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L''''Hydre''' est un [[genre (biologie)|genre]] d'[[animal]] de l'[[embranchement (biologie)|embranchement]] des [[Cnidaires]] (les Cnidaires sont des animaux relativement simples, spécifiques du [[milieu aquatique]] ; ils comprennent notamment les [[Corail|coraux]], les [[anémones de mer]] et les [[méduse (animal)|méduses]]).

L'hydre, ou ''Polype d'eau douce'', est un organisme pluricellulaire complexe. Les généticiens considèrent que ce polype est immortel, notamment grâce à ses capacités régénératrices.

En France, on connaît quatre espèces : ''[[Hydra oligactis]]'', ''[[Hydra vulgaris]]'', ''[[Hydra circumcinct|Hydra circumcincta]]'' et ''[[Hydra viridissima]]'', dont la couleur verte est due à des [[chlorelle]]s symbiotiques. Chaque espèce possède plusieurs noms possibles en raison de précédentes classifications.

== Étymologie ==
[[Carl von Linné]] crée en 1758 le genre ''Hydra'', en lui donnant ce nom parce que l'animal, après avoir eu la tête tranchée, voit une nouvelle tête lui repousser, un peu comme l'[[hydre de Lerne]], de la [[mythologie grecque]] antique, un serpent monstrueux à sept têtes qui repoussaient à mesure qu'on les coupait, si on ne les abattait pas toutes d'un coup.

L'expression « ''Polype d'eau douce'' » a été créée par [[René-Antoine Ferchault de Réaumur|Réaumur]] (1683-1757), le grand naturaliste auquel [[Abraham Trembley]] avait envoyé quelques spécimens de l'animal pour étude.

== Description ==
[[File:Hydra biology.jpg|thumb|Hydre fixée sur la vitre d'un aquarium.]]
L'hydre est un organisme assez petit (il peut atteindre {{unité|15|mm}}), qui n'a pas de squelette. C'est un [[Polype (zoologie)|polype]] qui vit en [[eau douce]], à la différence de l’immense majorité des autres cnidaires, qui sont marins. Au moindre contact, le polype peut se rétracter au point de ne plus former qu'une petite boule de 2 à {{unité|3|mm}}, peu visible.

Il possède 6 à 10 [[tentacule]]s urticantes entourant la bouche-anus et régénère rapidement les parties qui lui sont enlevées.

Un polype s'accroche généralement par son pied au milieu environnant, mais il peut aussi migrer et se suspendre à la surface de l'eau par [[tension superficielle]] (le pied au sec et le reste du corps dans l'eau). Lorsqu'il n’a pas de point d'accroche, le polype ne nage pas et coule lentement dans l'eau.

Le corps de l'hydre est formé d'un tube comportant à une extrémité une ouverture entourée de tentacules et fermé à l'autre extrémité. Ces deux extrémités sont nommées respectivement la tête et le pied (ou sole de fixation). La partie médiane du corps est plus large.

La colonne gastrique comporte deux feuillets, appelés ''ectoderme'' et ''endoderme'', séparés par une fine matrice extra-cellulaire appelée ''mésoglée''<ref name=b>{{article|nom= Thomas C.G. Bosch
|titre= Why polyps regenerate and we don't: Towards a cellular and molecular framework for Hydra regeneration
|périodique= Developmental Biology
|volume=303
|année= 2007
|pages=421-433
}}</ref>.

Des cellules interstitielles, principalement situées dans l'espace interstitiel entre les cellules épithéliales ectodermiques, se différencient en [[neurone|cellules nerveuses]], [[cnidocyte]]s, cellules glandulaires et [[gamètes]]. À la différence d'autres [[cnidaires]], l'hydre n'existe que sous forme [[Polype (zoologie)|polype]] et n'a donc pas de forme méduse.

