« Kashihon » : différence entre les versions

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Contenu supprimé Contenu ajouté
m Bot : Remplacement de texte automatisé (-\{\{([Mm]ulti bandeau\|.*|) ?([Mm]anga et japanimation|[Aa]nimation et bande dessinée asiatiques)([^\}\}]*\}\}) +{{\1Portail Animation et bande dessinée asiatiques\3)
Erabot (discuter | contributions)
m Req, , net. modèle, ajout bandeau Portail animati
Ligne 1 : Ligne 1 :
{{ébauche manga}}
{{Ébauche manga}}
Au [[Japon]], les '''Kashibonya''' étaient des librairies qui louaient des livres à bas prix ([[kashibon]]) pour une consultation sur place. Elles furent très populaires durant l'après-guerre. Beaucoup de [[mangaka]]s officiant dans les années 50-60-70 commencérent par dessiner des histoires pour les kashibonya.
Au [[Japon]], les '''Kashibonya''' étaient des librairies qui louaient des livres à bas prix ([[kashibon]]) pour une consultation sur place. Elles furent très populaires durant l'après-guerre. Beaucoup de [[mangaka]]s officiant dans les années 50-60-70 commencérent par dessiner des histoires pour les kashibonya.


Ligne 6 : Ligne 6 :
Avec la crise économique que traverse le Japon, on assiste à leur retour sous la forme de "[[mangakissa]]", cafés où l'on peut lire des mangas tout en sirotant une boisson.
Avec la crise économique que traverse le Japon, on assiste à leur retour sous la forme de "[[mangakissa]]", cafés où l'on peut lire des mangas tout en sirotant une boisson.


{{Multi bandeau|Portail Japon et culture japonaise|Portail Animation et bande dessinée asiatiques}}
{{Multi bandeau|Portail Japon et culture japonaise|Portail Animation et bande dessinée asiatiques|Portail animation}}


[[Catégorie:Vocabulaire des mangas et animes]]
[[Catégorie:Vocabulaire des mangas et animes]]

Version du 28 juillet 2007 à 08:00

Modèle:Ébauche manga Au Japon, les Kashibonya étaient des librairies qui louaient des livres à bas prix (kashibon) pour une consultation sur place. Elles furent très populaires durant l'après-guerre. Beaucoup de mangakas officiant dans les années 50-60-70 commencérent par dessiner des histoires pour les kashibonya.

Dû à différents phénomènes tels que l'augmentation des revenus, et la baisse des prix des mangas, la plupart disparurent.

Avec la crise économique que traverse le Japon, on assiste à leur retour sous la forme de "mangakissa", cafés où l'on peut lire des mangas tout en sirotant une boisson.