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Nendaka se tourne alors vers [[Mobutu Sese Seko|Mobutu]] afin d’obtenir son soutien. Ce dernier lui envoie immédiatement des troupes armées afin d’encercler les bureaux de la Sûreté. Dans la foulée, ils menacent d’arrêter et d’enfermer [[Christophe Gbenye]] si ce dernier intervient<ref>{{Lien web |titre=Redirecting... |url=https://heinonline.org/HOL/Page?men_tab=srchresults&handle=hein.journals/twls1990&id=220&size=2&collection=journals&terms=Nendaka&termtype=phrase&set_as_cursor= |consulté le=2024-05-16}}</ref>.
Nendaka se tourne alors vers [[Mobutu Sese Seko|Mobutu]] afin d’obtenir son soutien. Ce dernier lui envoie immédiatement des troupes armées afin d’encercler les bureaux de la Sûreté. Dans la foulée, ils menacent d’arrêter et d’enfermer [[Christophe Gbenye]] si ce dernier intervient<ref>{{Lien web |titre=Redirecting... |url=https://heinonline.org/HOL/Page?men_tab=srchresults&handle=hein.journals/twls1990&id=220&size=2&collection=journals&terms=Nendaka&termtype=phrase&set_as_cursor= |consulté le=2024-05-16}}</ref>.


Suite à cela, une ordonnance apparaît dans le journal officiel du gouvernement, le Moniteur Congolais, déclarant la nomination, par [[Joseph Kasa-Vubu|Kasa-Vubu]], de Nendaka au poste de directeur de la Sûreté, à compter du 1<sup>er</sup> juillet. Il a occupé le poste d'Administrateur en Chef de la Sûreté nationale pendant 5 ans. Suite aux querelles entre Nendaka et Gbenye, Adoula démet Gbenye de ses fonctions<ref name="Victor Nendaka Bika" />.
Suite à cela, une ordonnance apparaît dans le journal officiel du gouvernement, le Moniteur Congolais, déclarant la nomination, par [[Joseph Kasa-Vubu|Kasa-Vubu]], de Nendaka au poste de directeur de la Sûreté, à compter du 1<sup>er</sup> juillet. Il a occupé le poste d'Administrateur en Chef de la Sûreté nationale pendant 5 ans. Suite aux querelles entre Nendaka et Gbenye, Adoula démet Gbenye de ses fonctions.


=== L’implication de Victor Nendaka dans le décès de Patrice Lumumba ===
=== L’implication de Victor Nendaka dans le décès de Patrice Lumumba ===

Version du 17 mai 2024 à 12:59

Victor Nendaka Bika était un homme politique congolais de la République démocratique du Congo et du Zaïre. Il a été le directeur de la police de sécurité nationale et de l’agence de renseignement du Congo, la Sûreté nationale.

Biographie

Victor  Nendaka, également surnommé “Pa Vicky” [1]est né le 7 août 1923 à Kumu, qui se situe sur le territoire de Buta, dans la province Orientale du Congo belge. Il est décédé le 22 août 2002 des suites d’une longue maladie alors qu’il était en exil à Bruxelles. Ce dernier a été rapatrié afin d’être enterré au cimetière de la Gombe, à Kinshasa, République démocratique du Congo[2].Victor Nendaka aura vécu 76 ans.

Victor Nendaka Bika
Fonctions
Directeur de la Sûreté Nationale de la République du Congo

(5 ans)
Successeur Alexandre Singa Boyende Mosambayi
Biographie
Nom de naissance Victor Nendaka Bika
Surnom Pa Vicky
Date de naissance
Lieu de naissance Kumu, District de Buta, Province Orientale , Congo Belge
Date de décès (à 79 ans)
Lieu de décès Bruxelles, Belgique
Nature du décès Mort pour cause de maladie
Parti politique MNC-Lumumba, MNC-Nendaka et MPR
Père Angada Gabriel
Mère Tabapaya Elisabeth
Conjoint Astrid Mbooto

Famille

Victor Nendaka était l’unique enfant de sa mère Tabapaya Elisabeth et de son père Angada Gabriel. Cependant, il avait tout de même une demi-sœur et un demi-frère, qui se nomment Goningame Joséphine et Pae Pierre.

