifosfamide on the immuno-labile DS carcinosarcoma. Stimulation of the autoimmune activity for approx. 20 days by BA 1, a N-(2-cyanoethylene)-urea. Novel prophylactic possibilities] », Arzneimittel-Forschung, vol. 25, no 9,‎ , p. 1369–1379 (ISSN 0004-4172, PMID 22, lire en ligne, consulté le )
  16. H. Flohr et W. Breull, « Effect of etafenone on total and regional myocardial blood flow », Arzneimittel-Forschung, vol. 25, no 9,‎ , p. 1400–1403 (ISSN 0004-4172, PMID 23, lire en ligne, consulté le )