« Norme sociale » : différence entre les versions

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Une '''norme sociale''' réfère à une règle de conduite dans une société ou un [[groupe social]], notamment des manières d’agir. Les normes sociales définissent le domaine de l’action sociale en précisant ce que l’individu peut ou ne peut pas faire. Elles traduisent les [[valeurs (sociologie)|valeurs]] et les idéaux dominants de la société ou du groupe. Mathilde elle est pas belle.


{{À sourcer|date=septembre 2023}}
Il existe des normes '''formelles''', (écrites : [[loi]]s, différents codes et règlements). Il existe également des normes '''informelles''' qui constituent en fait les [[Bonnes mœurs|mœurs]], les habitudes, les [[coutume]]s{{etc}} ({{ex}} [[politesse]], rythme de repas). Le non-respect de ces normes est soit toléré soit rejeté et sanctionné. Dans le cas de normes formelles, les sanctions consisteront en de la [[prison]], des amendes, licenciements{{etc}} Sinon il s'agira principalement de sanctions morales telles que des brimades, allant jusqu'à l'exclusion d'un individu de son groupe d'appartenance. La plupart des membres de la société ou du groupe accordent donc une valeur à celles-ci. Le respect de ces normes contribue donc à la [[cohésion sociale]], mais s'en écarter amène à une fracture à cause de la sanction pouvant aller jusqu'à l'exclusion.


[[Fichier:Tennis shake hands after match.jpg|vignette|Se serrer la main entre adversaires sportifs, ici pour un match de tennis, est un exemple de norme sociale.]]
La socialisation permet de transmettre des valeurs, dont les valeurs dites « centrales », et des normes. On distingue les normes, matérialisation des valeurs, des règles, qui constituent la mise en pratique des valeurs (ou velléités de mise en application systématique et obligatoire).
Une '''norme sociale''' réfère à une façon de faire ou d’agir, une règle de conduite tacite<ref>{{Lien web |langue=fr |prénom=Éditions |nom=Larousse |titre=Synonymes : tacite - Dictionnaire des synonymes Larousse |url=https://www.larousse.fr/dictionnaires/synonymes/tacite/20139 |site=www.larousse.fr |consulté le=2024-04-14}}</ref> ou écrite, qui a prévalence dans une société ou un [[groupe social]] donné. Elle est légitimée par des habitudes, des valeurs ou des croyances partagées au sein d’un collectif donné, ainsi que par le [[contrôle social]] exercé.


== Articles connexes ==
== Origine du concept ==
{{Section vide ou incomplète}}

== Champ d’action ==
Les normes sociales définissent les manières de faire et les manières d’être socialement acceptables en distinguant les comportements et les attitudes, qui sont [[Conformité|conformes]] aux attentes, des comportements et attitudes qui sont jugés [[Déviance|déviants]]. Elles traduisent les [[valeurs (sociologie)|valeurs]] et les idéaux dominants d’une [[Société (sciences sociales)|société]] ou d’un [[Groupe social|groupe]]. Il n’est pas obligatoire et il est même rarement le cas que tous les groupes d’une même société donnée partagent les mêmes normes. Ces divergences entre les normes apportent des conflits sur les façons adéquates de se comporter, dans diverses situations.