En 1943, il épousa une certaine Astrid Mbooto et, ensemble, ils  eurent six enfants : Gabrielle, André, Monique, Claude, Victorine et Astrid.Quelques années plus tard, sa femme et ses enfants furent exécutés par des rebelles[3]. Avant de mourir, Victor Nendaka pris soin de choisir l'emplacement de sa tombe. L’endroit était assez particulier car il n’y avait qu’une seule autre tombe, celle de son demi-frère, Pae Pierre.

Jeunesse et vie professionnelle

Durant sa jeunesse, Victor Nendaka a étudié aux Frères Maristes de Buta, il a terminé l’école secondaire en 1941. Ensuite, il a obtenu un job dans la Compagnie cotonnière Congolaise (COTONCO) à Buta dans laquelle il a travaillé jusqu’en 1945[4]. Après son travail en cotonnerie, Victor Nendaka a rapidement trouvé un autre emploi. Il a été embauché par la Société du Haut de Uele et du Nil (SHUN) à Kilomines en 1945 et y a travaillé jusqu’en 1949. À la fin de son contrat, il a décidé de s’installer à Léopoldville, connue aujourd’hui sous le nom de  Kinshasa. Là-bas, il a travaillé comme comptable adjoint à l'Établissement Maurice Michaux et Compagnie, de 1950 à 1953[1].

En 1953, Victor Nendaka refuse de travailler pour des entreprises et décide de travailler à son compte en devenant un homme d’affaires. D’abord, il a ouvert un bar qu’il a appelé “Bar Victor”. Ensuite, il a fondé l’agence de voyage “Nendaka”. C’était une agence dans laquelle les Congolais pouvaient réserver leurs voyages vers diverses petites destinations au Congo belge et au Ruanda-Urundi. Enfin, il a mis sur pied une agence d’assurances spécialement pour les Congolais propriétaires de bars, de cinémas et d'entreprises[1]. De fil en aiguille, Victor Nendaka est devenu bien connu et son commerce prospère. Il était compté parmi les notables de Léopoldville. C’est pourquoi, en 1953, lorsque Bruxelles est désignée pour héberger la première Exposition universelle et internationale organisée depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale, c’est lui, avec son agence d'assurance, qui va assurer les fils Kongo lors de leur voyage en Belgique. C’est ainsi qu’il se fait connaître dans le monde politique[4].

Carrière politique

Son entrée dans le monde politique

Le 6 août 1954, Victor Nendaka est élu en tant que président provincial de l'Association des Classes Moyennes Africaines (ACMAF) de Léopoldville et est amené à faire la connaissance du ministre des Colonies, Auguste Buisseret.

En septembre 1955, suite à une invitation de la Fédération des Associations de Colons du Congo Belge et du Ruanda-Urundi (FEDACOL), Victor Nendaka fait son premier voyage à Bruxelles, en  Belgique. Il est reçu en audience par Baudouin Ier, le Roi des Belges[1]. Ce voyage avait un double objectif. Le premier était de défendre les intérêts des congolais et le second de présenter des projets pour les congolais lors de la 4e session de la commission du Colonat. C’est à ce moment précis qu’il est entendu par le Roi Baudouin.

De 1957 à 1959, il a été l’un des trois délégués des classes moyennes africaines au sein du Conseil du Gouvernement. Ainsi, il a su amadouer et obtenir la confiance des classes moyennes en faisant adopter des décisions en leur faveur. Voici quelques exemples des œuvres de Nendaka envers la classe moyenne : électrification de la Cité indigène, l’accès au crédit immobilier, la création d’entreprises commerciales, etc[4].

Le 6 août 1959, la Cour d'Appel de Léopoldville a condamné Victor Nendaka à la peine de la servitude pénale principale de 9 mois de prison ferme et à une lourde amende financière. Sa condamnation est la conséquence de nombreuses escroqueries, tromperies et abus de confiance[1]. Cependant, au lieu de purger sa peine de  9 mois de prison, comme prévu initialement, il n’a passé que 3 mois en détention provisoire. Cette condamnation était loin de mettre fin à la carrière politique de Nendaka[4].

