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Études de psychologie en France

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Les études de psychologie permettent d'obtenir le titre de psychologue et d'exercer l'une de ses différentes spécialités : psychologue clinicien spécialisé en psychopathologie, psychologue clinicien spécialisé en neuropsychologie (communément appelé neuropsychologue), psychologue du travail, psychologue scolaire...

En Europe il est obligatoire de valider au moins 5 années universitaires pour avoir le droit de porter le titre de psychologue [1], en Amérique du nord il est nécessaire de faire un doctorat (Ph.D ou Psy.D) pour être psychologue.

Histoire

Cinq conférences sur la psychanalyse de Freud en 1909 à la Clark University

La question de l' étude de la psychanalyse est posée par Sigmund Freud de manière inaugurale en Hongrie, au Congrès de Budapest de 1918 : Sándor Ferenczi est chargé de cet enseignement. En France, l'enseignement de la psychanalyse à l'université est introduit dans le cadre des études de psychologie, d'abord dans l'après-guerre autour de la personnalité de Daniel Lagache, puis à partir des années 1960. Alors que la psychanalyse est devenue aujourd'hui une composante de la vie intellectuelle dans la culture française et occidentale, elle traverse actuellement une crise de son enseignement à l'université.

La psychanalyse aura été « introduite » en présence à l'université par Sigmund Freud lui-même avant son intervention de 1918 au Congrès de Budapest, où il pose la question problématique de son enseignement par les premiers psychanalystes, puis leurs successeurs.

1909-1917 : Conférences de Freud dans deux universités

Invité en 1909 par Granville Stanley Hall à tenir une série de conférences aux États-Unis, où il se rend avec Sandor Ferenczi et Carl Gustav Jung, Freud prononce Cinq leçons sur la psychanalyse à l'Université Clark de Worcester (Massachusetts)[2],[3]. Entre 1915 et 1917, il donne une série de conférences à l'Université de Vienne destinées à un public de médecins et de profanes, qui feront l'objet d'une publication (entre 1916 et 1917) intitulée Leçons d'introduction à la psychanalyse (Vorlesungen zur Einführung in die Psychoanalyse)[4].

1918, au Congrès de Budapest

Traduction anglaise par Joan Riviere des Leçons d'introduction à la psychanalyse que Freud a données à l'Université de Vienne en 1915-1917.

« Doit-on enseigner la psychanalyse à l'université? » : Freud introduit son propos par cette question à l'automne 1918, lors du Ve Congrès international de psychanalyse à Budapest[5]. Ce bref article est paru dans le numéro du 30 mars 1919 de l'hebdomadaire hongrois Gyógyászat (« La Thérapeutique ») à l'occasion d'une enquête sur la réforme de l'enseignement médical : il était alors question d'y intégrer un enseignement de la psychanalyse en faveur duquel plus d'un millier d'étudiants avaient adressé une pétition au recteur de l'Université[6]. Sándor Ferenczi fut chargé de cet enseignement pendant une brève période, de mars à août 1919, au moment du gouvernement bolchevique de Béla Kun[6]. Le texte original n'ayant pas été retrouvé, c'est sa traduction en hongrois (Kell-e az egyetemen a psychoanalysist tanitani?), probablement par Ferenczi, qui fut d'abord publiée, et ensuite retraduite[6]. La première traduction française (à partir du hongrois), de Judith Dupont, sous le titre « Faut-il enseigner la psychanalyse à l'Université? », est parue en 1971 dans Le Coq Héron[6].

1919, un problème de fond

Selon Danièle Brun, dans son intervention de 1919, Freud visait un problème de fond constitutif de la psychanalyse : « le caractère foncièrement étranger de la cure à toute espèce d'enseignement », ce qui fait toujours débat aujourd'hui : le débat tourne autour, d'un enseignement de la psychanalyse à l'université « hors les murs » (expression de Jean Laplanche)[5]. La psychanalyse se diviserait effectivement en « une partie privée, la cure » et « une partie publique, la métapsychologie », d'où un certain conflit entre la partie « privée » représentée par les sociétés de psychanalyse émettant un reproche d'ingérence de l'université dans la décision d'entreprendre une analyse, et la partie « publique » représentée par les enseignants pour lesquels l'accueil de la psychanalyse dans leur cursus met en question sa scientificité[5]. D'après Danièle Brun, c'est pour parer ce genre de risque qu'au moment de l'ouverture de l'université de Vincennes, Serge Leclaire fera en sorte que la psychanalyse y soit rattachée à la philosophie, sans pouvoir éviter du coup pour ce département sa dépendance de l'École de la Cause freudienne[5].