Il est fréquent qu’un individu affiche par son comportement une forme idéalisée des normes sociales. Il s’agit d’une des pratiques les plus fréquentes dans l’humanité puisqu'elle donne le sentiment de pouvoir progresser de rang dans la société. Ce comportement se rencontre en religion et en amour, ou en enseignement, et [[Charles Horton Cooley]], sociologue [[États-Unis|américain]], a montré qu’il était très fréquent même et surtout chez les scientifiques. Mais alors, la personne qui idéalise son comportement doit dissimuler la part de son activité qui n’est pas conforme, non seulement à la norme, mais encore qui risque de faire douter de l’idéal. Par exemple, un enfant de 8 ans se cachera pour regarder des films qu’il sait prévus pour des enfants de 6 ans. Des religieux iront boire de l’alcool discrètement. Les [[rapports Kinsey]] ont montré, aux États-Unis, vers 1950, combien la pratique sexuelle échappait, en toute discrétion, aux schémas binaires habituels. On dissimulera une forme avantageuse d’activité. Par exemple, de nombreuses gens se justifient leur travail, non pour lui même, mais pour les à-cotés qu’il facilite, y compris le vol. On dissimulera les maladresses qu’on a commises, pour préserver l’idéalisation ; comme le dit un adage d'[[Oscar Wilde]], {{Citation|Les médecins enterrent leurs erreurs}}<ref>{{Article |langue=fr |titre=" Les médecins enterrent leurs erreurs, les architectes pas " (Oscar Wilde). |périodique=Le Monde.fr |date=1985-02-18 |lire en ligne=https://www.lemonde.fr/archives/article/1985/02/18/les-medecins-enterrent-leurs-erreurs-les-architectes-pas-oscar-wilde_2750684_1819218.html |consulté le=2021-10-27 }}</ref>. On dissimulera les étapes d’un travail, pour ne montrer que la forme finale, supposée seule conforme à l’idéal ; ainsi l’édition papier de leur thèse représente souvent un travail considérable pour les étudiants, mais ils n’en parleront pas. On dissimulera bien sûr les tâches salissantes et avilissantes qui ont été nécessaires pour parvenir à un résultat donné comme idéal ; la sale besogne sera confiée à un domestique, par exemple<ref>{{Bibliographie|Q108854428|page=46}}</ref>.

Pour conforter l’adéquation d’une norme sociale avec un idéal, on fera montre de l’origine miraculeuse de sa pratique, que l’on appellera ''vocation''. Nombre d’organismes d’apprentissage demandent à leurs élèves de se soumettre à une sorte de formation initiatique, dans le but de donner un aspect sacré à leurs compétences. Les études de pharmacie, par exemple, durent de nombreuses années, alors que divers éléments montrent que beaucoup moins suffirait : durant la seconde guerre mondiale, l’armée américaine a formé des pharmaciens en quelques mois seulement, au grand dam des professionnels du secteur ; les religieux développent à l’envi la description de l’origine extraordinaire de leur vocation ; les écoles de médecine choisissent souvent leurs élèves en fonction de leur origine ethnique, car elles savent que les patients le font. Également, pour favoriser l’impression d’harmonie entre une norme sociale et son comportement, on favorisera une segmentation de ses relations, de façon à pouvoir apparaître mieux dans chacune ; par exemple, une adolescente isolera son milieu familial et ses amies<ref>{{Bibliographie|Q108854428|page=50}}</ref>.

Sauf en cas d’un cérémoniel établi, les personnes impliquées dans une interaction essaient de donner l’impression que leur relation est particulière à eux-mêmes, libre, partant, qu’elle se déroule en dehors des normes sociales. Ainsi, un médecin qui recommande un spécialiste à un patient prétendra que ce spécialiste est le meilleur et qu’il est là pratiquement exprès pour cette occasion, mais il ne mentionnera pas qu’ils ont fait leurs études ensemble. Les commerçants développent de multiples {{Citation|services personnels}}, prestations souvent encouragées par les clients eux-mêmes, pour démontrer qu’ils entretiennent avec leur entourage des relations chaleureuses en dehors de contraintes normées. Ainsi, dans un guide américain des bonnes manières du {{s-|XIX}}, on trouve :

{{Citation bloc|Si vous avez échangé des politesses avec quelqu'un, ou si vous avez employé à son égard une expression de courtoisie déterminée, vous ne devez pas adopter, en sa présence, le même comportement avec une autre personne. Par exemple, si quelqu'un vient chez vous et que vous lui déclarez avec un intérêt chaleureux que vous êtes « heureux de le voir », vos attentions lui feront plaisir et il vous remerciera probablement ; mais, s'il vous entend tenir le même langage à vingt autres personnes, non seulement il s'apercevra que votre courtoisie ne signifie rien, mais encore il éprouvera quelque dépit de s'être laissé abuser.|Lee and Blanchard|The Canons of Good Breeding : or the Handbook of the Man of Fashion}}

Dans le cas des normes sociales, changer la norme fait partie de la norme elle-même<ref>{{Bibliographie|Q108854428|page=53}}</ref>.