En effet, le 23 octobre 1959, Victor Nendaka est élu vice-président du Mouvement national congolais-Lumumba (MNC-L) au congrès de Stanleyville, actuelle ville de Kisanga. Ce parti a émergé d'une scission du Mouvement national congolais en deux, avec d’autre part, le Mouvement national congolais-Kalonji (MNC-K). Le président du MNC-L était Patrice Lumumba.

Parallèlement, Victor Nendaka devient, d’abord, membre du conseil d’administration d'Info Congo. Ensuite, il intègre le conseil de la cité de Léopoldville. Enfin,  il rejoint le comité  de la revue mensuelle  “La Voix du Congolais”.

En décembre 1959, le MNC-L organise une manifestation. Rapidement, cette réunion prend de l’ampleur et les forces de l’ordre sont contraintes d’intervenir. Lors de l’intervention, de nombreux manifestants sont grièvement blessés, d’autres encore abattus. Suite à cet événement, Lumumba est arrêté et enfermé. Étant donné que Victor Nendaka est le vice-président du MNC-L, il remplace Lumumba et devient ainsi le leader du mouvement[5].

Marche vers l’indépendance du Congo

Le 13 janvier 1959, le roi Baudoin 1er prononce un discours dans lequel il annonce la marche du Congo vers l’indépendance.  Du 20 janvier au 20 février 1960, une table ronde belgo-congolaise se tient à Bruxelles en Belgique[6].

Congolese and Katangese army officers with Kasa-Vubu

Lumumba étant toujours enfermé, c’est Victor Nendaka qui conduit la délégation chargée de participer aux travaux. Cela ne plaît pas à tout le monde et certainement pas à Joseph Kasa-Vubu. En effet, ce dernier va prendre la parole afin d’exiger la présence de Lumumba à la table ronde[5].De plus, la libération de Lumumba, détenu à Jadotville, plus communément appelée Likasi, est également exigée par les fils Kongo. Par conséquent, Lumumba est libéré et envoyé à Bruxelles afin de reprendre sa fonction de président du MNC-L[4].

Cette table ronde rassemble des grands leaders politiques congolais tels que, Joseph Kasa-Vubu (Alliance des Bakongo), Patrice Lumumba (MNC-L) épaulé par Victor Nendaka, Moïse Tshombé (CONAKAT) et Albert Kalonji (MNC-K). Ensemble, ils s’interrogent sur la future forme du nouvel État et portent un discours nationaliste revendiquant la souveraineté. On observe à cette table un front commun congolais qui fait face à des belges divisés. Ainsi, l’indépendance totale du Congo est déclarée le 30 juin 1960.

Élections générales de 1960

En avril 1960, alors que Victor Nendaka est toujours Vice-Président du MNC-LUMUMBA, lors d’un audit interne, les instances du MNCL ont découvert des irrégularités dans les virements financiers du parti. Ces virements datent de la période pendant laquelle Victor Nendaka remplaçait Lumumba à la tête du parti. Suite à ces découvertes, Nendaka est écarté du parti.

Victor Nendaka déclare qu’il a quitté le MNC-L de son plein gré, parce que Lumumba aurait accepté une somme d'argent conséquente de la part des communistes du Pacte de Varsovie. Toutefois, il n’a jamais pris la peine de prouver ces accusations.

Suite à cela, il décide de créer son propre parti politique, le MNC-NENDAKA, à moins de trois semaines des élections législatives, sénatoriales et provinciales du 11 au 22 mai 1960[4] .Toutefois, le parti de Victor Nendaka n’est pas élu. C’est bien le MNC-L qui remporte les élections. Lumumba sera ensuite désigné comme premier 1er ministre de la République démocratique du Congo avec Kasa-Vubu comme premier président.

Premier coup d’Etat en 1960

Après la proclamation de l’indépendance, le Congo est plongé dans une période de chaos. Les raisons de cette crise sont l’impréparation du pays à l’indépendance ainsi qu’une rébellion face à la hiérarchie blanche qui persistait.

Au même moment, des tensions se créent au sein du gouvernement, opposant, d’une part, ceux qui partagent les idéaux de P. Lumumba, à savoir, les lumumbistes. D’autres part, ceux qui sont en désaccord avec lui, à savoir, les anti-lumumbistes, tel que Victor Nendaka.