1949, enseignement à l'université

En 1949, Daniel Lagache, dont l'objectif était de « séparer à l'université l'enseignement de la psychologie de la philosophie » intègre la psychanalyse à la psychologie dans le cadre d'un programme de psychologie clinique[7], et ce dans le but de « favoriser l'accès des non-médecins à la psychanalyse »[7].

En 1968, une action menée par Juliette Favez-Boutonier, Jacques Gagey et Pierre Fédida, développée ensuite par Didier Anzieu à Nanterre, débouche sur deux diplômes nationaux que délivrent les principales U.F.R. de psychologie : le D.E.S.S. pour exercer la profession de psychologue clinicien, et le D.E.A. préliminaire à la thèse de doctorat[5]. Jean Laplanche crée en 1970 à Paris un Laboratoire de psychanalyse et de psychopathologie, en 1975 la revue Psychanalyse à l'université et en 1976, le « D.E.A. de psychanalyse » avec le doctorat qui lui sera associé au sein de la nouvelle Université Paris VII, dans l' U.E.R. des Sciences Humaines Cliniques dont il est l'un des fondateurs[5],[8].

Dans son article du Dictionnaire international de la psychanalyse (2002/2005), Danièle Brun considère que, plus de cinquante ans après « l'entrée officielle de la psychanalyse à l'université », la médecine « ne lui fait plus guère de place, et la psychiatrie témoigne d'un désinvestissement progressif », tandis que « le mouvement cognitiviste se montre de plus en plus fort »[5]. Cependant, la psychanalyse reste « présente dans la plupart des cursus en France et en Europe », ajoute-t-elle[5].

Aux yeux de Gérard Pommier, bien que la psychanalyse en France n'ait « jamais été autant prise en considération » et soit « devenue un fait majeur de notre culture – au sens le plus profond, comme le plus léger[note 1] du terme », elle est aujourd'hui « en passe d’être bannie des universités »[9]. Ce psychiatre et psychanalyste précise son dire en ces termes : « D’un côté – première historique – la psychanalyse vient d’être reconnue dans la loi relative à la politique de santé publique (voté en août 2004). L’article 52 de ce texte accorde le titre de psychothérapeute non seulement aux médecins et aux psychologues, mais aux membres des associations psychanalytiques »[9], tandis que « d’un autre côté, diverses commissions d’expertises s’acharnent à faire disparaître la psychanalyse de l’université »[9]. L’enseignement de la psychanalyse serait donc « en voie d’élimination des facultés de psychologie. La commission d’experts de l’aeres, qui évalue les unités de recherche, ne reflète plus la diversité des paradigmes de formation de la psychologie » [9],[note 2]. Pour Gérard Pommier, « l’on ne dénombre plus les universités de psychologie où la clinique n’est plus enseignée, et encore moins celle d’orientation psychanalytique »[9].

Diplômes de psychologie

Le titre de psychologue

En France, la profession de psychologue est une profession réglementée dont le titre est protégé par la Loi no 85-772 du [10]. Ainsi, pour faire usage du titre de psychologue il est nécessaire d'obtenir une Licence mention « Psychologie » et un Master mention « Psychologie ». L'École de psychologues praticiens, basée à Paris et à Lyon, permet également d'accéder au titre protégé de psychologue (en vertu du décret no 90-255 du fixant la liste des diplômes permettant de faire usage professionnel du titre de psychologue). Durant le Master, il est également nécessaire de réaliser un mémoire de recherche et un stage professionnel d'un minimum de 500 heures auprès d'un psychologue ayant une expérience de plus de trois ans.

