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Version du 16 mai 2012 à 19:55

Manuel Valls
Illustration.
Manuel Valls en mai 2012.
Fonctions
Ministre de l'intérieur
En fonction depuis le
(12 ans et 26 jours)
Prédécesseur Claude Guéant
Député de la 1re circonscription de l'Essonne
En fonction depuis le
(21 ans, 11 mois et 23 jours)
Élection 16 juin 2002
Réélection 17 juin 2007
Législature XIIe et XIIIe
Maire d'Évry
En fonction depuis le
(23 ans, 2 mois et 24 jours)
Prédécesseur Christian Olivier
Président de la communauté d'agglomération Évry Centre Essonne
En fonction depuis le
(16 ans, 2 mois et 4 jours)
Prédécesseur Jean Hartz
Biographie
Lieu de naissance Barcelone (Catalogne, Espagne)
Nationalité française
Parti politique PS
Profession Conseiller en communication

Manuel Carlos Valls[1], né le à Barcelone en Espagne, est un homme politique français. Membre du parti socialiste (PS), il est maire d'Évry depuis 2001 et député de la première circonscription de l'Essonne depuis 2002. Lors de la campagne présidentielle de 2012, il est conseiller spécial auprès du candidat socialiste François Hollande. Il est nommé Ministre de l'Intérieur dans le gouvernement formé par Jean-Marc Ayrault.

Biographie

Origines, études et famille

Né à Barcelone en 1962[2], Manuel Valls est l'une des rares personnalités politiques, avec Lionnel Luca, Eva Joly ou Jean-Vincent Placé, à avoir acquis la nationalité française par naturalisation, en 1982 — il n'a pas la double nationalité, cette possibilité n'existant pas encore à l'époque[3].

Il est le fils de Xavier Valls, artiste peintre catalan (1923-2006)[4],[5], et de Luisangela Galfetti, originaire de Suisse italienne, soeur de l'architecte Aurelio Galfetti[6],[7]. Son grand-père, rédacteur en chef d'un journal républicain et catholique, a caché des prêtres persécutés par les trotskistes et les anarchistes[2]. Un cousin de son père, Manuel Valls i Gorina, a composé l'hymne du FC Barcelone, dont il est un fervent supporter[8].

Quadrilingue français, catalan, espagnol et italien, il rencontre à l'université, Nathalie Soulié, qu'il épouse en 1987 et avec laquelle il a quatre enfants. Divorcé, il est marié depuis le 1er juillet 2010[9] à la violoniste Anne Gravoin, premier prix de violon et de musique de chambre du conservatoire de Paris[10],[11].

Débuts en politique

En 1980, à 17 ans, il adhère au Parti socialiste pour soutenir Michel Rocard. Il entre dans les réseaux rocardiens de la deuxième gauche, opposés au sein du PS à François Mitterrand. Pendant ses études d'histoire à l'université Paris 1-Tolbiac[12], il adhère au syndicat étudiant UNEF-ID et devient conseiller de Michel Rocard pour les affaires étudiantes. N'étant pas encore français en 1981[13], il n'a pas pu voter lors de l'élection présidentielle française de 1981.

À la fin de 1980, il rencontre à l'université deux autres rocardiens, avec lesquels il se lie d'amitié : Alain Bauer, qui devient plus tard le parrain du deuxième de ses fils, et Stéphane Fouks[14],[15],[16].

De 1983 à 1986, il est attaché parlementaire de Robert Chapuis, député de l'Ardèche. En 1988 il succède à Henri Kaminska à la tête du PS d'Argenteuil-Bezons après avoir été élu à 24 ans au conseil régional d'Île-de-France dont il devient 1er vice-président en 1998.

De 1991 à 1993, il est délégué interministériel adjoint aux Jeux olympiques d'hiver de 1992 d'Albertville. Il devient ensuite secrétaire national du parti socialiste à la communication et premier secrétaire de la fédération du Val-d'Oise, puis chargé de la communication et de la presse au cabinet de Lionel Jospin, Premier ministre, de 1997 à 2002.

Aux législatives de 1997, il échoue au premier tour dans la circonscription d'Argenteuil (cinquième circonscription du Val-d'Oise).

