Cathédrale Saint-Vincent de Saint-Malo
Cathédrale Saint-Vincent de Saint-Malo | ||||
La flèche du clocher de la cathédrale. | ||||
Présentation | ||||
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Culte | Catholique romain | |||
Dédicataire | Saint Vincent | |||
Type | Ancienne cathédrale, église paroissiale depuis 1801 | |||
Rattachement | Archidiocèse de Rennes, Dol et Saint-Malo | |||
Début de la construction | XIIe siècle | |||
Fin des travaux | 1944-1972 (restauration) | |||
Style dominant | Roman, Gothique, Renaissance et Néoclassique | |||
Protection | Classée MH (1910) | |||
Site web | Cathédrale de Saint-Malo - Paroisse Saint-Vincent | |||
Géographie | ||||
Pays | France | |||
Région | Bretagne | |||
Département | Ille-et-Vilaine | |||
Ville | Saint-Malo | |||
Coordonnées | 48° 38′ 58″ nord, 2° 01′ 32″ ouest | |||
Géolocalisation sur la carte : Saint-Malo
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Géolocalisation sur la carte : France
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La cathédrale Saint-Vincent de Saint-Malo est une ancienne cathédrale catholique romaine dédiée à saint Vincent de Saragosse, située à Saint-Malo en Ille-et-Vilaine. Son architecture mélange les styles roman et gothique, et elle est classée monument historique depuis 1910[1]. Gravement endommagée durant les bombardements de Saint-Malo en août 1944, elle fut restaurée entre 1944 et 1972.
En 1146, elle devient le siège de l'évêché de Saint-Malo. Ce dernier est supprimé par la constitution civile du clergé en 1790, et son territoire réparti entre les diocèses de Rennes, de Saint-Brieuc et de Vannes.
Histoire
Avant que Saint-Malo ne devienne siège épiscopal, il existait à l'emplacement de la cathédrale un petit monastère dédié à Saint Malo et dépendant de l'abbaye de Marmoutiers. En 1145, Jean de la Grille, évêque d'Aleth depuis 1144, obtint du pape Eugène III que le siège du diocèse soit transféré à Saint-Malo et l'église monastique devint la cathédrale. Des transformations furent effectuées pour aboutir à une église de taille moyenne, en style roman, constituée d'une nef à trois travées et sans bas-côtés, d'un transept surmonté d'une tour carrée et d'un chœur. Sur le côté Sud étaient adossés un cloître et des bâtiments claustraux abritant un chapitre de chanoines réguliers. Au XIIIe siècle, le chœur fut reconstruit en style gothique par l'évêque Geoffroy de Pontual et une salle capitulaire fut adjointe au côté Sud.
La tour commencée au XIIe siècle fut surélevée en 1422. Le collatéral sud date également du XVe siècle, comme le prouvent l'enfeu où fut inhumé Olivier Troussier en 1475 et les armes sculptées de l'évêque Jean Lespervier. À cette même époque, trois nouvelles chapelles furent ajoutées au nord du chœur.
Entre 1583 et 1607, le collatéral nord fut réalisé par Thomas Poussin, tandis que le transept nord fut agrandi et la tourelle d'escalier de la tour construite. Le transept sud fut également prolongé de manière symétrique entre 1623 et 1630 par Jean Potier. En 1676, le sol du sanctuaire, du déambulatoire et le chœur ont été élevés au même niveau que la nef. En 1695, les canons de la flotte anglo-hollandaise détruisirent la rosace du chevet, laquelle fut remplacée par trois baies en plein-cintre.
Une chapelle au sud fut édifiée en 1718 puis la tour du clocher fut surélevée et coiffée d'un dôme en ardoise. La façade fut reconstruite en 1772-1773, en style néoclassique, sur les plans de Robert Verron, architecte de Saint-Servan. Elle est plaquée sur les maçonneries médiévales.