== Normes tacites et écrites ==
Il existe des normes formelles, (écrites : [[loi]]s, différents codes et règlements). Il existe également des normes informelles qui constituent en fait les [[Bonnes mœurs|mœurs]], les habitudes, les [[coutume]]s{{etc}} ([[politesse]], rythme de repas etc.). Le non-respect de ces normes est soit toléré soit rejeté et sanctionné. Dans le cas de normes formelles, les sanctions consisteront en de la [[prison]], des amendes, licenciements etc. Il s’agira sinon principalement de sanctions morales telles que des [[Brimade|brimades]] allant jusqu’à l’[[Exclusion sociale|exclusion]] d’un [[individu]]. La plupart des membres de la société ou du groupe accordent une valeur au respect des normes sociales. Le respect de ces normes contribue à la [[cohésion sociale]], mais l’[[Contrôle social|application de sanctions sociales]] peut aussi mener à l’[[exclusion sociale]].

La [[socialisation]] permet de transmettre les normes sociales.

== Notes et références ==
{{Références}}

== Voir aussi ==

=== Bibliographie ===
* {{Ouvrage
| langue = fr
| prénom1 = Pierre
| nom1 = Demeulenaere
| auteur1 = Pierre Demeulenaere
| titre = Les normes sociales
| sous-titre = Entre accords et désaccords
| lieu =
| éditeur = Presses universitaires de France
| collection = Sociologies
| mois =
| année = 2003
| volume =
| tome =
| pages totales = 304
| passage =
| isbn = 978-2-130-53905-6
| lire en ligne = https://www.cairn.info/les-normes-sociales--9782130539056.htm
| id =
}}.
* {{Ouvrage
| langue = fr
| prénom1 = Howard S.
| nom1 = Becker
| auteur1 = Howard S. Becker
| traducteur = Jean-Pierre Briand et Jean-Michel Chapoulie
|langue originale = en-us
| titre = Outsiders
| sous-titre = Études de sociologie de la déviance
| lieu =
| éditeur = Éditions Métailié
| collection = Leçons de choses
| mois =
| année = 1985
| année première édition = 1963
| volume =
| tome =
| pages totales = 250
| passage =
| isbn = 978-2-864-24918-4
| lire en ligne = https://www.cairn.info/outsiders--9782864249184.htm
| id =
}}.

=== Articles connexes ===
{{colonne|taille=18|
* [[Anomie]]
* [[Cohésion sociale]]
* [[Cohésion sociale]]
* [[Convention (droit)]]
* [[Déviance]]
* [[Déviance]]
* [[Enculturation]]
* [[Étiquette (code)]]
* [[Expérience de déstabilisation]]
* [[Hétéronormativité]]
* [[Idéologie]]
* [[Influence sociale]]
* [[Influence sociale]]
* [[Morale]]
* [[Normalité (comportement)]]
* [[Organisation sociale]]
* [[Résistance (psychologie sociale)]]
* [[Rôle social]]
* [[Rôle social]]
* [[Structure sociale]]
* [[Tabou]]
* [[Tabou]]
* [[Valeurs (sociologie)]]
* [[Valeurs (sociologie)]]
* ''[[Zeitgeist]]''
* [[Résistance (psychologie sociale)]]
}}



=== Liens externes ===
== Bibliographie ==
{{Liens}}
* [[Pierre Demeulenaere]], ''Les normes sociales'', [[Paris]], [[Presses universitaires de France]], [[2003]].