L'implantation à Évry et les premiers pas sur la « scène nationale »

Manuel Valls est élu maire d'Évry (Essonne) en , puis député de la 1re circonscription de l'Essonne le , pour la XIIe législature (2002-2007). Il est réélu aux élections législatives de 2007 avec 60,12 % des voix. Il se distingue alors par ses appels à la refondation du PS et à son changement de nom.

En 2007, il décline la proposition de Nicolas Sarkozy, élu président de la République, d'entrer dans le gouvernement Fillon au titre de l'« ouverture »[17].

Il a été réélu maire d'Évry en 2008 avec 70,28 % des voix, mais avec moins d'un tiers des inscrits en raison d'une forte abstention.

Vie à l'intérieur du Parti socialiste : conflits mais loyauté

Manuel Valls en 2009.

En 2005, pour le référendum sur la Constitution européenne, il défend le « non ». Mais peu avant le référendum interne au PS du , où le « oui » l'emporte avec plus de 59 % des voix, il participe, « par discipline », à la campagne du PS pour le « oui »[18]. Il vote avec d'autres élus de gauche « pour » la réforme du titre XV de la constitution permettant la ratification du Traité de Lisbonne (2007) lors du Congrès du Parlement français le [19].

Le , faisant suite aux contestations des résultats du Congrès de Reims du PS où il soutient Ségolène Royal, il réclame l'arbitrage des tribunaux sur les suspicions de fraude électorale dans les fédérations du Nord et de la Seine-Maritime favorables à Martine Aubry[20],[21]. Toutefois, revenant le 10 septembre 2009 sur cette affaire, à la suite de la parution d'Hold up, arnaques et trahisons, une enquête de deux journalistes, il considère qu'« il faut tourner la page » Le modèle {{Guillemets}} ne doit pas être utilisé dans l'espace encyclopédique[22].

Le , la première secrétaire du Parti Martine Aubry fait publier une lettre ouverte[23] à Manuel Valls dans les colonnes du journal Le Parisien dans laquelle elle lui écrit : « Si les propos que tu exprimes reflètent profondément ta pensée, alors tu dois en tirer pleinement les conséquences et quitter le Parti socialiste[24] ». Plusieurs personnalités du PS comme Gérard Collomb, Jean-Noël Guérini et Jean-Pierre Mignard soutiennent Manuel Valls face à Martine Aubry[25]. Il lui répond le 16 juillet[26] qu'il ne compte pas partir du Parti et précise qu'il a « toujours respecté, quoi qu'[il ait] pu [lui] en coûter », le choix des militants et les règles de vote de son groupe parlementaire dont il est aussi l'un des animateurs[27],[28].

Le , Manuel Valls déclare vouloir « déverrouiller les 35 heures », créant une nouvelle fois le trouble au sein du Parti socialiste[29].

Candidature à la primaire présidentielle socialiste de 2011

Le , Manuel Valls annonce, son intention de se présenter à la primaire socialiste de 2011 en vue de l'élection présidentielle de 2012[30]. Le il crée le club «À gauche besoin d'optimisme», « support juridique et financier » pour se présenter à la primaire socialiste[31]. Le , il confirme sa candidature à la primaire socialiste[32].

Au soir du premier tour, le , Manuel Valls réalise un score de 6 % des voix, juste derrière Ségolène Royal, et est ainsi éliminé au premier tour de la primaire socialiste. Il rallie le soir de sa défaite François Hollande pour le second tour.

François Hollande le nomme directeur de la communication pour sa campagne présidentielle de 2012. A ce poste clé, il structure la campagne du candidat socialiste et le met à distance des journalistes, son omniprésence auprès du candidat lui valant le surnom de « Kommandantur »[33].

Orientations politiques

Classé généralement à l'« aile droite[2] » du Parti socialiste, il s'inscrit dans la culture et la démarche de la social-démocratie allemande et scandinave. Lui même s'est, par le passé, défini comme « blairiste[34] » ou « clintonien[35] », voire « s'inscrivant dans la lignée de Pierre Mendès France, Michel Rocard et Lionel Jospin » Le modèle {{Guillemets}} ne doit pas être utilisé dans l'espace encyclopédique (primaires socialistes de 2011).

