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* [[2014 au cinéma|2014]] : ''[[World Trigger]]'' de [[Ashihara Daisuke]]
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* [[2015]] : ''[[Apocalypse, Staline]]'', d'[[Isabelle Clarke]] et [[Daniel Costelle]], production CC&C
* [[2015]] : ''[[Apocalypse, Staline]]'', d'[[Isabelle Clarke]] et [[Daniel Costelle]], production CC&C
* 2016 : Joker Game
* 2016 : Servamp
* 2016 : Mob psycho 100
* 2016 : Mob psycho 100
* 2016 : Touken Ranbu - Hanamaru
* 2017 : Mobile Police Patlabor Reboot
* 2017 : Biohazard - Vendetta


== Notes et références ==
== Notes et références ==

Version du 24 août 2016 à 06:41

Kenji Kawai
Description de cette image, également commentée ci-après
Kenji Kawai lors de la Manga Expo 2007
Informations générales
Naissance (67 ans)
Tōkyō, Drapeau du Japon Japon
Activité principale Compositeur

Kenji Kawai (川井 憲次, Kawai Kenji?), compositeur japonais de musique de film, est né le à Shinagawa, Tōkyō.

Style expérimental proche de la musique contemporaine. Compositeur de musiques de séries télévisées à ses débuts, il est surtout connu pour l'atmosphère glaçante et hypnotique qui se dégage de sa musique et pour sa collaboration avec le réalisateur Mamoru Oshii. Il utilise aussi des percussions de tous les coins du monde, comme pour Seven Swords, Ghost in the Shell ou Innocence : Ghost in the Shell 2. Il est un des compositeurs japonais de musique de films les plus connus, avec Joe Hisaishi et Ryūichi Sakamoto.

Ses influences

Dans son enfance il a baigné dans un univers de musique de film et de variété française, dont son père était fan, il écoutait aussi ce qui passait à la radio. Au lycée il écoutait Santana et Deep Purple, ensuite, à la faculté, il était plus axé jazz fusion[1].

Filmographie en tant que compositeur

Notes et références

Bibliographie

  • Xavier Kawa-Topor et Ilan Nguyen, "Kenji Kawaï", dans Nouvelles Images du Japon - films d'animation et cinéma numérique, 2003, Forum des Images, pp. 20–23, (ISSN 1634-6882).

Références

  1. Bertrand Rougier, « Le musicien et la mort : interview Kenji Kawaï », Mad Movies, no 140,‎  :

    « Mon père était un fan de musique de film. J'en écoutais sans arrêt. […] D'ailleurs, […], mon père aimait beaucoup les compositeurs français de variété. […] j'écoutais ce qui passait à la radio. Ce sont là les premières sources de mon inspiration et de ma passion. En fait, les influences de Santana et de Deep Purple remontent aux années pendant lesquelles j'étais au lycée. Ensuite, […], j'étais plus inspiré par des ambiances jazz-fusion. »

    .

Voir aussi

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