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La '''viviparité''' est un mode de [[reproduction (biologie)|reproduction]] le [[zygote]] se développe à l'intérieur d'une matrice spécialisée en recevant des apports nutritifs (sans apport nutritif, il s'agit d'[[ovoviparité]]).
La '''viviparité''' est un mode de [[reproduction (biologie)|reproduction]] dans lequel l'[[embryon]] se développe à l'intérieur du corps de l'un de ses parents (sauf exception, le parent [[femelle]]).


== Biologie végétale ==
== Biologie animale ==
Une [[espèce]] [[animal]]e est qualifiée scientifiquement de vivipare lorsque son mode de reproduction satisfait les deux critères suivants<ref name="Matrotrophy">{{lien web| langue=en| url=http://onlinelibrary.wiley.com/doi/10.1111/brv.12189/full| titre=Matrotrophy and placentation in invertebrates: a new paradigm}}.</ref> :
Le terme viviparité est utilisé en [[botanique]] pour désigner un mode de reproduction où la [[germination]] de [[graine]]s se produit alors que les graines sont encore dans le [[fruit (botanique)|fruit]] accroché à la plante-mère
* le parent ne pond pas des [[œuf amniotique|œufs]] mais met au monde une progéniture viable, que l'espèce soit [[nidicole]] ou [[nidifuge]] ;
* le [[Biologie du développement|développement]] [[embryon]]naire prend place dans une matrice spécialisée du tractus génital (par exemple dans un [[utérus]]).


Cette qualification est parfois restreinte par un critère supplémentaire : au sein de la matrice, l'embryon reçoit un apport nutritif de type [[matrotrophie]] durant tout ou partie de son développement. Le processus au cours duquel l'embryon se développe chez une espèce vivipare est alors appelé [[gestation]]. Les espèces chez lesquelles l'embryon se développe dans l'œuf mais ne reçoit pas d'apport nutritif sont dites [[ovoviviparité|ovovivipares]].
C'est un cas extrême de [[Semence récalcitrante|semences dites récalcitrantes]]. On peut observer un tel développement dans les [[mangrove]]s, sur les [[palétuvier]]s et chez certaines cactées épiphytes cultivées (''[[Epiphyllum phyllanthus]]'' ou'' [[Rhipsalis pilocarpa]]'' par exemple, avec des graines qui s'avèrent viables<ref>Lombardi, JA, [http://md1.csa.com/partners/viewrecord.php?requester=gs&collection=ENV&recid=3643929&q=rhipsalis&uid=789963938&setcookie=yes Viviparity in Rhipsalis pilocarpa Loefgren (Cactaceae)] {{Lien archive|url=http://md1.csa.com/partners/viewrecord.php?requester=gs&collection=ENV&recid=3643929&q=rhipsalis&uid=789963938&setcookie=yes |horodatage archive=20110920141329 |titre=Copie archivée }} ; Ciencia e cultura (Sao Paulo) [CIENC. CULT.]. Vol. 45, no. 6, 407 p. 1993.</ref>. Ce phénomène présente probablement un intérêt évolutif<ref>J. Hugo Cota-Sánche ''Vivipary in the Cactaceae: Its taxonomic occurrence and biological significance'', Flora - Morphology, Distribution, Functional Ecology of Plants ; Volume 199, Issue 6, 2004, Pages 481-490 {{doi|10.1078/0367-2530-00175}}</ref>.