Cette crise est aggravée par la rivalité entre Joseph Kasa-Vubu et Lumumba. Le 14 septembre, Kasa-Vubu nomme Mobutu en tant que commandant en chef de l’armée. Le soir même, Mobutu met en œuvre son premier coup d’État. Il neutralise les deux hommes et les place en résidence surveillée. Tandis que Lumumba est écarté définitivement, Kasa-Vubu reprendra ses fonctions par la suite. Ce coup d'État marque un tournant important dans la carrière de Nendaka.

En effet, un mois plus tard, en octobre 1960, Victor Nendaka est nommé directeur de la Sûreté Nationale par commission temporaire. Nendaka réorganise rapidement cette institution et la transforme en un service efficace de collecte de renseignements.

Ensuite, il rejoint également le groupe Binza , un groupe qui s’était formé en septembre au sein du gouvernement congolais. Mobutu, chef d'état-major, général de l'Armée nationale congolaise, en est un membre clé. À la tête de la Sûreté, Nendaka devient également un acteur important au sein du groupe. En août 1961, Cyrille Adoula est nommé 1er ministre avec l’appui de ce même groupe et de la CIA.

Le 13 décembre 1961, le ministre de l'Intérieur lumumbiste Christophe Gbenye, tentant d'affirmer son contrôle sur la Sûreté, décide de démettre Victor Nendaka de ses fonctions.  Pour ce faire, son cabinet publie un communiqué indiquant que depuis le 12 décembre, la veille donc, Nendaka ne travaillait plus pour ce service et était ouvert à une réaffectation au sein du gouvernement.

Nendaka se tourne alors vers Mobutu afin d’obtenir son soutien. Ce dernier lui envoie immédiatement des troupes armées afin d’encercler les bureaux de la Sûreté. Dans la foulée, ils menacent d’arrêter et d’enfermer Christophe Gbenye si ce dernier intervient[7].

Suite à cela, une ordonnance apparaît dans le journal officiel du gouvernement, le Moniteur Congolais, déclarant la nomination, par Kasa-Vubu, de Nendaka au poste de directeur de la Sûreté, à compter du 1er juillet. Il a occupé le poste d'Administrateur en Chef de la Sûreté nationale pendant 5 ans. Suite aux querelles entre Nendaka et Gbenye, Adoula démet Gbenye de ses fonctions.

L’implication de Victor Nendaka dans le décès de Patrice Lumumba

Comme mentionné précédemment, le 14 septembre 1960, a eu lieu le 1er coup d'État. Lumumba est arrêté par les troupes de Mobutu le 1er décembre 1960. Il est capturé à Port Francqui et transporté par avion à Léopoldville afin d’être emmené dans la prison militaire de Thysstad.

En tant que directeur de la Sûreté nationale, Nendaka organise le transfert de Lumumba. Le 17 janvier 1961, Lumumba est transféré dans une prison à Jadotville avec ses deux compagnons Maurice Mpolo et Joseph Okito . Cette même nuit, ils sont exécutés par en peloton de la gendarmerie-armée de l’ancienne province du Katanga dans des circonstances jamais pleinement élucidées[8].

Victor Nendaka, qui, suite aux élections de 1960, n’avait pas une bonne relation avec Lumumba, a été suspecté d’avoir un lien avec cet incident. Il a été amené à témoigner devant la commission d’enquête parlementaire belge le 25 juin et le 6 juillet 2001[9]. Cependant, Nendaka clame son innocence concernant l’assassinat de Patrice Lumumba et explique que la commission Lumumba tente de le piéger.

Par ailleurs, en 2002, le gouvernement belge a reconnu avoir une part de responsabilités dans la mort de Lumumba. Quelques mois après cette déclaration, les États-Unis ont révélé que la CIA a joué un rôle dans l’assassinat de Lumumba[10].

Alliances politiques au Congo

En 1964, Cirylle Adoula est contraint de démissionner. Le 6 juillet 1964, Kasa-Vubu confie la tâche de former le nouveau gouvernement du Congo à Moïse Tshombé. Le 10 juillet Tshombé prête serment et devient 1er ministre[11].

