« Marylin Maeso » : différence entre les versions
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Admise à l'[[École normale supérieure (Paris)|École normale supérieure de la rue d'Ulm]] à [[Paris]] (Lettres 2009), elle obtient un [[Diplôme national de master|master]] (mention très bien) et une [[Concours d'agrégation en France|agrégation]] de [[philosophie]]<ref name="lepoint">{{Lien web|url=https://www.lepoint.fr/politique/normal-sup-la-tradition-et-les-imposteurs-04-05-2018-2215866_20.php#11|titre=Normale Sup, la tradition et les “imposteurs”|auteur=Marylin Maeso|date=4 mai 2018|site=Le Point}}.</ref>. En 2013, lors de sa dernière année au département de philosophie de l’ENS, elle participe à un projet intitulé « Les fabriques de l’inhumain », sous la direction du philosophe [[Marc Crépon]], qu'elle publiera ensuite sous le titre ''La Petite Fabrique de l'inhumain'' (2021), qui revisite ''[[La Peste]]'' d'Albert Camus<ref name="charliehebdo">{{Lien web|url=https://charliehebdo.fr/2021/10/societe/education/marylin-maeso-le-langage-peut-etre-une-arme-de-destruction-massive/|titre=Marylin Maeso : “Le langage peut être une arme de destruction massive”|auteur=Yann Diener|date=21 octobre 2021|site=Charlie Hebdo}}.</ref>. |
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Dernière version du 19 mai 2024 à 04:37
Naissance | |
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Nationalité | |
Formation |
École normale supérieure (diplôme de master, 2011) (agrégation de philosophie 2012) Université Paris I Panthéon-Sorbonne (doctorat 2017) |
Activité |
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Marylin Maeso, née le à Montpellier (Hérault), est une conférencière, écrivaine, philosophe et enseignante française. Spécialiste de l’œuvre d'Albert Camus[1], ses travaux se portent sur l'essentialisme et la philosophie politique contemporaine.
Biographie[modifier | modifier le code]
Marylin Maeso naît à Montpellier dans l'Hérault, le 13 janvier 1988. Durant son adolescence, elle fait la découverte d'Albert Camus et de son livre Le Mythe de Sisyphe alors qu'elle passe son baccalauréat, à Londres[2],[3].
Admise à l'École normale supérieure de la rue d'Ulm à Paris (Lettres 2009), elle obtient un master (mention très bien) et une agrégation de philosophie[4]. En 2013, lors de sa dernière année au département de philosophie de l’ENS, elle participe à un projet intitulé « Les fabriques de l’inhumain », sous la direction du philosophe Marc Crépon, qu'elle publiera ensuite sous le titre La Petite Fabrique de l'inhumain (2021), qui revisite La Peste d'Albert Camus[5].
Par la suite, étudiante en thèse, elle obtient un doctorat à l'école doctorale « Concepts et Langages », à l’université Panthéon-Sorbonne.
Elle collabore régulièrement avec les hebdomadaires L'Express et Le Point.
Depuis 2019, elle est rédactrice de la « chronique philo » mensuelle du Nouveau Magazine Littéraire.
Publications (essais)[modifier | modifier le code]
- Les Conspirateurs du silence, Paris, Éditions de l'Observatoire, , 176 p. (ISBN 979-10-329-0165-6)
- Lents demains qui chantent, Paris, Éditions de l'Observatoire, , 28 p. (ISBN 979-10-329-1544-8)
- L'Abécédaire d'Albert Camus, Paris, Éditions de l'Observatoire, , 235 p. (ISBN 979-10-329-0901-0)
- La Petite Fabrique de l'inhumain, Paris, Éditions de l'Observatoire, , 164 p. (ISBN 979-10-329-0600-2)
- Avec Norman Ajari, Où commence le racisme ? Désaccords et arguments, Paris, Philosophie Magazine, , 174 p. (ISBN 978-29-008-1825-1)
Notes et références[modifier | modifier le code]
- « Éducation, alimentation, genre… Comment six chercheuses voient l’avenir de notre société », sur Télérama, .
- « Marylin Maeso : “Albert Camus m’a littéralement sauvé la vie” », sur Philosophie Magazine, .
- Marie-Laure Delorme, « La philosophe Marylin Maeso : “Nous avons perdu le sens de l'humain” », sur Le Journal du dimanche, .
- Marylin Maeso, « Normale Sup, la tradition et les “imposteurs” », sur Le Point, .
- Yann Diener, « Marylin Maeso : “Le langage peut être une arme de destruction massive” », sur Charlie Hebdo, .
Liens externes[modifier | modifier le code]
- Ressource relative à plusieurs domaines :
- Marylin Maeso sur Philosophie Magazine