En 1851 est créée par l'architecte Reynaud une nouvelle porte de style Renaissance, à droite du grand portail. En 1858, Napoléon III se laissa convaincre par l'abbé Huchet de faire coiffer la tour d'une grande flèche ajourée en style breton en pierre de Caen, entourée de quatre clochetons ajourés. Elle fut construite par l'entrepreneur Leroyer, à partir des plans de Frangeul Père et Fils. Cette flèche, très semblable à celles de la cathédrale Saint‑Corentin de Quimper réalisées à la même époque, remplaça le dôme d'ardoise. La croix de couronnement, au sommet de la flèche fut posée en 1860.
Lors des combats de l'été 1944, la cathédrale fut gravement endommagée. La flèche fut pilonnée par un destroyer allemand, croyant qu'elle pourrait servir de repère aux Américains, et elle s'écroula sur la chapelle dite du Sacré-Cœur. Les dégâts nécessitèrent une restauration importante qui débuta dès 1944, sous la direction des architectes en chef des monuments historiques Raymond Cornon puis Pierre Prunet à partir de 1966.
Ceux-ci furent plus importants qu'initialement pensés, ayant pour conséquence que l'enveloppe des dommages de guerre ne suffit pas à la reconstruction complète de l'édifice. En effet la reconstruction de la nef absorba le budget prévu pour la flèche. Plus de dix ans après la fin de la reconstruction de la ville, et après plusieurs levées de fonts qui se firent jusqu'aux Canada, la flèche de la cathédrale put être enfin rebâtie. Bien que de hauteur identique à l'originale, cette nouvelle flèche, dessinée par Prunet, est d'un style plus dépouillé, s'inspriranr de celle de l'église Saint-Pierre de Périers. En 1972 eurent lieu de grandes cérémonie en présence d'évêques et de l'ambassadeur du Canada pour célébrer la « renaissance de la cathédrale ». En 1987, une nouvelle croix de couronnement fut érigée au sommet de la flèche.
Description
Le plan est en croix latine. Les voûtes sont d'ogives pour le chœur et le bas-côté sud, d'arêtes pour le bas-côté nord, et en lambris de couvrement moderne pour la chapelle sud.
Les matériaux utilisés pour la construction de l'édifice sont le granite, le moellon et la pierre de taille ; tandis que l'ardoise et la pierre ont été utilisées pour sa couverture.
La nef
La nef est composée de trois vaisseaux. La nef conserve d'intéressants chapiteaux romans. Leur ornementation est d'un travail grossier, mais les motifs en sont extrêmement variés. Ils présentent sous les angles des corbeilles, des cariatides, des têtes humaines, un moine écartant des rinceaux de ses bras, des poissons, une sirène, des dragons ailés, des animaux cabrés et à queue recourbée, de grandes feuilles étagées chargées de perles et formant volute, ou enfin des tiges courbées s'arrondissant sous les angles et s'épanouissant en hémi-fleur-de-lys ou fleurons à trois lobes. Les voûtes, fortement bombées à la mode angevine, sont pourvues de croisées d'ogives qui n'ont ici qu'un rôle purement décoratif.
Les collatéraux de la nef sont d'une architecture très sobre. Ils sont éclairés par des vitraux modernes réalisés par l'atelier de Max Ingrand. Dans le sol, une mosaïque commémore l'agenouillement de Jacques Cartier avant son départ pour le Canada, le .
Le chœur
Le chœur appartient au style ogival en lancette. Il se compose de quatre travées, dont trois en avant de l'autel et une en arrière.
Le chœur est, par ailleurs, par son décor et sa structure, un exemple très réussi de l'art anglo-normand des années 1250. La sculpture de son triforium, dont les détails rappellent le cloître du Mont Saint-Michel, est particulièrement élégante. Les chapelles creusées dans le mur qui ferme l'abside de biais sont très originales. Le déblaiement a permis de retrouver de nombreuses sépultures dont celle de l'évêque Jean de la Grille (3e arcade nord) et un ancien gisant qui est déposé dans le bas-côté sud. Dans la chapelle ajoutée au nord au XVIe siècle, le visiteur peut y voir les tombes de Jacques Cartier inhumé en 1557 ainsi que celle du corsaire René Duguay-Trouin dont les restes ont été ramenés de Paris en 1973.