{{Portail|sociologie}}
{{Portail|culture|politique|psychologie|sociologie|société}}


[[Catégorie:Concept sociologique]]
[[Catégorie:Concept sociologique]]

Version du 14 avril 2024 à 10:32

Se serrer la main entre adversaires sportifs, ici pour un match de tennis, est un exemple de norme sociale.

Une norme sociale réfère à une façon de faire ou d’agir, une règle de conduite tacite[1] ou écrite, qui a prévalence dans une société ou un groupe social donné. Elle est légitimée par des habitudes, des valeurs ou des croyances partagées au sein d’un collectif donné, ainsi que par le contrôle social exercé.

Origine du concept

Champ d’action

Les normes sociales définissent les manières de faire et les manières d’être socialement acceptables en distinguant les comportements et les attitudes, qui sont conformes aux attentes, des comportements et attitudes qui sont jugés déviants. Elles traduisent les valeurs et les idéaux dominants d’une société ou d’un groupe. Il n’est pas obligatoire et il est même rarement le cas que tous les groupes d’une même société donnée partagent les mêmes normes. Ces divergences entre les normes apportent des conflits sur les façons adéquates de se comporter, dans diverses situations.

Il est fréquent qu’un individu affiche par son comportement une forme idéalisée des normes sociales. Il s’agit d’une des pratiques les plus fréquentes dans l’humanité puisqu'elle donne le sentiment de pouvoir progresser de rang dans la société. Ce comportement se rencontre en religion et en amour, ou en enseignement, et Charles Horton Cooley, sociologue américain, a montré qu’il était très fréquent même et surtout chez les scientifiques. Mais alors, la personne qui idéalise son comportement doit dissimuler la part de son activité qui n’est pas conforme, non seulement à la norme, mais encore qui risque de faire douter de l’idéal. Par exemple, un enfant de 8 ans se cachera pour regarder des films qu’il sait prévus pour des enfants de 6 ans. Des religieux iront boire de l’alcool discrètement. Les rapports Kinsey ont montré, aux États-Unis, vers 1950, combien la pratique sexuelle échappait, en toute discrétion, aux schémas binaires habituels. On dissimulera une forme avantageuse d’activité. Par exemple, de nombreuses gens se justifient leur travail, non pour lui même, mais pour les à-cotés qu’il facilite, y compris le vol. On dissimulera les maladresses qu’on a commises, pour préserver l’idéalisation ; comme le dit un adage d'Oscar Wilde, « Les médecins enterrent leurs erreurs »[2]. On dissimulera les étapes d’un travail, pour ne montrer que la forme finale, supposée seule conforme à l’idéal ; ainsi l’édition papier de leur thèse représente souvent un travail considérable pour les étudiants, mais ils n’en parleront pas. On dissimulera bien sûr les tâches salissantes et avilissantes qui ont été nécessaires pour parvenir à un résultat donné comme idéal ; la sale besogne sera confiée à un domestique, par exemple[3].

Pour conforter l’adéquation d’une norme sociale avec un idéal, on fera montre de l’origine miraculeuse de sa pratique, que l’on appellera vocation. Nombre d’organismes d’apprentissage demandent à leurs élèves de se soumettre à une sorte de formation initiatique, dans le but de donner un aspect sacré à leurs compétences. Les études de pharmacie, par exemple, durent de nombreuses années, alors que divers éléments montrent que beaucoup moins suffirait : durant la seconde guerre mondiale, l’armée américaine a formé des pharmaciens en quelques mois seulement, au grand dam des professionnels du secteur ; les religieux développent à l’envi la description de l’origine extraordinaire de leur vocation ; les écoles de médecine choisissent souvent leurs élèves en fonction de leur origine ethnique, car elles savent que les patients le font. Également, pour favoriser l’impression d’harmonie entre une norme sociale et son comportement, on favorisera une segmentation de ses relations, de façon à pouvoir apparaître mieux dans chacune ; par exemple, une adolescente isolera son milieu familial et ses amies[4].