C'est la [[femelle]] qui effectue la gestation, à l'exception notable des [[Syngnathidae|Syngnathidés]] (dont les [[hippocampe (poisson)|hippocampes]] et les {{page h'|dragon de mer|dragons de mer}}) chez qui c'est le [[mâle]] qui l'assume.
== Biologie animale ==
Une [[espèce]] [[animal]]e est qualifiée scientifiquement de vivipare lorsque son mode de reproduction satisfait les deux critères suivants<ref>{{lien web|url=http://onlinelibrary.wiley.com/doi/10.1111/brv.12189/full | titre = "Matrotrophy and placentation in invertebrates: a new paradigm"}}{{en}}</ref> :
* le [[Biologie du développement|développement]] [[embryon]]naire prend place dans une matrice spécialisée du tractus génital (ex : [[utérus]]) ;
* le parent ne pond pas des œufs mais met au monde une progéniture viable, que cette dernière soit [[nidicole]] ou [[nidifuge]].
Cette qualification est restreinte occasionnellement par un critère supplémentaire : au sein de l'utérus/matrice, l'embryon reçoit un apport nutritif de type [[matrotrophie]] durant tout ou partie de son développement.
Le processus au cours duquel l'embryon se développe chez une espèce vivipare est appelé [[gestation]].


=== Histoire ===
Il existe plus de 150 lignées de vertébrés vivipares<ref name = "Evolution of vertebrate viviparity and specializations for fetal nutrition: A quantitative and qualitative analysis">{{lien web|url=http://onlinelibrary.wiley.com/doi/10.1002/jmor.20272/abstract;jsessionid=1019211F1626FF2355F48C15E790716B.f02t04 | titre = "Evolution of vertebrate viviparity and specializations for fetal nutrition: A quantitative and qualitative analysis"}}{{en}}</ref> présentant diverses stratégies de nutrition de l'embryon, depuis la [[placenta|placentotrophie]] complète jusqu'à l'[[adelphophagie]]. Anecdotiquement, c'est la femelle qui effectue la gestation chez la quasi-totalité des animaux vivipares, mais il existe un taxon (les [[syngnathidé]]s) chez qui c'est le [[mâle]] qui effectue la [[gestation]].
[[fichier:Ichtyosaure et nouveau-né.jpg| vignette| redresse=2| Une femelle ichthyosaure et son embryon expulsé au moment de la mort{{note| groupe=alpha| Chez les premiers ichthyosaures du [[Trias]], le nouveau-né sort la tête la première. Chez les ichthyosaures plus tardifs, comme ici, c'est la queue qui sort en premier, comme chez les [[Cetacea|Cétacés]] actuels<ref>{{lien web| url=https://lejournal.cnrs.fr/articles/des-monstres-marins-au-temps-des-dinosaures| site=Journal du CNRS| auteur1= Sebastián Escalón| auteur2=Nathalie Bardet| auteur3=Alexandra Houssaye| auteur4=Peggy Vincent| titre=Des « monstres » marins au temps des dinosaures| date=24 novembre 2021| consulté le=9 décembre 2021}}.</ref>.}}, un fossile exceptionnel (gisement d'[[Holzmaden]], Allemagne).]]
Le fossile représentant la forme la plus ancienne de viviparité d'un vertébré a été découvert dans la [[formation de Gogo]] par l'équipe de [[John A. Long]], du Museum Victoria à Melbourne. Il s'agit du poisson ''[[Materpiscis attenboroughi]]'' (un [[placodermes|placoderme]]) datant de 380 [[million d'années|Ma]]<ref name="futura">{{lien web|url=http://www.futura-sciences.com/fr/sinformer/actualites/news/t/paleontologie/d/le-poisson-fossile-qui-allait-accoucher_15701/|titre=Le poisson fossile qui allait accoucher|auteur=Jean-Luc Goudet|site=Futura-Sciences|date=30 mai 2008}}</ref> ; ce qui signifie que la viviparité serait apparue 200 millions d'années plus tôt qu'estimé auparavant. La découverte a été publiée dans la revue ''[[Nature (revue)|Nature]]'' en 2008.