== Mode de vie ==
* Régime alimentaire : l'hydre se nourrit de petits invertébrés capturés à l'aide de ses tentacules. Elle immobilise ses proies animales en déchargeant le venin contenu dans ses cellules urticantes, les [[cnidocyte]]s. <br />Cet animal n'a pas de vraie bouche<ref name=Jason2016/>, mais se nourris par un orifice qui lui sert également à la déjection, nommé hypostome. Sur des hydres génétiquement modifiées, on a montré, en 2016, grâce aux techniques modernes d'imagerie cellulaire que les cellules de sa peau au centre des tentacules peuvent modifier leur forme et s'étirer de manière à former un trou (qui s'ouvre un peu à la manière d'une pupille qui se dilate) dont l'ouverture finale peut même être plus large que le corps de l'hydre<ref name=Jason2016/>. Cette ouverture est permise par des bandes radiales de tissu (myonème) ressemblant à un muscle dont chaque cellule pourrait avoir une force de quelques nanonewtons (et qui se montre in vitro inhibé par un décontractant médicamenteux). Cette bouche, est contrôlée par des signaux neuronaux et chimiques et présente un intérêt pour les recherches en [[biomécanique]], [[microrobotique]] et [[biomimétique]]<ref name=Jason2016>Jason A. Carter, Callen Hyland, Robert E. Steele & Eva-Maria S. Collins (2016) Dynamics of Mouth Opening in Hydra ; Volume 110, Issue 5, p1191–1201, 8 March 2016 ([http://www.cell.com/biophysj/abstract/S0006-3495%2816%2900052-7 résumé]) ; DOI: https://dx.doi.org/10.1016/j.bpj.2016.01.008</ref>.
* Habitat : l'hydre fréquente les cours d'eau lents, les mares et les étangs riches en végétation et à l'eau claire. <br />Elle est abondante au printemps et au début de l'été. On la trouve fixée sur les végétaux aquatiques, y compris sur la face inférieure des [[lentille d'eau|lentilles d'eau]], et sur toutes sortes d'objets durs.

== Histoire ==
[[Image:Hydra by Abraham Trembley.jpg|thumb|Une hydre, dessinée par Trembley dans son mémoire de 1744.]]
[[image:Hydra-Foto.jpg|thumb|Bourgeonnement d'hydre]]
Au {{XVIIIe siècle}}, [[Abraham Trembley]] (1710-1784) fut le premier naturaliste à donner une description précise d'un « genre de polype d'eau douce ». Trembley qui naquit à [[Genève]] fit d'abord des études de mathématiques avant de se rendre aux [[Pays-Bas]] où il s'engagea comme précepteur des enfants d'un comte. Il consacra son temps libre à étudier les plantes et animaux qui peuplaient les mares et ruisseaux du domaine de son employeur. En 1744, il publia un mémoire intitulé ''Mémoires pour servir à l'histoire d'un genre de polypes d'eau douce, à bras en forme de cornes''<ref name=mem>''[https://books.google.ca/books?id=uR4OAAAAQAAJ Mémoires pour servir à l'histoire d'un genre de polypes d'eau douce, à bras en forme de cornes]'', 1744.</ref> dans lequel il relate, dans un français élégant du {{XVIIIe siècle}}, toutes les observations méticuleuses qu'il fit et les expériences qu'il imagina afin de tester ses hypothèses.

{{Citation|Les premières fois que je considérai ces petits corps, je les pris pour des Plantes parasites, qui croissaient sur les autres Plantes}} (''Mémoire...''). Il observe que l'hydre peut bouger ses bras et que ce mouvement parait {{Citation|devoir venir d'une cause intérieure}} puisqu'ils peuvent se contracter puis se redéployer.

Il note aussi chez ces êtres l'étrange propriété, absente chez les plantes, de se mouvoir. En effet, ils se déplacent vers le côté du flacon recevant le plus de lumière. {{Citation|Je fus d'abord curieux de savoir, si ce fait n'était qu'accidentel, ou bien s'il résultait d'un penchant marqué que les Polypes eussent pour l'endroit du verre le plus éclairé. Pour m'en assurer, je fis faire un demi tour au verre...Le jour après avoir tourné le verre, je trouvai que le côté le moins éclairé, celui sur lequel j'avais laissé beaucoup de Polypes, en était presque entièrement dépeuplé}}.