Il prône un discours politique « économiquement réaliste » Le modèle {{Guillemets}} ne doit pas être utilisé dans l'espace encyclopédique et dénué de « démagogie » Le modèle {{Guillemets}} ne doit pas être utilisé dans l'espace encyclopédique. Il se distingue notamment de nombre de ses camarades du PS sur la responsabilité individuelle[36] (« Le nouvel espoir que doit porter la gauche, c'est celui de l'auto-réalisation individuelle : permettre à chacun de devenir ce qu'il est[37] ») ou le « refus de l'assistanat[2] ».

S'estimant « réformiste plutôt que révolutionnaire » Le modèle {{Guillemets}} ne doit pas être utilisé dans l'espace encyclopédique, il souhaite « concilier la gauche avec la pensée libérale »[38].

Politique économique et intégration européenne

Parmi les réformes économiques souhaitées, il est notamment favorable à l'instauration de la « TVA Sociale » Le modèle {{Guillemets}} ne doit pas être utilisé dans l'espace encyclopédique, visant essentiellement à augmenter la TVA sur nombre de produits de consommation dits de « non première nécessité » Le modèle {{Guillemets}} ne doit pas être utilisé dans l'espace encyclopédique en échange d'un allègement des cotisations sociales portant sur les salaires (« Une politique fiscale devra passer par une augmentation de la TVA. C'est la TVA-protection ou sociale que je propose »[39].)

Il plaide également pour l'allongement de la durée de cotisations pour fixer l'âge du départ à la retraite et « l'alignement des régimes spéciaux [de retraite] sur le régime général[40]. »

En 2010, il s'est déclaré favorable au contrôle de la Commission européenne sur les budgets nationaux, jugeant cela « incontestablement » nécessaire. « Dans le monde tel qu'il est, qui a besoin de grands ensembles, on a besoin davantage d'intégration de nos politiques économiques, davantage de coordination, c'est vrai sur le plan monétaire, c'est vrai sur le plan budgétaire et c'est vrai sur le plan fiscal » déclare-t-il[41].

Questions internationales

Interrogé en juillet 2011 sur sa participation à une réunion du groupe Bilderberg, il a confirmé avoir été invité à Washington deux ans plus tôt, tout en considérant que ce groupe était encore trop « atlantiste » Le modèle {{Guillemets}} ne doit pas être utilisé dans l'espace encyclopédique et devait s'ouvrir au reste du monde. De même, il juge qu'« il faudrait qu'il y ait aussi de grandes organisations de gauche, politiques, sociales » Le modèle {{Guillemets}} ne doit pas être utilisé dans l'espace encyclopédique, au niveau européen et mondial[42].

Sujets de Société

Immigration

Dans Pour en finir avec le vieux socialisme... et être enfin de gauche, il se déclare favorable aux « quotas » d'immigration, approuve l'allongement de la cotisation retraite à 41 ans à condition que l'on imagine un départ « à la carte », selon la pénibilité des carrières, et regrette les « fatwas anti-OGM » et antinucléaires[43].

Sécurité publique

Élu d'une ville connaissant des problèmes de sécurité, il est partisan d'une politique de fermeté et est favorable aux polices municipales, armées au besoin (primaires socialistes de 2011). Il stigmatise en revanche ce qu'il appelle « la politique du chiffre » Le modèle {{Guillemets}} ne doit pas être utilisé dans l'espace encyclopédique du Gouvernement Fillon.

Laïcité

Dans La Laïcité en face, il réclame une refonte de la loi de 1905 sur la séparation des Églises et de l'État affirmant que « personne ne veut y toucher, mais elle est contournée en permanence ; chacun cherche un subterfuge pour arriver à ses fins. […] Notre pays ne peut donc échapper à la révision même si ce n’est pas une révision avec un grand R. La loi a d’ailleurs été plusieurs fois modifiée depuis son adoption. La République pourrait s’offrir ainsi un moment symbolique pour donner un souffle nouveau à la laïcité. Il faut une révision publique de l’application de la laïcité qui passe par un débat parlementaire. Voilà un beau moyen de remettre l’idéal laïc au cœur de la société française et d’en faire une valeur partagée »[44].

