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biographie de Houari OUALI
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Il est né le 14 septembre 1954 à Saint Chamond en France dans la Loire. Fils de Slimane ouali du village de Taourirt à Beni Djellil ( Wilaya de Bejaia).
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Ouali Houari est méconnu certes de la génération actuelle, mais il demeure un excellent footballeur algérien qui a débuté sa carrière footballistique avec l’association sportive de Saint-Etienne (ASSE), le club cher à Rachid Mekhloufi, Robert Herbin, Jean Michel Larqué et les frères Revelli. Les dirigeants des verts de Saint-Etienne fondaient beaucoup d’espoir sur ce joueur de football qui par son habileté et son aisance technique du seul pied gauche, lui permettait de réaliser certains trucs qui enthousiasmaient le public. Il était très doué techniquement et savait orchestrer avec adresse le jeu de ses coéquipiers à partir de l’entre- jeu. Ouali Houari était un joueur athlétique, puissant, infatigable et rapide, qui savait jouer avec la ligne de touche admirablement. Il était jeune, dix neuf printemps à peine, lorsque le sélectionneur national Makri, à la recherche d’un élément qui allie la technique au physique, lui fait appel pour affronter à Alger en date du 28 février 1974, la formation de la république démocratique d’Allemagne (RDA). Il réalisa un superbe match où il se signala par sa clairvoyance dans l’entre jeu et c’est justement là où le sélectionneur national Makri lui confie le rôle de meneur de jeu des «Verts». Houari décida de venir en Algérie pour accomplir son service national, un devoir sacré d’Algérien. Il signa une licence avec le Mouloudia d’Oran où il est très vite adopté par le public du 19 juin. Houari est un prénom synonyme des Hamraouas. Il ne tarda pas à s’intégrer mais la saison d’après, il opta pour le grand V du Chabab de Belcourt (Belouizdad). Rachid Mekhloufi, coach national et ancien professionnel de la grande formation de l’AS Saint-Etienne fait appel à ses services alors qu’il était à peine âgé de 21 ans et 8 mois, pour affronter à Paris en date du 5 mai 1976, l’équipe française du Red Star. Ouali a porté le maillot national par cinq fois et joué deux matchs amicaux, un match des éliminatoires de la Coupe du monde où sa présence dans le jeu se faisait remarquer par les connaisseurs du football. Sa manière de jouer le football d’inspiration avec une présence physique certaine dans l’entre jeu avec des passes rapides et précises accompagnées de gestes lumineux. Une fois son service national terminé, il quitta l’Algérie pour une carrière professionnelle qui n’aura pas été à la hauteur de ses ambitions puisqu’il évolua surtout en deuxième division. En football, il y a des hauts et des bas et c’est d’ailleurs pour cela que Ouali Houari n’a jamais regretté son passage en Algérie, que ce soit au MCO, au CRB et surtout avec les Verts dont il dit avoir été fier de porter le maillot national.[[Catégorie:Aide:Modèle de révision|Qui]]
* une personne, un groupe de personnes ou une organisation difficile à cerner, comme « les scientifiques », « les universitaires », « les chercheurs », « les historiens », « les philosophes », « le monde médical », « des milieux bien informés »{{etc.}} ;

* le « on » généralisateur et ses dérivés, tels « certains », « beaucoup de gens », « la plupart des gens », « une minorité », « tout le monde », « d'aucuns », « ceux qui »{{etc.}}

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Version du 25 janvier 2015 à 21:47

Il est né le 14 septembre 1954 à Saint Chamond en France dans la Loire. Fils de Slimane ouali du village de Taourirt à Beni Djellil ( Wilaya de Bejaia).


Ouali Houari est méconnu certes de la génération actuelle, mais il demeure un excellent footballeur algérien qui a débuté sa carrière footballistique avec l’association sportive de Saint-Etienne (ASSE), le club cher à Rachid Mekhloufi, Robert Herbin, Jean Michel Larqué et les frères Revelli. Les dirigeants des verts de Saint-Etienne fondaient beaucoup d’espoir sur ce joueur de football qui par son habileté et son aisance technique du seul pied gauche, lui permettait de réaliser certains trucs qui enthousiasmaient le public. Il était très doué techniquement et savait orchestrer avec adresse le jeu de ses coéquipiers à partir de l’entre- jeu. Ouali Houari était un joueur athlétique, puissant, infatigable et rapide, qui savait jouer avec la ligne de touche admirablement. Il était jeune, dix neuf printemps à peine, lorsque le sélectionneur national Makri, à la recherche d’un élément qui allie la technique au physique, lui fait appel pour affronter à Alger en date du 28 février 1974, la formation de la république démocratique d’Allemagne (RDA). Il réalisa un superbe match où il se signala par sa clairvoyance dans l’entre jeu et c’est justement là où le sélectionneur national Makri lui confie le rôle de meneur de jeu des «Verts». Houari décida de venir en Algérie pour accomplir son service national, un devoir sacré d’Algérien. Il signa une licence avec le Mouloudia d’Oran où il est très vite adopté par le public du 19 juin. Houari est un prénom synonyme des Hamraouas. Il ne tarda pas à s’intégrer mais la saison d’après, il opta pour le grand V du Chabab de Belcourt (Belouizdad). Rachid Mekhloufi, coach national et ancien professionnel de la grande formation de l’AS Saint-Etienne fait appel à ses services alors qu’il était à peine âgé de 21 ans et 8 mois, pour affronter à Paris en date du 5 mai 1976, l’équipe française du Red Star. Ouali a porté le maillot national par cinq fois et joué deux matchs amicaux, un match des éliminatoires de la Coupe du monde où sa présence dans le jeu se faisait remarquer par les connaisseurs du football. Sa manière de jouer le football d’inspiration avec une présence physique certaine dans l’entre jeu avec des passes rapides et précises accompagnées de gestes lumineux. Une fois son service national terminé, il quitta l’Algérie pour une carrière professionnelle qui n’aura pas été à la hauteur de ses ambitions puisqu’il évolua surtout en deuxième division. En football, il y a des hauts et des bas et c’est d’ailleurs pour cela que Ouali Houari n’a jamais regretté son passage en Algérie, que ce soit au MCO, au CRB et surtout avec les Verts dont il dit avoir été fier de porter le maillot national.