La licence de psychologie

L'accès à la Licence de psychologie est de droit pour l'ensemble des bacheliers (de filière générale, technologique et professionnelle) ainsi que pour les détenteurs du DAEU. La licence se déroule sur 3 ans (L1, L2 et L3). Généralement, les deux premières années s'articulent autour de cours d'introduction aux différents domaines de la psychologie (psychologie clinique, psychopathologie, psychologie du développement, psychologie sociale, psychologie cognitive expérimentale, psychophysiologie), des cours d'introduction à des disciplines connexes (linguistique, sociologie), une part non négligeable de statistiques et de biologie ainsi que des cours de méthodologie de recherche en psychologie, de l'anglais et de l'informatique. En L3, grâce au jeu des options et parfois la réalisation d'un mémoire et d'un stage l'étudiant a la possibilité de se pré-spécialiser dans un domaine de la psychologie. L'organisation des cours est différente d'une université à une autre mais le contenu reste tout de même semblable. Certaines universités mettent davantage l'accent sur les aspects cliniques de la psychologie (comme l'Université Paris Diderot[11]) tandis que d'autres se voudront plus généralistes (comme l'Université Paris Descartes[12]).

Le master de psychologie

Le master se déroule sur deux ans (M1 et M2). C'est à ce niveau de formation que les étudiants peuvent se spécialiser dans un domaine de la psychologie, comme la psychologie clinique et psychopathologie, la neuropsychologie, la psychologie gérontologique, la psychologie du travail, la psychologie du développement etc. Pour une même spécialité la formation peut être, d'un point de vue organisationnel aussi bien que du contenu des cours, différente d'une université à une autre. Cette diversité se reflète notamment au niveau des appellations des masters qui peuvent être différents d'une université à une autre pour une même spécialité. Par exemple, pour la spécialité Neuropsychologie on retrouve, parmi d'autres, les masters de « Neuropsychologie » (Université Paris Descartes[13]), « Psychologie des perturbations cognitives » (Université de Reims[14]), « Neuropsychologie cognitive et clinique » (Université de Strasbourg[15]).

Alors que la licence est accessible de droit à tous les bacheliers, l'admission en Master se fait sur dossier et parfois entretien. Certaines universités organisent cette sélection à l'entrée en Master 1 (comme l'Université Paris Descartes), tandis que d'autres l'organisent en Master 2 (comme l'Université Lille 3). Cette sélection est très rude car le nombre de places au sein des masters est contingenté par les équipes pédagogiques (surtout pour les parcours professionnels et mixte très demandés), si bien que pour maximiser leurs chances d'être admis dans un Master les étudiants candidatent dans plusieurs universités. Actuellement, il existe trois parcours au niveau Master :

  • un parcours professionnel qui a pour vocation de former des psychologues praticiens. L'organisation du master prévoit la réalisation d'un mémoire de recherche et ou d'un mémoire clinique et d'un minimum de 500 heures de stage (soit durant le M2, soit réparties sur les deux années de Master) en vue de l'obtention du titre de psychologue.
  • un parcours recherche qui a pour vocation d’accueillir les futurs doctorants qui espèrent faire carrière dans la recherche. Ce parcours ne prévoit pas la réalisation d'un stage professionnel auprès d'un psychologue, mais un stage au sein d'un laboratoire de recherche. Dans ces conditions, l'étudiant diplômé ne peut prétendre au titre de psychologue. Toutefois, un étudiant inscrit dans un parcours recherche a la possibilité, s'il en fait la démarche individuellement, d'effectuer un stage professionnel d'au minimum 500 heures auprès d'un psychologue afin de pouvoir faire usage du titre.
  • un parcours mixte professionnel et recherche, tendant à remplacer les deux précédents parcours. Au sein de ce parcours, les étudiants bénéficient de cours professionnalisant et de cours concernant la méthodologie de recherche en psychologie avec la réalisation d'un mémoire de recherche et d'un stage professionnel. Ce Master permet la poursuite d'études en doctorat ou l'entrée directe dans la vie active en tant que psychologue, voire les deux pour ceux qui seraient intéressés par la recherche-intervention (c'est-à-dire la réalisation d'une recherche sur un terrain clinique auprès de patients par exemple).

L'Association des Enseignants-Chercheur de Psychologie des Universités (AEPU) publie en 2015 un Panorama national des Masters 2 en Psychologie[16]. Actuellement, certains psychologues posent la question d'un prolongement des études au niveau Doctorat, inspirés par le modèle nord-américain[17].

