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« Direct-to-video » : différence entre les versions

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[[Julien Sévéon]], dans son livre ''Le cinéma enragé au Japon'', rappelle que si le DTV « signifie en [[Occident]] des productions bas de gamme, cela n'a pas le même sens au Japon où les œuvres V-Cinéma [...] restent un terreau de création et d'expérimentation sans pareil, dans lequel de nombreux grands noms comme [[Takashi Miike]] ont travaillé ou travaillent encore »<ref name="Nanarland" />.
[[Julien Sévéon]], dans son livre ''Le cinéma enragé au Japon'', rappelle que si le DTV « signifie en [[Occident]] des productions bas de gamme, cela n'a pas le même sens au Japon où les œuvres V-Cinéma [...] restent un terreau de création et d'expérimentation sans pareil, dans lequel de nombreux grands noms comme [[Takashi Miike]] ont travaillé ou travaillent encore »<ref name="Nanarland" />.

== ''Direct to DVD'' ==

L'émission ''[[Direct to DVD]]'', visible gratuitement en [[streaming]] sur [[Internet]], est diffusée depuis le 1{{er}} novembre 2009 sur [[AlloCiné]]. Elle parle des films sortis directement en DVD ou sur plates-formes de téléchargement légal<ref name="Allo">[http://www.allocine.fr/video/direct-to-dvd/ Page Direct To DVD du site ''AlloCiné.fr'']</ref>.


== Notes et références ==
== Notes et références ==

{{Références}}
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Version du 20 juillet 2015 à 12:18

Le direct-to-video, souvent abrégé en « DTV », également appelé vidéofilm, est la sortie d'un film directement à la vente et à la location sans qu'il ait été exploité dans les salles de cinéma.

Au Japon, on appelle cela « V-Cinéma ». En France, l'émission Direct to DVD est entièrement consacrée à ce type de produits.

Définition

Les DTV ont la particularité d'être diffusés directement sur les supports VHS, DVD ou Blu-ray sans passer par les salles de cinéma. Ils sont techniquement appelés « films de second marché » par opposition aux « films de premier marché » dont l'exploitation débute en salle[1].

V-Cinéma

Julien Sévéon, dans son livre Le cinéma enragé au Japon, rappelle que si le DTV « signifie en Occident des productions bas de gamme, cela n'a pas le même sens au Japon où les œuvres V-Cinéma [...] restent un terreau de création et d'expérimentation sans pareil, dans lequel de nombreux grands noms comme Takashi Miike ont travaillé ou travaillent encore »[1].

Notes et références