Il note aussi que ces êtres étaient capables de capturer des proies avec leurs tentacules puis de les ingérer. Toutes ces observations soutenaient l'hypothèse que le polype était un animal, mais avant de rejeter l'idée que ce pourrait être une plante, il voulut savoir si, après avoir coupé en deux le polype, chacune de ses moitiés serait capable de régénérer un polype entier, comme seule une plante est capable de le faire (comme on le pensait à l'époque). Il effectua des sections transversales et longitudinales du tube qui constitue le corps du polype et observa à chaque fois que chaque moitié pouvait reconstituer un polype entier semblable à l'original! {{Citation|Tout ce que j'avais fait pour me tirer du doute, n'avait servi qu'à m'y jeter davantage}}.

Toujours avec la même curiosité et la même [[ouverture d'esprit]], il poursuivit pendant plusieurs années ses observations méticuleuses, multipliant les expériences pour mettre à l'épreuve ses hypothèses ou effectuant des rapprochements avec d'autres êtres vivants comme {{Citation|une espèce de Vers, que j'ai déjà observés avec attention, qui multiplient beaucoup, et que je n'ai vus encore multiplier par bouture}}.

Trembley se persuada finalement que les polypes d'eau douce étaient des animaux.

Son ''Mémoires'' de 1744 constitue la première description de la régénération animale complète, la régénération des pinces de homard ayant été rapportée par [[René-Antoine Ferchault de Réaumur|Réaumur]] peu de temps auparavant<ref name="g">{{article|nom= Brigitte Galliot
|titre= L'hydre, un modèle de mémoire régénérative
|périodique= Lettre de L'Académie des Sciences
|volume=20
|année= 2007
}}</ref>.

Après avoir eu un grand écho auprès de ses contemporains, ses recherches zoologiques ont sombré dans l'oubli. Ce n'est que la zoologie moderne qui a reconnu la valeur de ses travaux et la qualité de sa méthode expérimentale, chose nouvelle à l'époque<ref>{{ouvrage|titre= Le Monde animal en 13 volumes, tome I
|éditeur= Ed. Stauffacher
|auteur= B. Grzimek, M. Fontaine
|langue=fr
|année=1973
|pages=
}}</ref>. L'hydre fut un modèle largement utilisé au {{XXe siècle}} et l'est encore de nos jours en matière de génétique, d'études sur le vieillissement et même sur le cancer.

== Reproduction ==
[[image:Hydra reproduction.png|thumb|Reproduction asexuée et sexuée d'''Hydra viridissila'']]
En dehors de la multiplication par [[bouturage]] (ou régénération) qui exige un découpage et donc normalement une intervention externe, l'hydre possède deux modes de reproduction :
* La reproduction [[asexué]]e par bourgeonnement.
Lors de la reproduction assexuée, dont la fréquence dépendra de la température et de l'abondance des proies, une petite excroissance ([[Diverticule (anatomie)|diverticule]] de la cavité digestive) apparaît vers le tiers du corps de l'hydre. Cette excroissance migre en direction du pied et grandit en formant un bourgeon. Celui-ci va s'ouvrir au bout en formant une « bouche » qui se garnira par la suite de tentacules. Finalement, ce bourgeon possède toutes les caractéristiques d'une hydre normale, et ainsi, le bourgeon va se séparer de l'hydre pour « mener sa propre vie ». Cette hydre est génétiquement identique à son parent.
* La reproduction sexuée.
''Hydra oligactis et Hydra vulgaris sont'' [[Gonochorisme|gonochoriques]] (il existe des individus mâles et femelles) alors que l'hydre verte (''Chlorohydra viridissima'' = ''Hydra viridissima'') et ''Hydra cirrcumcinta'' sont [[hermaphrodite]]. Les [[gonocyte]]s, issus des cellules interstitielles, participent à la formation de testicules coniques, situées le long du corps de l'hydre (la position varie celons les espèces), et d'ovaires hémisphériques situés sous la zone de bourgeonnement<ref name=bio/>. Chaque gonophore mâle (testicule) apparaît sous la forme d'un mamelon ou une sorte de verrue conique bourrée de cellules totipotentes. Au niveau des ovaires, il se forme de gros [[ovule]]s qui repoussent le feuillet ectodermique. Les [[spermatozoïde]]s flagellés, libérés par rupture du feuillet ectodermique, nagent jusqu'aux ovules qu'ils fécondent sur place. Une petite larve nageuse ([[planula]]) sera libérée à la belle saison. Celle-ci après fixation, constituera une nouvelle hydre.