En 1964, Nendaka décide de poser sa candidature pour devenir Président national du Rassemblement des Démocrates Congolais (RADECO). Toutefois, la Central Intelligence Agency (CIA), qui finance ce parti, lui a demandé de ne pas le faire afin que Cyrille Adoula soit le seul à poser une candidature pour le poste de Président du parti. Par conséquent, Nendaka s’est abstenu et a finalement formé une alliance avec la Convention Nationale Congolaise (CONACO) de Tshombé, ce qui leur a permis d'obtenir un total de dix sièges dans l'Uele.

Du 18 mars au 30 avril 1965, ont eu lieu les élections parlementaires de 1965. Nendaka en a alors profité pour créer un parti nommé Front Démocratique Congolais (FDC), intégré au RADECO. Il a présenté sa candidature à Buta, où il a été élu Député national et provincial[4].

Dans le gouvernement de Tshombé, Victor Nendaka devient ministre de l’Intérieur de décembre 1965 à juillet 1966[12].

Second coup d’Etat en 1965

Le 24 novembre 1965, un deuxième coup d'État militaire a lieu contre Kasa-Vubu. Ce dernier se fait évincer par Mobutu. Il prend le pouvoir avec l'accord des pays occidentaux, qui le voyaient comme un rempart contre le communisme en Afrique.

Sous le pouvoir de Mobutu, Victor Nendaka est promu au titre de ministre des transports et des communications jusqu’au 17 août 1968. Ensuite, il a été  ministre des finances, du budget et du portefeuille jusqu’au 31 juillet 1969[4].

Fin de carrière politique

En 1969, le président Mobutu décide d'écarter Nendaka du gouvernement malgré ses très bons résultats. En effet, sous Nendaka, le stock monétaire est passé de 1 700 millions à 270 millions de dollars américains. Victor Nendaka a cependant, continué d’avoir une influence sur le monde politique congolais, entretenant des relations avec ses principaux acteurs.

Par la suite, il a continué à donner des interviews et a décidé de retourner à l’Université Lovanium afin de rencontrer des étudiants.

À la chute du régime de Mobutu, vers les années 2000, Nendaka est parti vivre à différents endroits, notamment au Canada, en Belgique, en Suisse, et il a également résidé en France[4].

Références

  1. a b c d et e Freddy Mulongo, Fondateur et Rédacteur en Chef de Réveil FM International, « MUNDELE NDOMBE KAPITA-TRAITRE : VICTOR NENDAKA BIKA DU MNC-LUMUMBA À LA VENGEANCE DE L'ARRESTATION DE LUMUMBA ! », (consulté le )
  2. BO, « Décès de Victor Nendaka », (consulté le )
  3. Jean-Pierre Langellier, « 13 - Le second coup d’État », dans Mobutu, Perrin, coll. « Biographies », , 123–132 p. (ISBN 978-2-262-04953-9, lire en ligne)
  4. a b c d e f g h et i Messager, « LA TRAJECTOIRE DE VICTOR NENDAKA BIKA », (consulté le )
  5. a et b Freddy Mulongo, Fondateur et Rédacteur en Chef de Réveil FM International, « VICTOR NENDAKA BIKA : TORTIONNAIRE CRIMINEL, MONSTRE HUMAIN CONTRE LUMUMBA, MAURICE MPOLO ET JOSEPH OKITO, ARRIVÉS YEUX TROUÉS ET AGONISANTS À ELISABETHVILLE ! », (consulté le )
  6. (nl) Belga, « Mobutugetrouwe Victor Nendaka overleden », sur GVA, 24 augustus 2002 (consulté le )
  7. « Redirecting... » (consulté le )
  8. « Il y a 60 ans, l’assassinat de Patrice Lumumba, un crime politique avec des responsabilités belges » (consulté le )
  9. De Kamer, « Synthèse des auditions » [PDF], (consulté le )
  10. Jean-Pierre Langellier, « 13- Le second coup d'Etat », sur Cairn, (consulté le )
  11. A. Lederer, « Moise Tshombe » [PDF], (consulté le )
  12. « Ministère de l'intérieur | RDC » (consulté le )