Le chœur de la cathédrale se termine par un chevet plat aligné sur l'axe de la rue qui le borde à l'est. Ce chevet du XIIIe siècle se terminait à l'origine par un pignon de pierre supprimé après les bombardements anglo-hollandais de 1693-1695, qui ont aussi détruit la grande rose originelle. Cette rose est remplacée en 1717 par trois baies en plein cintre, puis en 1855 par un fenestrage néo-gothique. En 1966, les monuments historiques ont donné leur accord pour la reconstitution d'une grande rose inspirée de celle de Notre-Dame du Folgoët.
Les vitraux
Les bombardements de 1944 imposèrent de refaire à neuf l'ensemble des vitraux, illustrant l'évolution de l'art du vitrail religieux français de l'après-guerre[2]. Les vitraux de la nef sont confiés à Max Ingrand selon un programme historié[3]. Ainsi, il réalise les vitraux de la chapelle du Saint-Sacrement en 1954 sur le thème de l'Eucharistie, puis ceux de la façade occidentale en 1956 représentant des anges musiciens. Enfin, la même année, il crée deux baies pour le collatéral sud sur le sujet de Saint Malo et Saint Aaron et de Jacques Cartier. Du fait du décès de Max Ingrand en 1969, les vitraux du collatéral nord sont confiés à Michel Durand et Jean Gourmelin qui réalisent trois vitraux sur Saint Vincent, Jean de la Grille et le Tro Breizh en 1971.
Les vitraux du transept, du choeur et de la nef ont quant à eux été conçus dans un style non figuratif par le peintre Jean Le Moal en collaboration avec Bernard Allain[4].
Le mobilier
La chaire est de XVIIIe siècle. Elle a été remise à sa place dans la nef.
Le mobilier du sanctuaire comporte notamment un maître-autel, un siège de présidence et un baptistère en bronze. Ce sont des œuvres d'Arcabas père et fils.
Une statue de la Vierge à l’Enfant est visible dans l’axe collatéral sud. Elle ornait auparavant l’hôtel Blaize de Maisonneuve (5, rue d’Orléans), où son emplacement est encore visible. Cachée durant la Révolution, elle fut offerte par la famille à la paroisse en 1828. Gravement endommagée lors du bombardement de Saint-Malo au cours de l’été 1944, elle réintègre, réparée, l'édifice en 1951.
Les fonts baptismaux datent du XVIIIe siècle ainsi que trois statues en marbre blanc du sculpteur génois Francesco Maria Schiaffino.
Depuis 2003, elle abrite la statue de la Vierge à l'Enfant dite Notre-Dame de la Grand'Porte. Celle-ci, restaurée, se trouvait initialement au-dessus de la Grand-Porte de Saint-Malo intra-muros où elle est, pour des raisons de protection des intempéries, remplacée par une copie.
Le , Mgr Nicolas Souchu, évêque auxiliaire de Rennes préside la cérémonie de consécration du nouvel autel installé dans le chœur du XIIIe siècle de la cathédrale. La cérémonie se déroule en présence de l'artiste Goudji, créateur de l'autel.
Les orgues
La cathédrale Saint-Vincent compte trois orgues, toutes issues de la Manufacture Koenig de Sarre-Union. Ces instruments remplacent les anciennes Grandes-Orgues Debierre détruites au cours des bombardements de 1944 ainsi que l'orgue de chœur Cavaillé-Coll, instrument remonté après-guerre sur une tribune au bas de l'aile Saint-Côme et qui sera vendu à la Paroisse de Tinténiac en 1981.
Les Grandes-Orgues
Les Grandes-Orgues ont été réalisées par les facteurs Koenig, père et fils. Construites en 1977, elles ont été inaugurées en août 1980 par le chanoine Louis Aubeux, organiste de la cathédrale Saint-Maurice d'Angers. Composées de quatre claviers et d'un pédalier, elles comptent 35 jeux. Cet instrument remplace celui de style romantique construit en 1893 par Louis Debierre et qui fut détruit lors de la dernière guerre[5].