Notes et références

Notes

  1. Dans son article paru en 2008, Gérard Pommier donne quelques exemples choisis dans l'actualité française de l'époque (vers 2007/2008 : alors sous la présidence de Nicolas Sarkozy ) : « aucun homme politique ne lâche un lapsus sans qu’il soit considéré comme le révélateur d’un désir caché ». Autre exemple à propos d'une « psychanalyse » habitant notre culture française également au sens « le plus léger » du mot : « lorsque notre président a été hospitalisé pour un flegmon de la gorge le jour fatidique de son divorce, le fait a été considéré aussitôt comme un symptôme ».
  2. En 2008, Gérard Pommier précise aussi : « Le recteur Monteil, le professeur Fayol, et autres experts en majorité cognitivistes n’ont jamais caché leur intention d’exclure la psychanalyse, ou tout du moins de la rejeter vers des humanités sans diplômes soignants ». Il s'insurge contre la « furie évaluatrice » dans le cadre de laquelle s'inscrivent « leurs “expertises” » et fournit ensuite plusieurs exemples de « ce qui se passe lorsqu’une commission d’experts à large majorité cognitiviste vient évaluer une unité de recherche d’orientation psychanalytique » et que l’avis de telles expertises est suivi : les accréditations des unités de recherche de Rennes et de Poitiers n'ont pas été reconduites et ces universités risquaient de ne plus pouvoir enseigner leur clinique dès la rentrée 2008 ; le laboratoire de Lyon II n’a été accrédité que pour deux ans ; l’enseignement de la psychanalyse à Toulouse et à Nantes est « en voie d’extinction au fur et à mesure des recrutements ». À l’université de Université Paris-Nanterre, l’enseignement d’anthropologie clinique et psychanalytique a été supprimé en 2007.

Références

  1. http://www.psychologue.fr/consulter.php
  2. Notice d'Alain Rauzy pour : Sigmund Freud, De la psychanalyse. Cinq leçons données pour la célébration du vingtième anniversaire de la fondation de la Clark University de Worcester, Mass., septembre 1909, OCF.P, volume X 1909-1910, Paris, PUF, 1993, p. 2-3.
  3. UQAC, « Collection les auteur(e)s classiques - Cinq leçons de psychanalyse. (1909) » (consulté le )
  4. Sophie de Mijolla-Mellor, « Introduction à la psychanalyse », dans Dictionnaire international de la psychanalyse, , p. 884-885.
  5. a b c d e f g et h Danièle Brun, « université (enseignement de la psychanalyse à l'-) », dans Dictionnaire international de la psychanalyse, , p. 1879-1880.
  6. a b c et d Alain Rauzy, Notice pour « Faut-il enseigner la psychanalyse à l'université? » de S. Freud, OCF.P vol.  XV, 2000, p. 110.
  7. a et b Élisabeth Roudinesco et Michel Plon, « psychologie clinique », dans Dictionnaire de la psychanalyse, , p. 1236-1237.
  8. Dominique Scarfone, Jean Laplanche, Paris, PUF, coll. « Psychanalystes d’aujourd’hui », , 128 p. (ISBN 2-13-048405-0), p. 6.
  9. a b c d et e Gérard Pommier, « L'enseignement de la psychanalyse à l'université est-il condamné à disparaître ? », La clinique lacanienne, 2008/1 (no 1), p. 209-212. DOI : 10.3917/cla.013.0209. [lire en ligne]
  10. Loi n° 85-772 du 25 juillet 1985 - Article 44 (lire en ligne)
  11. « - Université Paris Diderot - Paris 7 », sur www.univ-paris-diderot.fr (consulté le )
  12. « Licence Psychologie / Enseignements / ETUDES / Psychologie / ParisDescartes - Universite Paris Descartes », sur www.psychologie.parisdescartes.fr (consulté le )
  13. « UNIVERSITE PARIS DESCARTES, MASTER Psychologie: Neuropsychologie - Paris Descartes », sur formations.parisdescartes.fr (consulté le )
  14. « Spécialité Psychologie des perturbations cognitives », sur www.univ-reims.fr (consulté le )
  15. « Master de Neuropsychologie Cognitive et Clinique - présentation générale », sur perso.numericable.fr (consulté le )
  16. « Panorama des Masters », sur www.aepu.fr (consulté le )
  17. « - Syndicat National des Psychologues », sur psychologues.org (consulté le )