Chez Hydra oligactis et Hydra vulgrais, cette reproduction a lieu à la fin des bonnes conditions climatiques, en hiver ou en automne. Chez les deux autres espèces, la reproduction à lieu à des températures plus chaudes. Enfin je crois, je les connais moins celles là.

== Le pouvoir de régénération ==
[[image:HYDRA.png|thumb|Hydre. (A) section longitudinale montrant une organisation épithéliale simple. Les flèches indiquent la direction du mouvement des tissus. (B) photographie d'une section de l'épithélium au niveau de la colonne. Cell. cellule ; endo. endodermique ; ecto. ectodermique ; gland. glandulaire ; intersti. interstitielle. Adapté de Bosch<ref name=b/> 2007]]
[[image:Regeneracion1.JPG|thumb|Régénération d'hydre après une section transversale]]
La subdivision de la colonne gastrique de l'hydre en 200 petits fragments de {{unité|0.2|mm}} entraine la régénération à partir de chaque fragment d'un polype entier. N'importe quel fragment du corps comportant quelques centaines de cellules épithéliales peut régénérer l'animal entier<ref name=b/>. Cette aptitude à l'auto-organisation est due à une production continue de cellules et de facteurs de signalisation dans le tissu adulte. Ce type de multiplication asexuée est nommé [[architomie]].

Lorsque l'hydre est placée dans un milieu nourricier riche, les cellules des deux feuillets de la colonne gastrique se multiplient de manière ininterrompue<ref name=d>{{ouvrage|titre= Les cellules souches, porteuses d'immortalité
|éditeur= Odile Jacob
|auteur= Nicole Le Douarin
|année= 2007
|pages=
}}</ref>. Les cellules formées se déplacent continûment (on décrit ce phénomène de migration sous le nom de '''morphallaxie''') vers la tête et vers le pied, contribuant ainsi à la croissance et à la régénération. Celle-ci se poursuit jusqu'à une taille maximale puis la production ininterrompue de cellules produit des bourgeons qui vont donner de nouveaux individus.

''La production continue de cellules est accompagnée de la mort tout aussi permanente des cellules les plus anciennes''. Cette destruction se produit à l'extrémité des tentacules et au niveau de la base du polype. Ces deux processus complémentaires de destruction et de croissance, assurent un renouvellement constant des tissus. Le remplacement total survient, suivant les conditions environnementales, en un à deux mois<ref name=bio>{{ouvrage|titre= Biologie animale, des Protozoaires aux Métazoaires [[épithélioneuriens]], tome 1
|éditeur= Dunod
|auteur= A. Beaumont, P. Cassier
|année= 1973
|pages=
}}</ref>. Il n'y a donc pas de [[sénescence]] (perte de fonction de l'organisme lié à l'âge).

La zone médiane du corps est riche en [[cellule souche|cellules souches]], appelées ''cellules interstitielles''. Les extrémités de l'animal sont par contre pauvres en cellules souches et riches en cellules différenciées. Les cellules souches sont des cellules [[totipotence|totipotente]]s, prolifératrices et capables d'autorenouvellement.