Sa composition est la suivante :
I. Positif dorsal C–g5 56 notes |
II. Grand-Orgue C–g5 56 notes |
III. Écho pectoral C–g5 56 notes |
IV. Bombarde C–g5 56 notes |
Pédale C-f3 30 notes |
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Montre 8 |
Montre 16 |
Salicional 8 |
Cornet V |
Contrebasse 16 |
Accessoires :
- Tirasses Positif, GO, Écho, Bombarde
- Accouplements Positif/GO, Écho/GO, Bombarde/GO
La transmission est mécanique et les claviers en fenêtre.
L'orgue de chœur
La construction de l'orgue de chœur a été premise par le legs d'une généreuse paroissienne décédée en 1999. L'instrument, construit par le maître facteur d'orgues Yves Koenig en 2014 a été béni en la solennité des saints apôtres Pierre et Paul par Mgr Nicolas Souchu alors évêque auxiliaire de Rennes, Dol et Saint-Malo.
Cet instrument présente la particularité de disposer de deux consoles. Le chœur de la cathédrale étant situé en contrebas de la croisée du transept, la console fixe s'y trouve placée pour l'accompagnement de la liturgique, notamment pour les offices dialogués avec les Grandes-Orgues, tandis que l'autre, mobile, permet à l'organiste de jouer au sein d'un orchestre, en particulier au cours des concerts programmés lors du Festival de Musique Sacrée de Saint-Malo[6].
La composition de l'instrument est la suivante :
I. Grand-Orgue C–g5 56 notes |
II. Récit expressif C–g5 56 notes |
Pédale C-f3 30 notes |
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Bourdon 16 |
Bourdon à cheminée 8 |
Bourdon (acoustique) 32 |
Accessoires :
- Tirasse GO
- Tirasse Récit
- Accouplement Récit/GO
- Expression Récit
- Trémolo récit
- Combinateur électronique
Accessoires supplémentaires propres à la console mobile :
- Accouplements GO/GO en 16 et en 4
- Accouplements Récit/GO en 16, en 8 et en 4
- Tirasse GO en 8 et en 4
- Transpositeur
Le positif de la chapelle du Saint-Sacrement
Le petit positif placé dans la chapelle du Saint-Sacrement a été acquis en 1986 par la paroisse de la cathédrale pour servir d'orgue de chœur après la mise en service des Grandes-Orgues en 1980 et la vente la même année de l'ancien orgue de chœur Cavaillé-Coll. Il s'agit d'un orgue-coffre de quatre jeux réalisé par la manufacture Yves Koenig de Sarre-Union. Destiné à soutenir les Chœurs de la cathédrale Saint-Vincent, notamment au cours de la grand-messe de 10h00, cet instrument, mécanique, transpositeur à raison de deux demi-tons successifs vers l’aigu, se trouvait originellement au milieu du chœur, près des rangées des stalles septentrionales[7]. La composition en est la suivante :
Clavier sur le dessus C/D-d5 50 notes |
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Bourdon 8 |
Les cloches
Le clocher abrite une sonnerie de 5 cloches de volée.
- Malo (bourdon) : Si bémol 2 - 3.605 kilos fondu en 2019 par Cornille-Havard à Villedieu-les-Poêles
Il remplace le bourdon du même nom, fondu en 1894 par Havard de Villedieu-les Poêles. Il fut refondu à deux reprises, en 1980 puis 1994, par Dominique Bollée à Saint-Jean-de-Braye (Orléans)
- Jacques Cartier : Do 3 - 2.163 kilos fondu en 2019 par Cornille-Havard à Villedieu-les-Poêles
Il remplace la cloche du même nom, fondue en 1894 par Havard de Villedieu-les Poêles
- Noguette : Ré 3 - 1.784 kilos fondue en 1989 par Dominique Bollée à Saint-Jean-de-Braye (Orléans)
Elle remplace la cloche du même nom, fondue en 1894 par Havard de Villedieu-les Poêles. C’est Noguette qui sonne l’ancien couvre-feu chaque soir à 22h00 depuis le XVIe siècle. Noguette vient du latin nox quieta qui signifie "nuit tranquille".
