« Doudoune » : différence entre les versions
m →Voir aussi : catégorie plus précise Balises : Modification par mobile Modification par application mobile Modification avec l’application Android |
→Caractéristiques : il n'y a rien de dit |
||
| Ligne 11 : | Ligne 11 : | ||
Plusieurs marques haut de gamme en font depuis une spécialité, comme [[Canada Goose]] ou Pyrenex. |
Plusieurs marques haut de gamme en font depuis une spécialité, comme [[Canada Goose]] ou Pyrenex. |
||
== Caractéristiques == |
|||
{{vide}} |
|||
== Notes et références == |
== Notes et références == |
||
Version du 10 novembre 2021 à 17:43
La doudoune est une veste fourrée de duvet d'oie, de façon matelassée.
Origine
La doudoune revendique deux paternités[1],[2].
Premièrement, celle du Français Pierre Allain (1904-2000), alpiniste et commerçant à Paris, qui crée des vestes en duvet fabriquées de 1931 à 1964 dans un atelier contigu de son magasin de sport parisien, rue Saint-Sulpice. D'abord utilisées en alpinisme, puis pour le ski, les doudounes verront leur usage élargi après-guerre.
Deuxièmement, celle de l'Américain Eddie Bauer à la fin des années 1930 : un brevet est déposé en 1940 et le vêtement est adopté par l'armée américaine, les chasseurs et les pêcheurs. Moncler, qui habille l'équipe de France aux Jeux olympiques d'hiver de 1968 à Grenoble, la popularise pour les sports d'hiver, lançant dans les années 1980 et en même temps que Chevignon une version sportswear utilisée pour la ville.
Plusieurs marques haut de gamme en font depuis une spécialité, comme Canada Goose ou Pyrenex.
Notes et références
- « La doudoune », M, le magazine du Monde, page 53.
- Gilles Modica, Alpinisme : la saga des inventions, Les Houches, Les Editions du Mont-Blanc, , 254 p. (ISBN 978-2-36545-008-9), p. 220-222.