Les cellules souches avec leur capacité proliférative ininterrompue confèrent à l'hydre une "sorte d'immortalité", tout d'abord parce que son corps est constamment renouvelé et rajeuni et ensuite, parce que ses cellules produisent indéfiniment des bourgeons qui propagent les individus dans le milieu. L'hydre mère et ses descendants issus de bourgeons forment un seul [[Clonage|clone]], qui si les conditions sont favorables, s'accroît en permanence, donnant un être que l'on peut qualifier de potentiellement immortel<ref name=d/>, connaissant de surcroît une ''éternelle jeunesse potentielle''. Bien sûr, de nombreuses causes de mort (pollution, prédation, etc..) peuvent faire disparaître chaque polype mais apparemment pas la vieillesse.

La régénération ressemble à la croissance normale mais elle démarre toujours après une blessure. Le gène ''Kazal1'' codant un inhibiteur d'enzymes capables de digérer les protéines (ou [[protéase]]s) qui est exprimé dans les cellules glandulaires, est hyperexprimé immédiatement après l'amputation, au sein du bourgeon de régénération. Lorsque ce gène ''Kazal1'' est réprimé, les hydres ne survivent pas au stress de l'amputation. Il existe chez les mammifères un gène homologue, nommé ''SPINK1'', qui est fortement exprimé dans les cellules pancréatiques exocrines. Son mauvais fonctionnement entraîne une pancréatite chronique.

Ainsi, les protéines codées par ''Kazal1'' chez l'hydre et par ''SPINK1'' chez l'Homme, protègent les tissus du stress en prévenant une autophagie excessive<ref name=g/>.

== La sensibilité à la lumière ==
Selon une étude de Plachetzki {{et al.}}<ref>{{article|nom= David C. Plachetzki, Caitlin R. Fong and Todd H. Oakley
|titre= The evolution of phototransduction from an ancestral cyclic nucleotide gated pathway
|périodique= Proc. R. Soc. B
|année= 2010
|pages=doi:10.1098/rspb.2009.1797
|url texte=http://rspb.royalsocietypublishing.org/content/early/2010/03/02/rspb.2009.1797.full.pdf+html
}}</ref>, cet animal primitif, cousin de la méduse, aurait conçu le gène responsable de l'impulsion neuronale à l'origine de la vue. Tous les Vertébrés, y compris l'Homme, en ont hérité.

Les hydres sont des animaux primitifs qui n'ont pas d’œil mais sont quand même sensibles à la lumière. Elles possèdent des gènes fonctionnels codant l'[[opsine]] jouant un rôle central dans la cascade de phototransduction.

== Listes des différents noms d'espèces ==
=== Selon [[Système d'information taxonomique intégré|ITIS]] ===
{{colonnes|nombre=3|* ''[[Hydra americana]]'' Hyman, 1929
{{colonnes|nombre=3|* ''[[Hydra americana]]'' Hyman, 1929
* ''[[Hydra canadensis]]'' Rowan, 1930
* ''[[Hydra canadensis]]'' Rowan, 1930

Version du 30 septembre 2021 à 16:14

Hydra

Selon le Registre mondial des espèces marines (WRMS)

En aquariophilie

En aquariophilie, les hydres sont considérées comme relativement nuisibles : elles sont urticantes pour les poissons adultes et pourraient se nourrir d'alevins très petits[réf. nécessaire]. Enfin, suivant les conditions du milieu, elles peuvent se multiplier rapidement. Cependant, dû à leur intérêt scientifique et visuel, il est également possible de les laisser, non pas proliférer, mais simplement vivre.

Notes et références

Notes

Références

Voir aussi

Liens externes

Bibliographie

  • A. Tremblay, Mémoire pour servir l'histoire d'un genre de polype d'eau douce, Leide, chez Jean & Herman Verbeek, (lire en ligne)
    Ouvrage historique sur le sujet.