- Jean de la Grille : Mi bémol 3 - 1.488 kilos fondu en 2019 par Cornille-Havard à Villedieu-les-Poêles
Remplace la cloche Jean de Châtillon (autre nom de Jean de la Grille), fondue en 1894 par Havard de Villedieu-les Poêles.
- Notre-Dame de la Grand' Porte : Fa 3 - 1.125 kilos fondue en 2019 par Cornille-Havard à Villedieu-les-Poêles
Nouvelle cloche ajoutée à la sonnerie entièrement restaurée en 2019
Les quatre nouvelles cloches : Malo, Jacques Cartier, Jean de la Grille et Notre-Dame de la Grand'Porte ont été baptisées par Mgr Émile Marcus.[1] le 28 juillet 2019, et la nouvelle sonnerie au complet, de cinq cloches, inaugurée le 9 novembre 2019[8].
Vie spirituelle
La cathédrale de Saint-Malo dans les arts et la culture
Notes et références
- Notice no PA00090798 et Notice no IA00131082, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Pierre d' Ornellas, Herve Chouinard et Philippe Petout, Saint-Malo : la cathédrale des corsaires, (ISBN 978-2-8099-1391-0 et 2-8099-1391-9, OCLC 992529625, lire en ligne)
- Pierre d' Ornellas, Herve Chouinard et Philippe Petout, Saint-Malo : la cathédrale des corsaires, (ISBN 978-2-8099-1391-0 et 2-8099-1391-9, OCLC 992529625, lire en ligne)
- Pierre d' Ornellas, Herve Chouinard et Philippe Petout, Saint-Malo : la cathédrale des corsaires, (ISBN 978-2-8099-1391-0 et 2-8099-1391-9, OCLC 992529625, lire en ligne)
- Morvézen 2006, p. 277-279.
- Antoine Hervé et Yves Koenig, Cathédrale de Saint-Malo - Le nouvel orgue de chœur, Saint-Malo, 2014, Paroisse de la Cathédrale de Saint-Malo, plaquette de 15 pages réalisée à l'occasion de l'inauguration de l'instrument le .
- Morvézen 2006, p. 280-281.
- Brigitte Saverat-Guillard, « Saint-Malo. Les cloches de la cathédrale résonnent de nouveau dans la ville », sur Ouest-France, (consulté le ).
Voir aussi
Bibliographie
- Anne Autissier, La sculpture romane en Bretagne, XIe-XIIe siècles, Rennes, Presses universitaires de Rennes, , p. 330-331.
- Raymond Cornon, La cathédrale de Saint-Malo, dans Congrès archéologique de France. 107e session. Saint-Brieuc. 1949, Société française d'archéologie, 1950, p. 295-308.
- Sabine Morvézen (dir.), Orgues en Ille-et-Vilaine. Inventaire national des orgues, Rennes, Presses universitaires de Rennes, , 358 p. (ISBN 2-7535-0153-X).
- Pierre d'Ornellas (dir.), Saint-Malo, la cathédrale des corsaires, Strasbourg - Paris, La Nuée Bleue - Place des Victoires, , 450 p. (ISBN 978-2-8099-1391-0).
Articles connexes
- Saint Vincent de Saragosse
- Cathédrale Saint-Tugdual de Tréguier
- Liste des monuments historiques de Saint-Malo
- Liste des cathédrales catholiques romaines de France
- Liste des cathédrales de France protégées aux monuments historiques
- Liste des édifices romans en Bretagne
Liens externes
- Site officiel
- Ressources relatives à l'architecture :
- Ressources relatives à la religion :
- Photographies de la cathédrale prises avant 1944 et après la restauration de 1972, sur carphaz.com.
- La cathédrale Saint-Vincent, sur Topic Topos.
- Histoire et architecture - Cathédrale de Saint-Malo - Paroisse Saint-Vincent
- Monuments à Ancienne cathédrale Saint-Vincent - Patrimoine de France
- La Cathédrale Saint-Vincent et l'orgue, Saint-Malo, France - musiqueorguequebec.ca