En 2002, il s'oppose au magasin Franprix d'Evry qui entend ne vendre que des produits hallal[18].

Manuel Valls, qui a été franc-maçon affilié au Grand Orient de France, affirme ne plus être actif depuis longtemps et avoir démissionné[45],[46].

Cannabis

Le , Manuel Valls se déclare « en désaccord total » avec la proposition de dépénalisation ou de légalisation encadrée du cannabis faite par Daniel Vaillant qui visait pourtant notamment à priver les trafiquants d'une source de revenus, Valls arguant du risque de perte des repères, de fin des interdits, et que « la drogue, [...] source de l'économie souterraine, ne peut pas être traitée ainsi »[47].

Stratégies politiques

À l'été 2011, il déclare que « des hommes et des femmes comme Dominique de Villepin, François Bayrou ou Corinne Lepage, pour ne citer qu'eux, peuvent faire partie, s'ils le souhaitent, d'une majorité de large rassemblement ».

Détail des mandats et fonctions

Au niveau local

  • 17/03/1986 - 22/03/1992 : conseiller régional d'Ile de France
  • 11/03/1989 - 18/06/1995 : 12e adjoint au maire d'Argenteuil
  • 18/06/1995 - 31/12/1998 : 2e adjoint au maire d'Argenteuil
  • 23/03/1992 - 15/03/1998 : conseiller régional d'Île-de-France
  • 24/03/1998 - 27/06/2002 : 1er vice-président du conseil régional d'Île-de-France
  • 20/06/2002 - 18/11/2002 : conseiller régional d'Île-de-France
  • depuis le 18/03/2001 : maire d'Évry
  • depuis le 07/04/2008 : président de la communauté d'agglomération Évry Centre Essonne

Au niveau national

Au Parti socialiste

  • 1993 - 1994 et 1995 - 1997 : secrétaire national chargé de la communication
  • 2003 - 2004 : secrétaire national chargé de la coordination et de l'organisation
  • depuis 1993 : membre du bureau national et du conseil national.