Voir aussi

Bibliographie

Textes de référence

  • Sigmund Freud,
    • « Faut-il enseigner la psychanalyse à l'université? » (1918? première publication en hongrois, [1919] : Kell-e az egyetemen a psychoanalysist tanitani? [Soll die Psychoanalyse an den Universitäten gelehrt werden?]), traduction (du hongrois) par Judith Dupont, dans Œuvres complètes de Freud / Psychanalyse, vol. XV : 1916-1920, Paris, PUF, 2000, p. 109-114 (ISBN 2 13 047850 6).
    • Introduction à la psychanalyse (Vorlesungen zur Einführung in die Psychoanalyse, 1916-1917), Paris, Payot,  ; Leçons d'introduction à la psychanalyse, OCF.P,vol. XIV : 1915-1917, traducteurs : Janine Altounian, André Bourguignon, Pierre Cotet, Jean-Gilbert Delarbre, Daniel Hartmann, François Robert, Paris, PUF, 2000, (ISBN 2 13 050944 4).
    • De la psychanalyse. Cinq leçons données pour la célébration du vingtième anniversaire de la fondation de la Clark University de Worcester, Mass., septembre 1909, traduction de René Laîné, Johanna Stute-Cadiot, dans OCF.P, volume X 1909-1910, Paris, PUF, 1993, (ISBN 2 13 045767 3), p. 1-55; De la psychanalyse, préface d'Alain Rauzy, Paris, PUF / Quadrige, 2018, [lire en ligne].

Études

Document utilisé pour la rédaction de l’article : document utilisé comme source pour la rédaction de cet article.

(Par ordre alphabétique des noms d'auteurs)

  • Jean Laplanche, « Psychanalyse à l'université : Éditorial », Psychanalyse à l'université, no 1,‎ (lire en ligne [PDF])
  • Dans : Alain de Mijolla (dir.), Dictionnaire international de la psychanalyse, Paris, Calmann-Lévy, (ISBN 2-7021-2530-1); rééditions : Hachette-Littérature, 2005 (ISBN 9782012791459).
    • Danièle Brun,
      • « université (enseignement de la psychanalyse à l'-) », dans Dictionnaire international de la psychanalyse, , p. 1879-1880.Document utilisé pour la rédaction de l’article
      • « médecine et psychanalyse », dans Dictionnaire international de la psychanalyse, , p. 1037-1039.
    • Sophie de Mijolla-Mellor,
      • « recherche en psychanalyse », dans Dictionnaire international de la psychanalyse, , p. 1471-1473.
      • « Introduction à la psychanalyse », dans Dictionnaire international de la psychanalyse, , p. 884-885.Document utilisé pour la rédaction de l’article
    • Eva Rosenblum, « Daniel Lagache », dans Dictionnaire international de la psychanalyse, , p. 950-951.
    • Bernard Golse, « Favez-Boutonier, Juliette », dans Dictionnaire international de la psychanalyse, , p. 615-616.
    • Eva Brabant-Gerö, « Hongrie », dans Dictionnaire international de la psychanalyse, , p. 791.
    • Roger Perron,
      • « Question de l'analyse profane (La-) », dans Dictionnaire international de la psychanalyse, , p. 1445-1446.
      • « psychologie et psychanalyse », dans Dictionnaire international de la psychanalyse, , p. 1396-1397.
  • Annick Ohayon, Psychologie et psychanalyse en France. L'impossible rencontre 1919 - 1969, éd. La Découverte, 2006 (ISBN 2707147796) [lire en ligne].
  • Gérard Pommier, « L'enseignement de la psychanalyse à l'université est-il condamné à disparaître ? », La clinique lacanienne, 2008/1 (no 13), p. 209-212. DOI : 10.3917/cla.013.0209. [lire en ligne]Document utilisé pour la rédaction de l’article
  • Alain Rauzy,
    • Notice pour S. Freud, « Faut-il enseigner la psychanalyse à l'université? » de S. Freud, OCF.P vol.  XV, 2000, p. 110.Document utilisé pour la rédaction de l’article
    • Notice pour De la psychanalyse. Cinq leçons données pour la célébration du vingtième anniversaire de la fondation de la Clark University de Worcester, Mass., septembre 1909, OCF.P X 1909-1910, Paris, PUF, 1993, p. 2-3.Document utilisé pour la rédaction de l’article
  • Élisabeth Roudinesco et Michel Plon, « psychologie clinique », dans Dictionnaire de la psychanalyse, , p. 1236-1237.Document utilisé pour la rédaction de l’article
  • Dominique Scarfone, Jean Laplanche, Paris, PUF, coll. « Psychanalystes d’aujourd’hui », , 128 p. (ISBN 2-13-048405-0).Document utilisé pour la rédaction de l’article

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