Les [[Ichthyosauria|ichtyosaures]], un [[ordre (biologie)|ordre]] de [[reptile]]s marins apparu au [[Trias]] il y a 250 millions d'années, étaient vivipares.
Chez les [[thérien]]s, la [[nutrition]] se fait via le [[placenta]] et le [[cordon ombilical]]. Il n'y a donc pas de stade externe libre pour l'[[œuf (biologie)|œuf]], celui-ci est conservé dans les voies génitales de la femelle jusqu'à son expulsion. La viviparité est la règle commune chez de nombreux [[mammifère]]s actuels ([[placentaire]]s et [[marsupiaux]], exception étant faite des [[monotrèmes]]) mais on la retrouve également chez certains [[reptile]]s (comme le [[serpent caméléon]]), quelques [[amphibien]]s (la [[salamandra|salamandre]]), des [[arthropode]]s comme chez certains [[insecte]]s (la [[Pédogenèse (biologie)|pédogenèse]] des [[Aphidoidea|pucerons]]) ou certains [[Scorpiones|scorpions]] (le [[Pandinus imperator|scorpion empereur]]), certains [[poisson]]s (la famille des [[Goodeidae|Goodeidés]], certains [[requin]]s (comme le [[requin marteau]]) la [[Zoarces viviparus|loquette d'Europe]]), ainsi que quelques [[nématodes]] (par exemple la [[Trichinella spiralis|trichine]]) et insectes ([[mouche tsé-tsé]] ou glossine)


=== Lignées vivipares ===
Le fossile représentant la forme la plus ancienne de viviparité d'un vertébré a été découvert dans la formation Gogo par l'équipe de [[John A. Long]], du Museum Victoria à Melbourne. Il s'agit du poisson ''[[Materpiscis attenboroughi]]'' (un placoderme aujourd'hui éteint) datant d'il y a -380 [[million d'années|Ma]]<ref name=futura>{{lien web|url=http://www.futura-sciences.com/fr/sinformer/actualites/news/t/paleontologie/d/le-poisson-fossile-qui-allait-accoucher_15701/|titre=Le poisson fossile qui allait accoucher|auteur=Jean-Luc Goudet|site=Futura-Sciences|date=30 mai 2008}}</ref> ; ce qui signifie que la viviparité serait apparue 200 millions d'années plus tôt qu'estimé auparavant. La découverte a été publiée dans le journal Nature en 2008.
Il existe plus de 150 lignées de vertébrés vivipares<ref>{{lien web| langue=en| url=http://onlinelibrary.wiley.com/doi/10.1002/jmor.20272/abstract;jsessionid=1019211F1626FF2355F48C15E790716B.f02t04| titre=Evolution of vertebrate viviparity and specializations for fetal nutrition: A quantitative and qualitative analysis}}.</ref> et pas moins de 140 lignées d'invertébrés vivipares<ref name="Matrotrophy" />.

La viviparité est la règle commune chez de nombreux [[mammifère]]s actuels ([[Placentalia|placentaires]] et [[Marsupialia|marsupiaux]], exception étant faite des [[Monotremata|monotrèmes]]) mais on la retrouve également chez certains [[reptile]]s (comme le [[Homalophis gyii|Serpent caméléon]]), quelques [[Amphibia|amphibiens]] (les [[salamandra|salamandres]]), des [[arthropodes]] comme chez certains [[insecte]]s ([[Aphidoidea|pucerons]], [[mouche tsé-tsé|mouches tsé-tsé]]) ou certains [[Scorpiones|scorpions]] (le [[Pandinus imperator|Scorpion empereur]]), certains [[poisson]]s (la [[famille (biologie)|famille]] des [[Goodeidae|Goodeidés]], certains [[requin]]s comme les [[Sphyrnidae|requins-marteaux]], la [[Zoarces viviparus|Loquette d'Europe]]), ainsi que quelques [[Nematoda|nématodes]] (par exemple la [[Trichinella spiralis|Trichine]]).