Œuvres

Notes et références

  1. Valls, la calma sobria, El Pais, 9 octobre 2011
  2. a b c et d « L'homme qui veut être le Sarko de la gauche », Le Point, no1820, 2 août 2007, p. 24-27.
  3. Rosalie Lucas, « Valls : « Je refuse que les thèmes de Marine Le Pen s’imposent dans le débat » », Le Parisien,‎ (lire en ligne).
  4. Biographie de Xavier Valls Sur le site claude-bernard.com
  5. (es) Ana María Preckler, Historia del arte universal de los siglos XIX y XX, Editorial Complutense, 2003, tome II, p. 509 (ISBN 8474917077).
  6. Manuel Valls, contra los arcaismos socialistas, Una temporada en el infierno, 26 juillet 2009
  7. « Manuel Valls, socialiste français, fils de Luisangela », Swissinfo, 14 juillet 2008.
  8. Magazine "So Foot", édition n°89 du 9 septembre 2011.
  9. « Manuel Valls va se marier en juillet », Le Nouvel Observateur, 10 janvier 2010.
  10. « La table de chevet de... Manuel Valls », Les Échos, no 60, 15 février 2008, p. 50.
  11. « Manuel Valls ouvre les fenêtres de la musique », Radio classique, 16 mai 2008.
  12. « Manuel Valls, la relève », linternaute.com.
  13. « Le 10 mai 1981 vu par les principaux prétendants socialistes », La Dépêche, 3 mai 2011
  14. Bertrand Fraysse, « Passeur », Challenges,‎ (lire en ligne).
  15. Gaël Tchakaloff, « Alain Bauer », Le Nouvel économiste, no 1292,‎ 4-10 mars 2005 (lire en ligne).
  16. L'écrivain nationaliste Emmanuel Ratier, « Alain Bauer », Faits & documents, no 98,‎ 15-30 octobre 2000 (lire en ligne), décrit la relation entre les deux hommes dans un portrait orienté, signalant leur appartenance commune à la loge « L'infini maçonnique » et l'emploi de Nathalie Soulié, ex-femme de Manuel Valls, comme secrétaire d'AB Associates, société de communications en sécurité fondée par Alain Bauer, de 1994 à 1997.
  17. Stéphane Alliès, Vidéo du refus de la proposition de Nicolas Sarkozy, mediapart.fr du 22 avril 2009.
  18. a et b « Les habits neufs de Manuel Valls », L'Express, 30 août 2007.
  19. Congrès du Parlement Séance du lundi 4 février 2008 Sur le site assemblee-nationale.fr
  20. « Aubry et Royal évoquent la « transformation » du PS », Le Figaro,‎ (lire en ligne).
  21. Maud Pierron, « Cohabitation en vue au PS... », Le Journal du dimanche,‎ (lire en ligne).
  22. AFP, « Livre sur le PS: « il faut tourner la page », estime Manuel Valls », Le Point,‎ (lire en ligne).
  23. Texte de la lettre de Martine Aubry à Manuel Valls Sur le site leparisien.fr
  24. « Le PS tire à boulets rouges contre Manuel Valls », Le Nouvel Observateur, 15 juillet 2009. Le lieutenant de Martine Aubry, Claude Bartolone, déclare alors que la patronne du PS a dit « tout haut ce que pensent de nombreux militants ».
  25. « Plusieurs personnalités du PS soutiennent Manuel Valls face à Martine Aubry », Le Monde, 16 juillet 2009.
  26. « Valls à Aubry : “Ta conception du parti est très datée” », Nouvelobs.com, 15 juillet 2009.
  27. « Manuel Valls réaffirme sa volonté de rester au PS », Le Nouvel Observateur, 16 juillet 2009.
  28. Jean-Pierre Thiollet,« PS : Valls Aubry, le duo de trop », France Soir, 17 juillet 2009.
  29. Hélène Favier, « Valls veut “déverrouiller les 35 heures” », Europe 1, 2 janvier 2011.
  30. « Manuel Valls candidat à des primaires socialistes », Le Nouvel Observateur, 16 juin 2009.
  31. « Primaires : Valls cherche déjà ses parrainages », Le Figaro, 19 juillet 2010.
  32. « Manuel Valls, le candidat permanent », France-Soir, 7 juin 2011.
  33. Sylvain Courage, « Manuel Valls, le premier violon de François Hollande », nouvelobs.com, 20 avril 2012.
  34. Le Canard enchainé, 5 septembre 2007.
  35. Manuel Valls, Pour en finir avec le vieux socialisme... et être enfin de gauche !, éditions Robert Laffont
  36. « Manuel Valls : il faut rompre “avec la magie du verbe” », Le Monde, 27 mars 2010.
  37. « Retraites : Valls appelle à un “pacte national” », nouvelobs.com, 13 avril 2010.
  38. « Manuel Valls se verrait bien candidat en 2012 », Libération, 24 avril 2008.
  39. « Valls rêve d'une « majorité » Le modèle [[:Modèle:Guillemets|{{Guillemets}}]] ne doit pas être utilisé dans l'espace encyclopédique élargie à Villepin et Bayrou », Le Monde, (consulté le )
  40. « “Il faudra aligner les régimes spéciaux sur le régime général”, admet Manuel Valls », La Tribune, 10 septembre 2007.
  41. « UE : Manuel Valls favorable à un contrôle des budgets nationaux par Bruxelles », AFP, 16 mai 2010.
  42. Mathieu Deslandes, « Valls se sent « plus à gauche que ceux qui le clament sur Rue89 » », Rue89,‎ (lire en ligne).
  43. Michel Urvoy, « Valls, le social-réaliste qui secoue le PS », Ouest-France, 6 mai 2008.
  44. Bernadette Sauvaget, « La loi de 1905, en toute modestie », Réforme, no 3154, 12 août 2005.
  45. « En ordre de bataille », Libération, 1er septembre 2007.
  46. Jacques Trentesaux, « Le système Valls. La petite république vallsienne », L'Express, 23 août 2007.
  47. « Cannabis : Valls en “désaccord total” avec la proposition de Vaillant », nouvelobs.com, 12 octobre 2009.

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