« Gluyas Williams » : différence entre les versions
mAucun résumé des modifications Balise : Liens d’homonymie |
|||
Ligne 35 : | Ligne 35 : | ||
</ref>. Son nom (prononcé Glou-yass) est un hommage à ses origines [[Cornouailles|cornouaillaises]]<ref>Edgar J. Driscoll Jr. "Cartoonist Gluyas Williams, Chronicler of Suburbia, 93." ''Boston Globe'', February 14, 1981.</ref>. En 1911, il est diplômé es-arts à l'[[université Harvard]]<ref>"Gluyas Williams." ''[[The Sacramento Bee]]'', January 3, 1946, {{p.|24}}.</ref>. À l'université il fait partie du ''[[Harvard Lampoon]]''<ref>''The Harvard Lampoon Centennial Celebration 1876-1973'' edited by Martin Kaplan, Little, Brown and Company, 1973. {{ISBN|0-316-48270-6}}</ref>. |
</ref>. Son nom (prononcé Glou-yass) est un hommage à ses origines [[Cornouailles|cornouaillaises]]<ref>Edgar J. Driscoll Jr. "Cartoonist Gluyas Williams, Chronicler of Suburbia, 93." ''Boston Globe'', February 14, 1981.</ref>. En 1911, il est diplômé es-arts à l'[[université Harvard]]<ref>"Gluyas Williams." ''[[The Sacramento Bee]]'', January 3, 1946, {{p.|24}}.</ref>. À l'université il fait partie du ''[[Harvard Lampoon]]''<ref>''The Harvard Lampoon Centennial Celebration 1876-1973'' edited by Martin Kaplan, Little, Brown and Company, 1973. {{ISBN|0-316-48270-6}}</ref>. |
||
Ses dessins en noir et blanc sont clairs et ses thèmes de prédilection sont l'actualité quotidienne comme la [[Prohibition]]. Son strip est intitulé “The World At Its Worst”<ref>Le pire état du monde</ref>. Son travail paraît dans ''[[Life (magazine)|Life]]'', ''[[Collier's]]'', ''[[The Century Magazine]]'' et le ''New Yorker''. Il est aussi publié dans des journaux comme le ''[[The Plain Dealer (journal)|Plain Dealer]]''. Il prend sa retraite en 1953<ref>''[[The New York Times]]'' (15 février 1982, p. D7)</ref> |
Ses dessins en noir et blanc sont clairs et ses thèmes de prédilection sont l'actualité quotidienne comme la [[Prohibition]]. Son strip est intitulé “The World At Its Worst”<ref>Le pire état du monde</ref>. Son travail paraît dans ''[[Life (magazine)|Life]]'', ''[[Collier's]]'', ''[[The Century Magazine]]'' et le ''New Yorker''. Il est aussi publié dans des journaux comme le ''[[The Plain Dealer (journal)|Plain Dealer]]''. Il prend sa retraite en 1953<ref>''[[The New York Times]]'' (15 février 1982, p. D7)</ref>. |
||
Il meurt le 13 février 1982 à [[Newton (Massachusetts)|Newton]]. |
Il meurt le 13 février 1982 à [[Newton (Massachusetts)|Newton]]. |
||
Dernière version du 8 mai 2024 à 10:16
Naissance |
San Francisco |
---|---|
Décès |
(à 93 ans) Newton |
Nationalité | Américain |
Pays de résidence | États-Unis |
Diplôme |
bachelor es-arts |
Profession | |
Formation | |
Famille |
Kate Carew (sœur) |
Gluyas Williams, né le 23 juillet 1888 à San Francisco et mort le 13 février 1982 à Newton dans le Massachusetts, est un dessinateur américain connu pour son travail pour le New Yorker et d'autres magazines importants. Il a aussi des dessins pour des quotidiens dont le Boston Globe[1].
Biographie[modifier | modifier le code]
Gluyas Williams naît le 23 juillet 1888 à San Francisco. Il est le fils de Robert et Virginia Williams et a une sœur aînée, Kate Carew[2],[3]. Son nom (prononcé Glou-yass) est un hommage à ses origines cornouaillaises[4]. En 1911, il est diplômé es-arts à l'université Harvard[5]. À l'université il fait partie du Harvard Lampoon[6].
Ses dessins en noir et blanc sont clairs et ses thèmes de prédilection sont l'actualité quotidienne comme la Prohibition. Son strip est intitulé “The World At Its Worst”[7]. Son travail paraît dans Life, Collier's, The Century Magazine et le New Yorker. Il est aussi publié dans des journaux comme le Plain Dealer. Il prend sa retraite en 1953[8]. Il meurt le 13 février 1982 à Newton.
Publications en volumes[modifier | modifier le code]
Des recueils de ses dessins sont publiés :
- The Gluyas Williams Book (1929)
- Fellow Citizens (1940)
- The Gluyas Williams Gallery (1957)
Il a aussi illustrés des livres de Robert Benchley et le Père de la mariée d'Edward Streeter (en).
Références[modifier | modifier le code]
- (en) Cet article est partiellement ou en totalité issu de l’article de Wikipédia en anglais intitulé « Gluyas Williams » (voir la liste des auteurs).
- "Ask the Globe." Boston Globe, August 29, 1985, p. 60.
- Society Is Nix: Gleeful Anarchy at the Dawn of the American Comic Strip 1895-1915, book review by Paul Tumey, in The Comics Journal; published August 30, 2013; retrieved November 30, 2019
- * (en) Trina Robbins, Pretty in Ink : north american women cartoonists 1896-2013, Seattle, Fantagraphics Books, , 181 p. (ISBN 978-1-60699-669-0), p. 23.
- Edgar J. Driscoll Jr. "Cartoonist Gluyas Williams, Chronicler of Suburbia, 93." Boston Globe, February 14, 1981.
- "Gluyas Williams." The Sacramento Bee, January 3, 1946, p. 24.
- The Harvard Lampoon Centennial Celebration 1876-1973 edited by Martin Kaplan, Little, Brown and Company, 1973. (ISBN 0-316-48270-6)
- Le pire état du monde
- The New York Times (15 février 1982, p. D7)