=== Stratégies ===
Les lignées vivipares présentent diverses stratégies de nutrition de l'embryon, notamment :
* la [[placenta|placentotrophie]] (partielle ou complète) ;
* l'[[adelphophagie]] ;
* l'histotrophie (desquamation utérine) ;
* l'allaitement ''in utero'' (via trophonèmes) ;
* l'[[ovatrophie]] ''in utero''.
Beaucoup de lignées utilisent plusieurs de ces stratégies (simultanément ou en alternance) : [[lécithotrophie]] + [[placentotrophie]], [[ovatrophie]] + [[adelphophagie]]{{etc.}}

Chez les [[mammifère]]s [[Theria|thériens]], la [[nutrition]] se fait via le [[placenta]] et le [[cordon ombilical]]. Il n'y a donc pas de stade externe libre pour l'[[œuf (biologie)|œuf]], celui-ci est conservé dans les voies génitales de la femelle jusqu'à son expulsion.

== Biologie végétale ==
Le terme ''viviparité'' est utilisé en [[botanique]] pour désigner un mode de reproduction où la [[germination]] des [[graine]]s se produit alors qu'elles sont encore dans le [[fruit (botanique)|fruit]] accroché à la plante-mère.

C'est un cas extrême de [[semence (agriculture)|semences]] dites [[Semence récalcitrante|récalcitrantes]]. On peut observer un tel développement sur les [[palétuvier]]s et chez certaines [[Cactaceae|cactées]] [[épiphyte]]s [[Culture (agriculture)|cultivées]] (''[[Epiphyllum phyllanthus]]'' ou'' [[Rhipsalis pilocarpa]]'' par exemple, avec des graines qui s'avèrent viables<ref>Lombardi, JA, [http://md1.csa.com/partners/viewrecord.php?requester=gs&collection=ENV&recid=3643929&q=rhipsalis&uid=789963938&setcookie=yes Viviparity in Rhipsalis pilocarpa Loefgren (Cactaceae)] {{Lien archive |url=http://md1.csa.com/partners/viewrecord.php?requester=gs&collection=ENV&recid=3643929&q=rhipsalis&uid=789963938&setcookie=yes |titre=Copie archivée |horodatage archive=20110920141329}} ; Ciencia e cultura (Sao Paulo) [CIENC. CULT.]. Vol. 45, no. 6, 407 p. 1993.</ref>). Ce phénomène présente probablement un intérêt évolutif<ref>J. Hugo Cota-Sánche ''Vivipary in the Cactaceae: Its taxonomic occurrence and biological significance'', Flora - Morphology, Distribution, Functional Ecology of Plants ; Volume 199, Issue 6, 2004, Pages 481-490 {{doi|10.1078/0367-2530-00175}}</ref>.

== Notes et références ==
=== Notes ===
{{références| groupe=alpha}}

=== Références ===
{{références}}


== Articles connexes ==
== Articles connexes ==
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* [[Ovuliparité]]
* [[Ovuliparité]]
* [[Poisson vivipare]]
* [[Poisson vivipare]]

== Notes et références ==
<References/>


{{Portail|Zoologie|Biologie}}
{{Portail|Zoologie|Biologie}}

Dernière version du 17 mai 2022 à 16:54

La viviparité est un mode de reproduction dans lequel l'embryon se développe à l'intérieur du corps de l'un de ses parents (sauf exception, le parent femelle).

Biologie animale[modifier | modifier le code]

Une espèce animale est qualifiée scientifiquement de vivipare lorsque son mode de reproduction satisfait les deux critères suivants[1] :

Cette qualification est parfois restreinte par un critère supplémentaire : au sein de la matrice, l'embryon reçoit un apport nutritif de type matrotrophie durant tout ou partie de son développement. Le processus au cours duquel l'embryon se développe chez une espèce vivipare est alors appelé gestation. Les espèces chez lesquelles l'embryon se développe dans l'œuf mais ne reçoit pas d'apport nutritif sont dites ovovivipares.

C'est la femelle qui effectue la gestation, à l'exception notable des Syngnathidés (dont les hippocampes et les dragons de mer) chez qui c'est le mâle qui l'assume.

Histoire[modifier | modifier le code]

Une femelle ichthyosaure et son embryon expulsé au moment de la mort[a], un fossile exceptionnel (gisement d'Holzmaden, Allemagne).

