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En fait, les moyens n'ont jamais pu être mis en place, que ce soit l'armée permanente ou la réforme du [[Conseil de sécurité des Nations unies|Conseil de sécurité]]. En outre, les [[États-Unis]] n'ont pas vu d'un bon œil les nouvelles prérogatives que s'octroyait l'ONU, et Ghali ne sera pas réélu à son poste ([[1996]]). |
En fait, les moyens n'ont jamais pu être mis en place, que ce soit l'armée permanente ou la réforme du [[Conseil de sécurité des Nations unies|Conseil de sécurité]]. En outre, les [[États-Unis]] n'ont pas vu d'un bon œil les nouvelles prérogatives que s'octroyait l'ONU, et Boutros-Ghali ne sera pas réélu à son poste ([[1996]]). |
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Version du 25 janvier 2010 à 17:03
Dans le contexte de la fin de la Guerre froide, l'agenda pour la paix présenté par Boutros Boutros-Ghali, alors secrétaire général de l'ONU, le 17 juin 1992, s'effectue sur trois axes : la diplomatie préventive des conflits, le maintien de la paix dans les zones de risque de conflits et le rétablissement de la paix dans les régions en guerre. Il s'agit donc de revenir aux principes de la Charte de San Francisco (25 juin 1945) et même aux principes fondateurs de la Société des Nations.
En fait, les moyens n'ont jamais pu être mis en place, que ce soit l'armée permanente ou la réforme du Conseil de sécurité. En outre, les États-Unis n'ont pas vu d'un bon œil les nouvelles prérogatives que s'octroyait l'ONU, et Boutros-Ghali ne sera pas réélu à son poste (1996).