« La Veuve joyeuse (film, 1925) » : différence entre les versions

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Le meilleure adaptation cinématographique de ''La veuve joyeuse'' et aussi la plus audacieuse. Bien que la moins reconnue des oeuvres de Stroheim, c'est pourtant l'une de celle qui est des plus parfaites et qui a subi le moins de mutilations.
Le meilleure adaptation cinématographique de ''La veuve joyeuse'' et aussi la plus audacieuse. Bien que la moins reconnue des œuvres de Stroheim, c'est pourtant l'une de celle qui est des plus parfaites et qui a subi le moins de mutilations.
Loin d'être une version édulcorée de son univers, ce film semble radicaliser son auteur.
Loin d'être une version édulcorée de son univers, ce film semble radicaliser son auteur.
Stroheim se montre davantage et plus violemment que dans ses films précédents.
Stroheim se montre davantage et plus violemment que dans ses films précédents.

Version du 15 novembre 2011 à 15:41

La Veuve joyeuse (The Merry Widow) est un film réalisé par Erich von Stroheim, sorti en 1925.

Synopsis

Dans le petit royaume du Monteblanco, Le prince Danilo en virée avec son cousin Mirko, tombe amoureux d'une danseuse, Sally O'Hara, qu'il promet d'épouser. Le roi Nikita I interdit le mariage : on n'épouse pas de roturière dans la famille. Mirko, qui a des penchants sadiques, s'empresse d'aller annoncer la nouvelle à Sally, qui s'effondre. Désemparée elle cède aux avances du vieillissant baron Sadoja, le riche banquier du royaume. Quelque temps plus tard celui-ci décède et elle hérite de sa fortune. Elle part vivre à Paris. Devenue riche, elle intéresse les têtes couronnées du royaume. Mirko part à Paris pour tenter de l'épouser et par là même la soustraire à Danilo qui l'aime toujours. Danilo rejoint à son tour Paris…

Fiche technique

Distribution

Commentaire

Le meilleure adaptation cinématographique de La veuve joyeuse et aussi la plus audacieuse. Bien que la moins reconnue des œuvres de Stroheim, c'est pourtant l'une de celle qui est des plus parfaites et qui a subi le moins de mutilations. Loin d'être une version édulcorée de son univers, ce film semble radicaliser son auteur. Stroheim se montre davantage et plus violemment que dans ses films précédents. Il procède ici à une mise à nue presque pornographique et obscène des motivations de toute une société.

  • Le montage a été initié par Stroheim, mais son contrat avec la MGM fut rompu et son travail revisité. Thalberg supervisa alors le montage que l'on connaît.

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