Sauf en cas d’un cérémoniel établi, les personnes impliquées dans une interaction essaient de donner l’impression que leur relation est particulière à eux-mêmes, libre, partant, qu’elle se déroule en dehors des normes sociales. Ainsi, un médecin qui recommande un spécialiste à un patient prétendra que ce spécialiste est le meilleur et qu’il est là pratiquement exprès pour cette occasion, mais il ne mentionnera pas qu’ils ont fait leurs études ensemble. Les commerçants développent de multiples « services personnels », prestations souvent encouragées par les clients eux-mêmes, pour démontrer qu’ils entretiennent avec leur entourage des relations chaleureuses en dehors de contraintes normées. Ainsi, dans un guide américain des bonnes manières du XIXe siècle, on trouve :

« Si vous avez échangé des politesses avec quelqu'un, ou si vous avez employé à son égard une expression de courtoisie déterminée, vous ne devez pas adopter, en sa présence, le même comportement avec une autre personne. Par exemple, si quelqu'un vient chez vous et que vous lui déclarez avec un intérêt chaleureux que vous êtes « heureux de le voir », vos attentions lui feront plaisir et il vous remerciera probablement ; mais, s'il vous entend tenir le même langage à vingt autres personnes, non seulement il s'apercevra que votre courtoisie ne signifie rien, mais encore il éprouvera quelque dépit de s'être laissé abuser. »

— Lee and Blanchard, The Canons of Good Breeding : or the Handbook of the Man of Fashion

Dans le cas des normes sociales, changer la norme fait partie de la norme elle-même[5].

Normes tacites et écrites

Il existe des normes formelles, (écrites : lois, différents codes et règlements). Il existe également des normes informelles qui constituent en fait les mœurs, les habitudes, les coutumesetc. (politesse, rythme de repas etc.). Le non-respect de ces normes est soit toléré soit rejeté et sanctionné. Dans le cas de normes formelles, les sanctions consisteront en de la prison, des amendes, licenciements etc. Il s’agira sinon principalement de sanctions morales telles que des brimades allant jusqu’à l’exclusion d’un individu. La plupart des membres de la société ou du groupe accordent une valeur au respect des normes sociales. Le respect de ces normes contribue à la cohésion sociale, mais l’application de sanctions sociales peut aussi mener à l’exclusion sociale.

La socialisation permet de transmettre les normes sociales.

Notes et références

  1. Éditions Larousse, « Synonymes : tacite - Dictionnaire des synonymes Larousse », sur www.larousse.fr (consulté le )
  2. « " Les médecins enterrent leurs erreurs, les architectes pas " (Oscar Wilde). », Le Monde.fr,‎ (lire en ligne, consulté le )
  3. Erving Goffman (trad. Alain Accardo), La présentation de soi, Paris, Les Éditions de Minuit, , 251 p. (ISBN 2-7073-0014-4, BNF 37496128), p. 46Voir et modifier les données sur Wikidata
  4. Erving Goffman (trad. Alain Accardo), La présentation de soi, Paris, Les Éditions de Minuit, , 251 p. (ISBN 2-7073-0014-4, BNF 37496128), p. 50Voir et modifier les données sur Wikidata
  5. Erving Goffman (trad. Alain Accardo), La présentation de soi, Paris, Les Éditions de Minuit, , 251 p. (ISBN 2-7073-0014-4, BNF 37496128), p. 53Voir et modifier les données sur Wikidata

Voir aussi

Bibliographie

  • Pierre Demeulenaere, Les normes sociales : Entre accords et désaccords, Presses universitaires de France, coll. « Sociologies », , 304 p. (ISBN 978-2-130-53905-6, lire en ligne).
  • Howard S. Becker (trad. de l'anglais américain par Jean-Pierre Briand et Jean-Michel Chapoulie), Outsiders : Études de sociologie de la déviance, Éditions Métailié, coll. « Leçons de choses », (1re éd. 1963), 250 p. (ISBN 978-2-864-24918-4, lire en ligne).

Articles connexes


Liens externes