Le fossile représentant la forme la plus ancienne de viviparité d'un vertébré a été découvert dans la formation de Gogo par l'équipe de John A. Long, du Museum Victoria à Melbourne. Il s'agit du poisson Materpiscis attenboroughi (un placoderme) datant de 380 Ma[3] ; ce qui signifie que la viviparité serait apparue 200 millions d'années plus tôt qu'estimé auparavant. La découverte a été publiée dans la revue Nature en 2008.

Les ichtyosaures, un ordre de reptiles marins apparu au Trias il y a 250 millions d'années, étaient vivipares.

Lignées vivipares[modifier | modifier le code]

Il existe plus de 150 lignées de vertébrés vivipares[4] et pas moins de 140 lignées d'invertébrés vivipares[1].

La viviparité est la règle commune chez de nombreux mammifères actuels (placentaires et marsupiaux, exception étant faite des monotrèmes) mais on la retrouve également chez certains reptiles (comme le Serpent caméléon), quelques amphibiens (les salamandres), des arthropodes comme chez certains insectes (pucerons, mouches tsé-tsé) ou certains scorpions (le Scorpion empereur), certains poissons (la famille des Goodeidés, certains requins comme les requins-marteaux, la Loquette d'Europe), ainsi que quelques nématodes (par exemple la Trichine).

Stratégies[modifier | modifier le code]

Les lignées vivipares présentent diverses stratégies de nutrition de l'embryon, notamment :

Beaucoup de lignées utilisent plusieurs de ces stratégies (simultanément ou en alternance) : lécithotrophie + placentotrophie, ovatrophie + adelphophagieetc.

Chez les mammifères thériens, la nutrition se fait via le placenta et le cordon ombilical. Il n'y a donc pas de stade externe libre pour l'œuf, celui-ci est conservé dans les voies génitales de la femelle jusqu'à son expulsion.

Biologie végétale[modifier | modifier le code]

Le terme viviparité est utilisé en botanique pour désigner un mode de reproduction où la germination des graines se produit alors qu'elles sont encore dans le fruit accroché à la plante-mère.

C'est un cas extrême de semences dites récalcitrantes. On peut observer un tel développement sur les palétuviers et chez certaines cactées épiphytes cultivées (Epiphyllum phyllanthus ou Rhipsalis pilocarpa par exemple, avec des graines qui s'avèrent viables[5]). Ce phénomène présente probablement un intérêt évolutif[6].

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Chez les premiers ichthyosaures du Trias, le nouveau-né sort la tête la première. Chez les ichthyosaures plus tardifs, comme ici, c'est la queue qui sort en premier, comme chez les Cétacés actuels[2].

Références[modifier | modifier le code]

  1. a et b (en) « Matrotrophy and placentation in invertebrates: a new paradigm ».
  2. Sebastián Escalón, Nathalie Bardet, Alexandra Houssaye et Peggy Vincent, « Des « monstres » marins au temps des dinosaures », sur Journal du CNRS, (consulté le ).
  3. Jean-Luc Goudet, « Le poisson fossile qui allait accoucher », sur Futura-Sciences,
  4. (en) « Evolution of vertebrate viviparity and specializations for fetal nutrition: A quantitative and qualitative analysis ».
  5. Lombardi, JA, Viviparity in Rhipsalis pilocarpa Loefgren (Cactaceae) « Copie archivée » (version du sur Internet Archive) ; Ciencia e cultura (Sao Paulo) [CIENC. CULT.]. Vol. 45, no. 6, 407 p. 1993.
  6. J. Hugo Cota-Sánche Vivipary in the Cactaceae: Its taxonomic occurrence and biological significance, Flora - Morphology, Distribution, Functional Ecology of Plants ; Volume 199, Issue 6, 2004, Pages 481-490 DOI 10.1078/0367-2530-00175

Articles connexes[modifier | modifier le code]